Sur l’attitude du Maréchal Pétain, dont les gens ne savent plus rien et dont on peut de moins en mois en parler librement et tranquillement alors que, paradoxalement, on s’éloigne de la période concernée, nous conseillons en particulier le livre du colonel Le Pargneux.

Et nous vous livrons, à propos de cette affaire qui a défrayé la chronique à cause de la folie d’élus et de préfets, l’analyse de Jérôme Bourbon, dans l’éditorial du dernier numéro de Rivarol (on n’est pas obligé d’être d’accord avec tout mais il fait d’utiles précisions sur cette situation délirante) :
« C’EST L’HYSTÉRIE. La simple célébration d’un office (hélas selon le rite de Paul VI) à 10h45 le samedi 15 novembre dans l’église Saint-Jean-Baptiste à Verdun pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des soldats tués ou blessés pendant la Grande Guerre à l’initiative de l’ADMP, l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain, a suscité la fureur du Système. Tout est parti de la décision du maire divers gauche de Verdun, le très excité Samuel Hazard, d’interdire par arrêté municipal le 10 novembre la célébration de cette cérémonie. « Je n’accepterai jamais qu’une messe soit célébrée à Verdun en hommage à Pétain, frappé d’indignité nationale en 1945 et donc déchu, entre autres, de son grade militaire », avait publié l’édile sur les réseaux sociaux, dans un communiqué adressé à ses administrés. « Verdun est la cité de l’Universalité. Pétain est l’antithèse de l’Humanité », avait-il ajouté, faisant part de son « dégoût et de (sa) très vive colère ». La cérémonie religieuse « va générer à l’évidence des troubles à l’ordre public », déclarait encore Samuel Hazard qui agit en l’occurrence en pompier pyromane, car c’est lui qui crée artificiellement pour des raisons idéologiques un trouble à l’ordre public.
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En 1936, alors que l’avancée nationaliste est bloquée à la hauteur de la cité universitaire de Madrid, à Alicante, le fondateur de la Phalange espagnole est fusillé, à l’âge de 33 ans, par le Front populaire arrivé au pouvoir quelques mois plus tôt.


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