Emouvant témoignage d’une jeune femme condamnée sur la « fin de vie » (video)

Atteinte d’un cancer incurable à 30 ans : l’hymne à la vie de Clémence Pasquier

En 2016, alors que Clémence vient de s’installer à Lyon pour y démarrer une nouvelle vie, elle apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. Ce cancer va progressivement se généraliser et quelques années plus tard, on lui annonce qu’elle n’en guérira jamais. Elle entre alors en soins palliatifs et comprend qu’elle devra envisager sa vie autrement.
Dans le contexte des débats sur la fin de vie, Clémence a accepté de répondre à nos questions. Pendant une heure, elle nous parle de sa foi, de Dieu dans l’épreuve, de la souffrance, de sa vie bouleversée et de son regard sur les débats actuels.

Sur le thème de la souffrance, nous conseillons deux brochures :
Pourquoi le mal et la souffrance dans le monde ? – Frère Petit
Conseils pour aider les grands malades et les mourants – Abbé Alain Delagneau
Et un livre, d’un fameux auteur spirituel :
Venez au Christ, vous tous qui peinez… de Dom Columbia Marmion

Seulement 1 titre de séjour valide sur 10 concerne l’immigration professionnelle

L’argument que donnent les immigrationnistes pour justifier le grand remplacement (« on a besoin d’eux pour faire le travail que les Français ne veulent pas faire ») est bidon.

D’abord, si les Français (dont plusieurs millions de chômeurs, faut-il le rappeler) ne veulent pas faire certains métiers, c’est parce que ces derniers sont sous-payés au regard de leur pénibilité. Il faut permettre une meilleure rémunération par la baisse des charges, qui sont folles en France.
Les partisans de l’immigration ont généralement une approche d’esclavagistes. Quand ils disent en ricanant : « avec votre remigration on n’aurait plus de femmes de ménage ou de livreurs », ils font montre d’un cynisme écœurant : c’est la même démarche que de dire « si on abolit l’esclavage, qui va ramasser le coton ? »

Ensuite, comme c’est précisé dans la vidéo ci-dessous, l’immigration de travail ne représente qu’une petite partie de l’immigration : elle a été le prétexte du grand remplacement, mis en œuvre particulièrement par le si funeste « regroupement familial » (que Giscard regrettera publiquement d’avoir instauré).

Enfin, si vraiment il est nécessaire de faire venir des ouvriers en vue de quelque tâche pour laquelle la France manquerait réellement de main d’œuvre, pourquoi parler d’« immigration » ?!
Jusqu’à récemment, on parlait d’« expatriés », notion qui semble avoir été volontairement oubliée en France, pour assouvir un obscur désir idéologique.
Cela se fait un peu partout pourtant : des gens s’installent provisoirement dans un autre pays pour y accomplir un travail, volontairement, car c’est une opération gagnante pour eux, avant de repartir chez eux avec leur paye, et tout le monde est content.
Il faut remettre à l’honneur la notion d’« expatriation », et supprimer celle d’« immigration » prétendument nécessaire.

Moscou : après Dzerjinski, un monument à la gloire de Staline réinstallé

Détail du monument à Staline inauguré à Moscou (DR)

« Une statue du dictateur soviétique Joseph Staline a été réinstallée dans le métro de Moscou, a constaté jeudi 15 mai 2025 l’AFP, en pleine mobilisation patriotique glorifiant la puissance de l’URSS alimentée par le Kremlin pour soutenir l’offensive en Ukraine. Le monument, situé dans un couloir reliant deux lignes à la station Taganskaïa, est un bas-relief montrant des hommes, femmes et enfants tenant des fleurs et entourant une sculpture de Staline (1878-1953) installée sur un piédestal.
Dans un communiqué publié ce samedi, les transports moscovites indiquent qu’il s’agit d’une reproduction à l’identique d’une installation qui se trouvait dans cette même station jusqu’en 1966. Ils précisent qu’elle était dédiée à la victoire de l’URSS lors de la Seconde Guerre mondiale. […] » (source)

Toujours à Moscou même, une statue de Dzerjinski avait été inaugurée en septembre 2023.
Cet homme – l’un des principaux artisans de la Terreur rouge – a créé la Tcheka puis a dirigé le GPU, la monstrueuse police politique bolchevique. C’est, avec Staline, l’un des pires criminels du XXe siècle.
Le monument (réplique de la statue déboulonnée en 1991, place le Loubianka) est situé devant le siège des services de renseignement extérieurs (SVR), et a été inauguré par leur patron Sergueï Narychkine, qui a qualifié Félix Dzerjinski d’« altruiste, dévoué et déterminé ».

La nouvelle statue de Djerzinski devant le siège des services de renseignement extérieurs (SVR)

Sur initiative privée ou des autorités, les statues à la gloire de Lénine, mais aussi parfois de Staline, sont nombreuses à être érigées ou ré-érigées dans les territoires du Donbass conquis par la Russie depuis 2014.