Ce mois-ci, des randonneurs, constatant le mauvais état d’une croix du XIXe siècle au sommet de la Place (Hautes-Alpes), à 2 500 mètres d’altitude, décident d’en installer une nouvelle.
« […] Mais la pose du calvaire n’est pas du goût de tout le monde. En quelques semaines, des premières dégradations apparaissent. « Le socle de la croix a été victime des coups de pied de biche », raconte l’un des randonneurs, désireux de garder l’anonymat. L’affaire remonte jusqu’aux oreilles du maire de Montgenèvre. Pour plusieurs élus municipaux, cette pose de croix est jugée attentatoire au principe de laïcité. Un avis partagé par l’édile. […]
Le fondateur de l’application de messagerie Telegram explique :
« Aujourd’hui, l’Union européenne a failli interdire votre droit à la vie privée. Une loi devait être votée, obligeant les applications à scanner tous les messages privés et transformant chaque téléphone en un outil de surveillance.
La France a été le moteur de ce projet autoritaire, avec le soutien des anciens et actuels ministres de l’Intérieur, Bruno Retailleau et Laurent Nuñez. En mars dernier, ils ont déclaré que la police devrait pouvoir consulter les messages privés des citoyens français (détails ici). Les Républicains et Renaissance, le parti de Macron, ont voté en faveur de cette loi.
De telles mesures censées « lutter contre la criminalité » visent en réalité les citoyens ordinaires. Elles n’arrêteraient pas les criminels — qui pourraient simplement utiliser des VPN ou des sites spéciaux pour se cacher. Les messages des autorités et de la police ne seraient pas non plus surveillés, car la loi les en protège. Seuls VOUS — simples citoyens — risqueriez de voir vos photos et messages privés compromis.
Aujourd’hui, nous avons défendu la vie privée : l’Allemagne, par sa prise de position soudaine, a préservé nos droits. Toutefois, la menace qui pèse sur nos libertés demeure. Alors que les dirigeants français réclament un accès total aux messages privés, les droits fondamentaux des Français — et de tous les Européens — restent menacés. […] »
En réalité, les libertés des Français dans divers domaines (association, expression, rassemblement, vie privée ou même circulation) ont été déjà largement piétinées ces dernières années.
Évidemment, de nombreux gogos et lâches sont prêts à s’engouffrer dans le cauchemar « sécuritaire » (c’est-à-dire la société de surveillance), porté notamment par la fausse droite à la Retailleau, plutôt que de s’en prendre à la cause de l’insécurité : l’invasion migratoire.
PS : l’application la plus sûre est actuellement Signal.
• 1748: parution, sans nom d’auteur, à Genève, de De l’Esprit des lois, qui préparera le chemin de la Révolution française. Sous l’anonymat se dissimule Charles de Secondat, baron de Montesquieu, qui y explore les diverses formes de gouvernement et y théorise la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire pour éviter le despotisme et promouvoir des régimes « modérés », s’inspirant du modèle constitutionnel anglais. Une pensée marquée par le libéralisme (philosophique et moral), le rationalisme et le relativisme.
• 1760: victoire tactique française, à Clostercamp, sur Ferdinand de Brunswick, dans le cadre de la guerre de Sept ans.
• 1917: la célèbre danseuse et courtisane néerlandaise surnommée Mata-Hari, condamnée à mort pour espionnage, est fusillée au fort de Vincennes. Le corps, que personne ne réclamait, fut envoyé à la Faculté de Médecine.
Détail de la célèbre tapisserie de Bayeux (XIe siècle), représentant la bataille d’Hastings.
• 1066: bataille d’Hastings.
L’assaut est donné par le ménestrel (successeur des bardes) du roi, le fameux Taille-Fer. Les troupes de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, remportent la victoire sur Harold II, dernier roi anglo-saxon. La conquête de l’Angleterre par les Normands commence.
Un nouveau gouvernement vient d’être nommé, on ne sait combien de temps il tiendra, mais – emblématique du régime – il offre une belle brochette d’intrus :
→ A l’Intérieur, l’horrible Laurent Nunez.
Cet individu, de race espagnole, qui fut l’adjoint du calamiteux Castaner, est d’abord un franc-maçon, ce qui explique – avec son zèle – sa carrière.
C’est un homme à l’esprit totalitaire, n’ayant aucun respect des libertés, ni d’ailleurs visiblement aucune morale.
C’est l’homme des tirs au LBD contre les braves Gilets jaunes (avant que l’extrême-gauche ne s’y substitue) : de nombreux Français ont été honteusement mutilés, de son fait et de celui de Castaner.
Nunez s’est illustré ces dernières années, en tant que préfet de police de Paris, par son zèle à empêcher des réunions de droite, des rassemblements patriotiques (même de quelques personnes), de paisibles colloques historiques, des pèlerinages ! Et même un hommage de quelques personnes auprès d’une tombe aux abords de Paris !
Et parfois au prétexte de « risques de propos ou de gestes contraires aux lois de la République » ! Un motif aussi fumeux et ridicule qu’arbitraire et idéologique. Un vrai totalitaire !
Par contre, face aux dévastatrices émeutes immigrées, il a fait profil bas…
→ Au logement, Vincent Jeanbrun.
Réputé l’otage des islamistes de sa ville (il fut maire de L’Haÿ-les-Roses de 2014 à 2024), il est poursuivi pour « l’attribution irrégulière de logements de fonctions » à son directeur de cabinet et à son chef de cabinet (2 maisons de 150m2 pour 700€ de loyer). Quel beau profil pour ce poste !
→ A la prétendue « Education nationale », Edouard Geffray. Il a été auparavant directeur de la Direction générale de l’enseignement scolaire, de 2019 à 2024, laquelle a envoyé en 2023 un questionnaire aux enseignants des enfants de CP à CM2 afin de vérifier s’ils faisaient bien des cours à propos d’« excitation », « émotions », « désir » et « plaisir », ou encore « égalité de genre » contre les « stéréotypes ».
En général, nous n’évoquons pas le physique des gens, mais lui confieriez-vous vos enfants?
→ A l’Économie : Roland Lescure.
Ce socialo-macroniste, fils de communistes, expliquait en 2021 qu’« on peut aussi imaginer, au-delà de 2030, que la France partage son siège au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies avec les autres nations européennes ». Il ne faudra pas compter sur cet apatride mental (il a d’ailleurs la « double nationalité ») pour faire preuve de patriotisme économique.
→ A la « Transition écologique » (donc l’Energie) : Monique Barbut.
C’est tout simplement une farouche militante antinucléaire !
Quand elle était présidente du WWF, peu auparavant, cette « escrologiste » a milité pour que l’UE nuise au nucléaire français…
C’est une folie (une de plus) de la placer à la tête de ce secteur stratégique pour le pays (auquel elle ne semble pas particulièrement attachée).
→ A la prétendue « Culture » : toujours Rachida Dati.
Cette étrangère fait l’objet d’une enquête pour avoir « oublié » de signaler, dans sa déclaration obligatoire de patrimoine auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, l’équivalent de 420 000 euros de bijoux !
D’où sort-elle tout cela d’ailleurs ?
Notons qu’elle avait dû déclarer déjà quelque 5,6 millions d’euros sous forme de biens immobiliers en France et au Maroc et de fortune financière.
Elle a par ailleurs été renvoyée cet été devant le tribunal correctionnel de Paris dans une autre affaire, au côté de l’ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn, pour corruption et trafic d’influence.
→ Ministère de la « Santé », des « Familles », de l’Autonomie et des Personnes handicapées : Stéphanie Rist.
Elle s’est déclarée favorable à l’euthanasie ! En contradiction totale avec l’intitulé de son ministère.
D’autre part, elle est soupçonnée de conflits d’intérêt avec « Big Pharma ». En effet, elle a déclaré 309 liens d’intérêt avec des laboratoires pharmaceutiques, pour un montant total d’environ 40 196 €, entre 2012 et 2017 (juste avant son élection comme député macroniste) : défraiements pour des congrès, invitations à des événements, « expertises » et interventions rémunérées. C’est un record parmi les députés médecins, selon une enquête de 2018.
→ A la Défense : une bonne femme qui n’y connait rien.
• 851: les Vikings pillent la basse vallée de la Seine, incendiant notamment le monastère de Saint-Wandrille.
• 1131: le jeune roi Philippe, que Louis VI le Gros, son père, avait fait couronner à Reims, passe près de l’église Saint-Gervais. Un cochon s’embarrassa dans les jambes de son cheval qui s’abattit, et ce jeune prince tomba si rudement qu’il en mourut le lendemain.
Détail d’une miniature des Chroniques de Saint-Denis
• 1307: Philippe le Bel fait arrêter Jacques de Molay, Grand maître de l’Ordre du Temple, ainsi que 140 autres chevaliers, qu’il fait accuser de « débauche », d’« hérésie » et de « crimes monstrueux ». Disposant de quelque 9 000 commanderies dispersées dans toute l’Europe, les Templiers, créés en 1118, possèdent alors le quart de Paris, dont tout le quartier du Marais.
• 1812: avec trois à quatre semaines d’avance, la neige commence à tomber sur Moscou, mettant à mal les plans de Napoléon. 150 ans plus tard, le même phénomène climatique ruinera ceux d’Adolf Hitler.
• 1815: en Calabre, le maréchal Joachim Murat est arrêté et fusillé.
• 1843: fondation, à New York, du B’naï B’rith, branche de la franc-maçonnerie réservée aux Juifs exclusivement. Elle deviendra à la fois la première obédience maçonnique internationale et la plus importante association juive (elle comptera plus de 500 000 « frères » et « sœurs » dans les années 80). On peut lire à ce sujet le livre que lui a consacré Emmanuel Ratier (trouvable d’occasion).
Le 13 octobre 1917, dans la campagne portugaise, 70 000 personnes assistaient médusées à l’un des plus grands miracles du XXe siècle.
Ce jour-là, environ 70 000 personnes, provenant de toutes les régions du Portugal, se rassemblent à la « Cova da Iria » (champ près de la localité de Fatima). Depuis plusieurs semaines circule la nouvelle de l’apparition de la « Dame » et du miracle qu’elle a promis d’accomplir. Au milieu de citoyens ordinaires se trouvent aussi des nobles, des ingénieurs, des médecins, des notaires et, évidemment, des journalistes et des photographes.
• – 322: date supposée de la mort de Démosthène, célèbre orateur grec.
• 1492: Christophe Colomb est « découvre » le Nouveau monde (en réalité les Vikings avaient déjà abordé au Nord cinq siècles plus tôt, sans évoquer d’autres possibilités en Amérique du Sud). Cette date sera commémorée, en 1899, en Espagne, sous le nom de Fiesta de la Razza, étroitement associée au concept d’hispanité. Le 1er juin 1918, un décret royal l’institue comme fête nationale en Espagne.
• 1679: paix de Nimègue, qui fait de Louis XIV l’arbitre de l’Europe.
• 1793: décret ordonnant de retourner toutes les plaques de cheminée portant des insignes de féodalité.
Ce même jour, profanation de la basilique et nécropole royale de saint-Denis et de ses tombes.
En présence d’un commissaire de la fabrication extraordinaire des armes, des terrassiers révolutionnaires, encouragés par une foule surexcitée, creusent deux fosses aux abords de la basilique de Saint-Denis. Elles sont destinées à recueillir les ossements des Bourbons, des Capétiens et des Valois. Pendant ce temps, dans la basilique, on enfonce, à coups de bélier, les portes des caveaux. Les premiers corps arrachés à leur repos éternel sont ceux du grand Turenne et d’Henri IV. Les couvercles des cercueils de plomb sont forcés au pied-de-biche. Drapé dans son linceul blanc, le cadavre d’Henri IV, parfaitement conservé, est dressé debout contre un pilier. Un fier-à-bras lui tranche une poignée de poils de la barbe avec son sabre. Une mégère, encouragée, gifle à toute volée la face du bon roi Henri. Reprise des profanations le 8.
Eau forte de Friedrich Staffnick, fin 18e.
• 1914: prise par l’armée allemande des villes de Lille et Anvers.
L’occupation allemande a été, pendant la Première guerre, particulièrement dure : on peut lire à ce sujet Les atrocités allemandes, de Horne et Kamer.
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.
« On emprunta, pour le 18e Dimanche après la Pentecôte, la messe qui avait été composée au VIe siècle pour la Dédicace de l’église Saint Michel, à Rome, et qui fut célébrée le 29 septembre. Aussi tous les chants se rapportent-ils à la consécration d’une église.
Cette messe, suivant le samedi des ordinations, fait allusion au sacerdoce. Comme le Sauveur, qui prouva en guérissant le corps du paralytique qu’il avait aussi guéri son âme, les prêtres ont reçu le pouvoir de pardonner aux pécheurs. (Év.) »
Un homme haineux et hargneux, qui fut particulièrement nuisible à la France
Le « Panthéon », qui est – rappelons-le – une église volée, confirme un peu plus son statut de déchetterie républicaine, avec la venue triomphale de Robert Badinter.
Enfin, venue symbolique, car c’est un cercueil vide qui a été porté solennellement dans l’édifice, la dépouille de ce « saint » du Système (mort en février 2024 à l’âge de 95 ans) repose toujours au carré juif du cimetière de Bagneux ; en effet, sa femme, la très malfaisante Elisabeth Badinter (riche socialiste, fille du fondateur de Publicis Marcel Bleustein), n’a pas voulu qu’elle soit déplacée. Elle a avancé un motif romantique (être enterrée avec lui à sa mort), mais le doute est permis : est-ce par exemple la croix qui s’élève encore au sommet du Panthéon qui gêne cette farouche « laïcarde » ?
La tombe du « grand homme » du moment a d’ailleurs été souillée d’un graffiti ce jeudi, provoquant une grande indignation médiatique. Or, si effectivement cet acte est lamentable (mais qui est l’auteur ? On n’est pas à l’abri, une nouvelle fois, de provocations), on ne se souvient pas d’un tel émoi à propos du véritable saccage de la tombe de Jean-Marie Le Pen (attaquée à la masse, la croix étant brisée en plusieurs morceaux), trois semaines après son inhumation ; d’ailleurs, depuis, l’enquête n’a pas avancé d’un centimètre…
Il faut rappeler en quelques mots qui était ce Robert Badinter. Fils d’immigrés juifs de Moldavie tout juste « naturalisés français » et sans attaches particulières, Robert Badinter devint professeur de droit et avocat, en droit commun et des affaires, faisant fortune dans ce deuxième domaine.
Mais il se rendit célèbre en tant qu’avocat de meurtriers, en combattant dans ses plaidoiries, avec grandiloquence, la peine de mort.
Il défendit notamment, avec succès, plusieurs assassins d’enfants… leur évitant la peine capitale.
Parmi ses dernières victoires, il y a le sauvetage de Patrick Henry, en 1977, qui avait enlevé et assassiné un garçonnet de 7 ans (l’étranglant, de face, tandis qu’il appelait son père à l’aide), ainsi que Mohamed Yahiaoui, en 1978, qui avait assassiné un couple de boulangers (défigurés au couteau et égorgés), ou encore, en 1980, Norbert Garceau, qui avait assassiné une jeune femme (alors qu’en 1953, il avait déjà étranglé une jeune fille de quinze ans et avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, puis libéré en 1972 !)…
Très hostile à la liberté de recherche historique et à la liberté d’expression, il consacra son dernier procès avant de devenir ministre de la Justice, à faire condamner Robert Faurisson, en 1981.
Parallèlement à sa carrière d’avocat, ce riche homme de gauche fut militant au parti socialiste et, cette même année, devint ministre de la Justice, sous Mitterrand.
Il s’illustra alors en présentant à l’Assemblée le projet de loi abolissant la peine de mort, qui fut adopté cette même année 1981.
Rappelons que la peine de mort n’était plus appliquée, dans les faits, depuis plusieurs années. Mais c’est une victoire symbolique forte pour Badinter, qui décapita ainsi l’échelle des peines traditionnelle.
Les assassins furent soulagés. Tant pis pour les victimes (en particulier celles qui seront victimes de récidivistes, et qui auraient donc été sauvées par la peine de mort)…
Cet homme imprégné d’idéologie cosmopolite s’est aussi, à ce poste, signalé par un renforcement de la domination du droit européen sur le droit français, ou encore par son soutien à l’homosexualisme le plus sordide : il a fait supprimer la disposition légale pénalisant les relations homosexuelles avec un mineur… !
Oui : Badinter et ses compères socialo-communistes ont voulu que les mineurs puissent légalement (à partir de 15 ans) se faire sodomiser par des adultes…
Ils détruisirent ainsi un peu plus la civilisation et les protections qu’elle permettait envers les jeunes.
Devenu président du Conseil constitutionnel en 1986, il en a fait un bastion de la gauche (c’est toujours le cas, avec le sinistre Fabius à sa tête) et une arme du « gouvernement des juges » face au politique (et surtout, évidemment, face à la politique de droite). Charles Pasqua mit d’ailleurs à l’époque, déjà, en cause son impartialité lorsque le Conseil annula huit articles de sa loi sur l’immigration…
Derrière le masque du super-républicain, il y avait un communautariste véhément et vigilant, soucieux du bien-être des siens et endogame, mais qui parallèlement a passé son temps à culpabiliser les Français en dénonçant un fumeux racisme, incitant ainsi au génocide par métissage du peuple qui l’avait accueilli et enrichi ; c’était un faux gentil, dont le visage exprimait facilement la haine la plus féroce, la hargne la plus tenace, dès qu’il s’agissait des causes communautaires, qui prévalaient pour lui par-dessus tout ; c’était un faux humaniste, qui fut avec sa réforme le bienfaiteur des pires criminels, au mépris des victimes et au détriment des citoyens innocents ; c’était, évidemment, un faux sage, militant pour les pires causes et verrouillant le système au profit de la gauche, contre le principe démocratique.
Une belle canaille, un « saint » convenable pour ce régime désastreux à bout de souffle.
PS : ayons une pensée pour les victimes oubliées de l’affaire du talc Morhange, en 1972, quand 36 bébés moururent empoisonnés par du talc toxique, et que près de 200 autres furent gravement intoxiqués, certains restant lourdement handicapés. Badinter fut l’avocat du puissant PDG fautif, et au procès, s’en prit avec brutalité (dixit le JT de l’époque) aux parents dans l’épreuve, prétendant qu’ils étaient là pour l’argent, et ne manifestant aucune empathie envers ces membres endeuillés de la France populaire, laborieuse et honnête.
• 1911: à Manhattan, initiation maçonnique de Franklin D. Roosevelt, futur président américain qui fera entrer, malgré ses engagements électoraux, les États-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale.
• 1945 : Joseph Darnand est fusillé, au fort de Châtillon.
Darnand donnant un discours lors d’une cérémonie du SOL en février 1942.
Véritable héros des deux guerres (1), militant nationaliste (Action Française, Croix-de-Feu, PPF, la « Cagoule »), il est surtout connu pour son action au service du Maréchal Pétain et de la Révolution nationale, à la tête du Service d’Ordre Légionnaire (SOL) puis de la Milice française (2), et comme secrétaire général au maintien de l’ordre et secrétaire d’État à l’Intérieur à Vichy.
• Nous fêtons Saint Denis, évangélisateur des Gaules, 1er évêque de Paris, mort en martyr entre 250 et 272.
Détail de la statue de saint Denis., dans la crypte de la basilique du Sacre-Cœur.
Il est représenté tenant sa tête dans les mains, car Denis, décapité à Montmartre (le « mont des martyrs ») lors d’une persécution romaine, a marché vers le nord pendant six kilomètres, sa tête sous le bras, par le chemin qui sera nommé rue des Martyrs. À la fin de son trajet, il donna sa tête à une femme pieuse originaire de la noblesse romaine et nommée Catulla, puis s’écroula. On l’ensevelit à cet endroit précis et on y édifia une basilique en son honneur. La ville s’appelle aujourd’hui Saint-Denis. Vénéré par la chevalerie française, il a donné son nom au cri de guerre des rois capétiens : « Montjoie ! Saint Denis ! »
• 1192: après avoir défendu la chrétienté quinze mois en Terre sainte, Richard Coeur de Lion s’embarque pour l’Angleterre, décidant ainsi la fin de la troisième croisade. Il laisse une réputation terrifiante auprès des musulmans.
• 1793: les républicains massacrent les Lyonnais.
Lyon, après un siège de près de cinquante jours, capitule devant les armées de la République.
Les Lyonnais, qui s’étaient révoltés face la « tyrannie jacobine » et dressés contre la Convention, affamés, bombardés sans relâche par les soldats de Kellermann, se rendent à 6 heures du matin.
La répression sera terrible ; des milliers de personnes seront massacrées par les Républicains dans les semaines qui suivent.
Massacre de Lyonnais. Voir la scène à droite : avant l’État islamique, il y eut la République…
• 1890: l’ingénieur français Clément Ader (1841-1925) réussit à faire voler Eole, le premier engin à moteur. L’ensemble, qui pèse 300 kilogrammes, se soulève de 20 cm sur une distance de 60 mètres.
• 1934: à Marseille, un Croate oustachi assassine le roi Alexandre Ier de Yougoslavie et le ministre français des Affaires étrangères, de gauche, Louis Barthou.
• 1958: mort, à Castelgondolfo, du pape Pie XII, le dernier avant que n’éclate la crise de l’Eglise.
• 1968: mort, à Paris, de l’écrivain Jean Paulhan qui, bien que résistant (il cofonda Les Lettres françaises en 1942), fut l’un des rares à s’élever contre les tribunaux d’épuration visant les écrivains.
• 1970: mort, à Manosque, de Jean Giono, romancier majeur du XXe siècle. Ce militant pacifiste intégral avait été arrêté puis mis à l’index par les épurateurs. Il collabora jusqu’à sa mort au quotidien de droite nationaliste Le Méridional (qui était le rival de La Marseillaise, communiste, et du Provençal de Gaston Defferre, socialiste).
• 1792 : influencée tant par la franc-maçonnerie que par l’Antiquité gréco-romaine, la Convention décrète que le sceau officiel de la République française sera une femme représentant la déesse Liberté.
« Marianne » est née, coiffée d’un bonnet phrygien (le bonnet des esclaves affranchis à Rome, mais aussi un attribut du dieu perse Mithra, dont le culte s’est largement répandu en Europe au début de notre ère).
Habert, vers 1905, par Nadar.
• 1937 : décès à Paris, de Marcel Habert, dit Marcel-Habert, député nationaliste de 1893 à 1901 (quand il fut déchu de son mandat et banni par le gouvernement), puis de 1919 à 1924.
Il fut le véritable second de Paul Déroulède au sein de la Ligue des Patriotes, où il faillit lui succéder en 1914. Il avait été comme lui banni de France pendant cinq ans, en 1900, après une tentative de coup d’Etat.
Valenciennes. Sophie, médecin, est retrouvée dans une mare de sang dans son cabinet.
Elle a été massacrée : son larynx a été fracturé et elle a été dévisagée, à tel point que ses dents ont été retrouvées en plusieurs endroits de la pièce…
Pourtant, pendant longtemps, la police n’a aucune piste…
Il a fallu finalement 7 ans pour retrouver Mohamed Medjahed, dont on a retrouvé des ongles dans le sang de sa victime.
C’est un marginal de 52 ans, et surtout… il a déjà été condamné : pour avoir poignardé gravement une jeune femme, puis pour des exhibitions sexuelle et du vandalisme.
Pour ce dernier meurtre, il a été condamné à 30 ans de prison, avec 18 ans de sûreté.
Il sera libérable en avril 2026.
• 1571: bataille navale de Lépante (au large de la Grèce), pour assurer la suprématie sur l’île de Chypre, entre les chrétiens (principalement espagnols et italiens) rassemblés par le pape Saint Pie V, et les Ottomans de Sélim II.
En réalité, ce sont deux mondes qui s’affrontent.
Les pertes sont énormes : 30 000 morts chez les Barbaresques, pourtant partis favoris car plus puissamment armés et plus nombreux, contre environ 8 000 chez les chrétiens.
Cette bataille de quelques heures met fin à la réputation d’invincibilité des Turcs, même s’ils conservent Chypre.
Il est décidé, quelques jours après, par Saint Pie V, de créer la fête du rosaire sous le nom de Notre-Dame de la Victoire, pour célébrer le triomphe de la chrétienté.
Il attribue en effet celui-ci à la récitation universelle du rosaire qu’il avait demandé aux chrétiens, en vue de cette bataille cruciale.
• 1793: les révolutionnaires, menés par le conventionnel Philippe-Jacques Rühl, ex-pasteur luthérien, brisent, à coups de couteau, la Sainte Ampoule de Reims, utilisée pour le couronnement des rois de France. Rühl se suicida en mai 1795, pour ne pas être guillotiné.