
Une plaque a été apposée pour commémorer son héritage, mais qui a ensuite été retirée lorsqu’une étude a suggéré que la femme était plus susceptible d’être originaire de Chypre, avec un teint méditerranéen.
Mais une nouvelle analyse ADN du squelette réalisée par des scientifiques du Musée d’histoire naturelle vient de montrer que la femme était originaire du sud de l’Angleterre et qu’elle était blanche, avec des cheveux blonds et des yeux clairs…
D’ailleurs, récemment, tous les médias français s’étaient enflammés pour l’idée d’un ancêtre des Britanniques « à la peau noire » (Cheddar Man », il y a 10 000 ans), affirmation plus que téméraire, ne reposant là encore sur aucun fondement scientifique.
Evidemment le but de cette propagande mensongère, médiatique et pseudo-scientifique, n’est que de faire accepter aux Européens leur disparition par submersion et métissage…