Israël prend la France pour sa poubelle

On sait que l’Etat d’Israël remigre sans ménagement ses clandestins afin de rester religieusement homogène, seuls les Juifs peuvent immigrer et s’installer durablement sur le territoire de cet Etat. Si n’importe quel pays occidental faisait la même politique migratoire, ce serait un scandale international, on parlerait de racisme et l’opprobre serait général. Mais on ne peut rien reprocher au petit Etat qui a donc tous les droits parce que ce serait, nous dit-on sans rire, la seule démocratie du Proche-Orient.

Mais le scandale est poussé à son paroxysme quand on sait que les clandestins que remigre Israël ne sont pas forcément renvoyés dans leur pays d’origine, mais… en France. C’est ce que raconte un article du Monde et dans lequel on apprend qu’un certain Merhawi, Erythréen, a été expulsé de l’Etat hébreux non vers son pays d’origine, mais… à Lyon. Merhawi a beau avoir vécu près de 10 ans en Israël, a vu naître là-bas ses deux enfants, la seule démocratie du Proche Orient n’en a pas voulu. On remarquera que cet Etat ne connaît pas le droit du sol (règle juridique qui consiste à attribuer la nationalité à une personne en raison de sa naissance sur un territoire). Ce même droit du sol qui, en France, est très défendu par un puissant lobby dont le coeur n’est pas forcément lié à notre pays.
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Une jeune militante antiraciste sauvagement assassinée par le « migrant » qu’elle hébergeait

Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.

L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchistes dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.

L’Africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans l’enquête sur le meurtre de l’étudiante américaine.

La jeune femme, originaire du Colorado, avait donné l’abri au clandestin dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il a été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait sujet à expulsion.

Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’étranger était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».

Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.

Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».

C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’Africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.

Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée à ses activités de routine, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendu dans son appartement.

Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.

Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.

Bien qu’il ait fui, la police a été capable de le pister via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.

Source

Le chauffard qui a tué 2 personnes présenté comme « français »

Dimanche soir à Paris, un chauffard percute et tue une mère et sa fille de 11 ans. Il prend la fuite mais est interpellé quelques minutes plus tard au volant de sa BMW…

Selon la source proche de l’enquête, le conducteur est connu des services de police « pour 22 faits », dont la nature n’a pas été précisée. Il n’a pas le permis mais possède «un casier judiciaire», a ajouté la source judiciaire, sans plus de précisions.

Le Progrès nous le présente comme un « Français de 22 ans. »
Il s’agit en réalité d’un sri-lankais prénommé Jiyapirasanthan.

Collégien tabassé à mort : le prénom du meurtrier est…

Souleiman.

Le jeune Breton Killian (13 ans) a été tué la semaine dernière par cet étranger de 16 ans.
L’affaire, présentée comme une simple bagarre entre collégiens, avait suscitée une vive émotion.

Quant à l’agresseur, « son prénom a été balancé sur une radio le 23/6 à 3 h du matin. Inadvertance ou mauvais esprit ? Tous les autres gros médias dissimulent le prénom du meurtrier, qui n’a pas supporté que le petit soutienne son regard conquérant. » (source)

Le jeune Killian rejoint cette longue – mais non exhaustive – liste des victimes blanches de l’immigration.

Une étrangère antifrançaise au gouvernement

Yamina Benguigui est une présentatrice télé et une réalisatrice, adepte de la chirurgie esthétique.
C’est depuis toujours un chantre de l’« antiracisme » (mot codé désignant la haine de la race blanche).

Vraisemblablement grâce à ses qualités de femme, de people et d’étrangère, elle devient d’un coup « ministre déléguée aux Français de l’étranger et à la Francophonie ».

Sachez que pour elle, les emplois devraient être réservés aux immigrés par rapport aux « blancs de souche » (sic).

« A qualité égale, priorité au beur puisqu’il a eu plus d’obstacles à franchir qu’un blanc de souche » déclarait-elle stupidement au magazine Courrier cadre, en octobre 2004.

Source

La famille Sarközy toujours pas assimilée…

Comme vous le savez, les prénoms sont des marqueurs identitaires, autant qu’ils révèlent l’état d’esprit des parents.
Ainsi, des naturalisés ayant une sincère volonté de s’assimiler à un peuple prendront pour leur progéniture des prénoms typiques.

En France, le couple présidentiel est constitué de deux personnes « issues de l’immigration ».  Nicolas Sarközy est hongrois par son père, « juif de Grèce » par sa mère. Son fils Jean (« converti » au judaïsme) a nommé symboliquement son premier enfant du prénom exotique de « Solal ».

La femme actuelle du président, l’italienne  de sulfureuse réputation Carla Bruni, vient quant à elle d’accoucher d’une petite fille.
Ses parents, méprisant ostensiblement à la fois la culture française et leur charge, l’ont nommée d’un prénom étranger : « Giulia ».
« Julie » (ou même Julia) aurait sûrement fait trop franchouillard, trop ringard ; mais nous avons échappé à Britney ou Brenda…
Car en effet Sarközy aurait voulu être américain. Ceci est notoire et les médias d’outre-Atlantique évoquent texto « Sarközy l’américain ».
La police, la démesure et le bling-bling américains l’inspirent beaucoup plus que la France (et les Bretons en particulier).
Il avait d’ailleurs déclaré à Philippe de Villiers dans un élan de sincérité :
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