Rennes : l’église Saint-Marc occupée par la force

L’ancienne église Saint-Marc, dans le quartier de Villejean, à Rennes, est occupée depuis jeudi soir par une quarantaine de migrants. Aidés par des militants du collectif Un Toit un Droit, ce sont des demandeurs d’asile caucasiens, mongols et africains, qui ont pris possession des lieux.

L’église Saint-Marc, propriété du diocèse de Rennes, n’est plus vouée au culte depuis longtemps. « Pas question d’expulser les migrants. L’église doit remplir ses missions de solidarité habituelle », a déclaré l’archevêché, réagissant à l’occupation de l’église.

La première mission d’une église cependant, c’est d’être consacrée au culte. Déjà. Ensuite, ces clandestins n’ont pas sollicité l’asile de l’église : ils se sont imposés par la force. Le diocèse regrette d’ailleurs les « méthodes employées » par le collectif : « Forcer les lieux pour entrer, c’est dommage. On est aussi vigilant sur l’utilisation politique des migrants par l’association, alors que c’est un combat qui les dépasse », souligne Jelle Lemaître, délégué épiscopal à l’information auprès de l’archevêché.

Du reste, Jelle Lemaître est lucide : « Mais il faudra quand même formaliser les choses avec la préfecture. Les migrants ne pourront pas rester éternellement. Il faudra trouver d’autres solutions. »

En effet, mais cette solution autre est du ressort du pouvoir politique, pas du pouvoir spirituel. L’Église de France serait plus crédible lorsqu’elle invoque le droit d’exercer la solidarité avec les plus démunis, ce que personne ne lui conteste, si par ailleurs elle n’étendait pas indistinctement sa mission à toutes les autorités légitimes. Le rôle de l’État, quant à lui, est en effet de garantir le bien commun, à l’aune duquel il doit régler sa politique migratoire. S’il l’avait fait convenablement, le diocèse de Rennes n’aurait pas été confronté à cette difficulté…

 

Les dérives des réseaux sociaux…

Le lycée Émile-Zola de Rennes traverse une crise…provoquée par facebook ! Depuis plusieurs semaines en effet, les élèves utilisent un « Spotted », c’est-à-dire une page Facebook où les adolescents sont invités « à avouer leurs sentiments à quelqu’un croisé au détour d’un couloir, dans le bus… » explique le proviseur dans un courrier adressé aux parents. « Les soupirants envoient ainsi leur message aux administrateurs de la page, qui le publient, en espérant que la personne ciblée se reconnaîtra. Le tout gratuitement et anonymement. »

Et la page facebook va plus loin : « Un fantasme, une pulsion, une obsession ? Grâce à l’anonymat, dévoilez-le avec discrétion. Ici aucune limitation, aucune restriction, aucun message ne se verra refusé », avait écrit l’administrateur anonyme de ce site.

De quoi susciter des difficultés au lycée… « Il y a eu de nombreuses dérives, des propos inadmissibles, outranciers et bien souvent à caractère pornographiques », a constaté le proviseur. Certains élèves n’hésitant pas à travers ce Spotted à régler leur compte avec d’autres ou à calomnier. « Ces dérapages interrogent et interpellent », juge le proviseur qui appelle les parents « à rappeler » à leurs enfants « les règles de bonnes conduite à avoir sur les réseaux sociaux ainsi que les risques encourus. »

Le problème des réseaux sociaux, c’est évidemment qu’il permet de rendre la parole de l’adolescent publique, alors que celui-ci, bien souvent, ne sait pas encore faire preuve de  suffisamment de discernement et de prudence. En un clic, un mot est exposé au regard de tous, alors que dans la vie courante, il n’est souvent adressé en privé qu’à une personne. Ce phénomène d’amplification est dangereux, surtout dans le monde des adolescents qui, en recherche d’identité, sont très sensibles au regard de l’autre qu’ils considèrent comme un miroir. Voir ainsi étalé sur la place publique ce qui relève de l’intimité, ou encore des relations personnelles, voilà qui est malsain et souvent perturbant pour des jeunes en manque de repères, dont la construction psychologique n’est pas encore achevée…

Castellucci : forte mobilisation des catholiques à Rennes

Compte rendu envoyé par un protestataire : Face aux blasphèmes répétés, la mobilisation ne faiblit pas, à Paris comme en province. Jeudi soir c’est à Rennes qu’environ 1300 manifestants se sont rassemblés pour une marche de protestation et de réparation. Dès 19h la foule afflue sur la Place de Bretagne où rendez-vous a été donné par l’Institut Civitas. Après un discours dynamique d’Alain Escada rappelant la raison de la mobilisation, le cortège s’est ébranlé pour rejoindre le Théâtre National de Bretagne où était jouée la pièce blasphématoire de Castelluci. Banderoles et drapeaux en tête, la marche s’écoule solennellement, les chants et prières étant parfois entrecoupés de slogans de protestation. Arrivés à 100 mètres du théâtre, les manifestants sont bloqués par la police à l’aide de grandes grilles bloquant tout le quartier.

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Dessin animé homosexuel à l’intention des enfants de CM1/CM2 : la franc-maçonnerie en embuscade

On parle beaucoup en ce moment du court métrage d’animation « Le  Baiser de la lune ».
Ce  film faisant la promotion de l’homosexualité va être diffusé dans les classes de CM1 et CM2 avec la bénédiction de l’Education nationale.

L’histoire met en scène deux poissons mâles qui s’aiment « librement et heureux » sous le « regard archaïque » d’une vieille chatte « prisonnière d’un château de conte de fée » qui est « persuadée que l’on ne peut s’aimer que comme les princes et les princesses. »

Fruit d’un lobby homosexuel qui exige que l’homosexualité soit « enseignée » à  l’école (de la raie publique?), ce beau projet bénéficie non seulement du soutien des relais habituels du lobby homo (le magazine Têtu, le Centre Gay, Lesbien, Bi et Transexuel, l’association SOS-Homophobie…) et  des serviles  partenaires  publics comme le ministère de la Jeunesse et des Sports, l’Education nationale, le Centre National de la Cinématographie, le Conseil régional de Bretagne, le Conseil général des Côtes d’Armor, la Ville de Rennes, la TV Rennes… mais également du soutien actif de la « Ligue de l’Enseignement », une organisation para-maçonnique très liée au Grand Orient de France.

Ne craignez rien braves citoyens, les Fils de la Veuve veillent sur vos enfants!

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