Les Femen ont rendu visite au pape…

Les militantes du mouvement Femen n’étaient pas à Paris pour la Manif pour tous dimanche 13 janvier, mais à Rome, où quatre d’entre elles se sont brièvement déshabillées place Saint-Pierre pendant que le pape récitait l’Angelus. Elles ont été rapidement interpellées :

Non au « mariage » homosexuel et à la reconnaissance juridique de l’ homoparentalité

[Tribune libre d’un lecteur]

I. Le langage

La normalophobie

L’habitude a été prise, depuis une douzaine d’années, d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante. Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme « normal » quand il s’applique à la sexualité. Ils ne tolèrent pas que l’on puisse ainsi porter un jugement sur les orientations sexuelles ni, par conséquent, réfléchir sur le « mariage » gay et l’homoparentalité.

Des mots précis

L’emploi d’un même terme pour désigner deux réalités différentes conduit à des confusions.
On ne peut donner un même nom, en l’occurrence « couple » à l’union homosexuelle et à l’union hétérosexuelle. En effet l’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes, à moins de considérer que l’homme est identique à la femme.

L’homosexualité est une forme d’ intolérance à l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle.
L’utilisation d’un même terme, « couple » pour désigner deux réalités différentes, et même antagonistes, est anormale.
A deux types d’unions différentes il faut donner des noms différents : « couple », comme on l’utilise depuis toujours pour les unions hétérosexuelles et, pour les unions homosexuelles, on peut préconiser le terme « duo » car cette union concerne deux personnes de sexe identique. Continuer la lecture de « Non au « mariage » homosexuel et à la reconnaissance juridique de l’ homoparentalité »

Manifestation à Paris le 13 janvier ! Mais pas n’importe où…


Attention, ne vous trompez pas de lieu de rendez-vous.
Plusieurs cortèges partiront en effet cet après-midi du 13 et le gros des manifestants défilera plus ou moins sans le savoir « contre l’homophobie ».
En effet, la réaction populaire contre le projet de « mariage » entre invertis a été scandaleusement détournée par des agitateurs sans repères : une « Barjot » adepte des nuits « gays » parisiennes, une militante de gauche et un militant homosexuel, tous partisans de l’« amour (sic) homosexuel ».
Le discours de ce trio infernal reste en partie inacceptable, comme son choix de mettre en place un « char dansant gay », sa volonté de cacher les chapelets et les soutanes, d’interdire qu’en fin de cortège les associations catholiques fassent un défilé… normal.

Les catholiques sont encore les dindons de la farce, à la remorque de la gauche, et alors qu’ils constituent le gros des troupes, ils feront pour beaucoup, dimanche, semblant de ne pas être catholiques pour tenter de plaire aux médias et au lobby homosexuel… Croient-ils obtenir un réel succès et le secours de Dieu de cette façon ?

La manifestation qui débutera place Pinel sera, elle, une démonstration de normalité, de catholicité, ouverte aux Français de bon sens.
Organisée par Civitas, elle est soutenue par diverses organisations : Renaissance catholique, SOS Touts-petits, Parti de la France, Renouveau français, etc.

Contre-info invite ses lecteurs à y participer.

Par ailleurs, la  paroisse St Nicolas du Chardonnet organise un rosaire qui sera récité près de l’Assemblée Nationale, square Edouard HERRIOT, le mardi 29 janvier de 20h00 à 22h00, pour demander l’échec du projet de loi.

Questions de société : la droite court derrière la gauche…

La droite, frileuse et trop perméable au politiquement correct, incapable de se libérer de l’asservissement idéologique de son adversaire, finit toujours par rattraper la gauche. Elle n’a finalement qu’un train de retard sur la gauche. Un exemple : le PACS. La droite parlementaire s’y oppose durant le vote au parlement, puis s’y rallie, et entend enfin poursuivre son amélioration. Une preuve ? En image !

Manifestation du 13 : Barjot dérape !

Frigide Barjot, responsable de la manifestation pour tous, était hier l’invitée de la radio RTL. Elle a déclaré (cliquez pour écouter l’interview, à partir de la 9e minute), qu’il y aurait bien un char homosexuel lors de la manifestation qu’elle organise !

L’annonce n’est pas nouvelle, mais on avait fini par croire qu’elle avait renoncé à ce projet. Les autres organisateurs avaient en effet pris leur distance : Xavier Bongibault en dénonçant le caractère « clivant » d’un tel char, réduisant en effet les personnes à leur orientation sexuelle, et Tugdual Derville en évoquant un « dérapage » verbal. Puis silence sur le sujet. Hier, soit à trois jours de la manifestation,  Mme Barjot est revenue sur ce thème, confirmant la présence d’un char « gay » lors du défilé du 13 janvier. Sans concertation préalable avec les autres organisateurs.

Le droit naturel, à l’échelle individuelle ou à l’échelle sociale, en éthique ou en politique, ne se divise pas : manifester pour le défendre en politique, et le nier en éthique par la promotion de l’homosexualité, voilà qui n’a pas de sens. Pour le moins, nous aurions pu nous mettre d’accord en rappelant que la politique ne s’intéresse pas à la vie sexuelle et privée des individus -et c’est bien la raison pour laquelle le mariage, qui a une fonction sociale, ne saurait être la simple reconnaissance d’un amour : et dans ce cas, évitons d’évoquer les comportements privés lors d’une manifestation contre le « mariage » homosexuel, en n’exposant pas ostensiblement, par exemple, des personnes en raison de leur orientation sexuelle. La personne ne s’identifie d’ailleurs pas à ses pulsions sexuelles : une telle réduction ne grandit pas l’homme…

Quoiqu’il en soit, les élucubrations de Mme Barjot, qui tente d’obtenir un brevet de respectabilité en donnant des gages de bonne volonté à la caste gaucho-médiatique, discrédite totalement sa démarche. Rendez-vous donc dimanche 13 janvier, à 13 heures, dans le XIIIe arrondissement de Paris, place Pinel (métro Nationale), pour se rendre place Vauban !

Y aura-t-il encore des catholiques ou des gens sensés pour acheter « Vicomte Arthur » ?

Vicomte Arthur est une marque de vêtements française, chic et hors de prix, assez prisée des milieux BCBG.
Créée en 2005 par Arthur de Soultrait, elle a connu un rapide succès commercial.

Au risque de contrarier son public, la marque avait déjà sérieusement dérapé avec son catalogue 2010 : photos suggestives (que nous vous épargnerons bien sûr), dont des femmes se bécotant…

Après cette promotion de l’homosexualité, en 2012 la marque a récidivé plus lourdement et a présenté dans son catalogue, comme le rapporte Nouvelles de France « une photographie montre un homme et une femme en plein ébat sexuel, une autre met en avant deux femmes dénudées que l’on voit de dos se tenant devant un homme assis dans un fauteuil. Une troisième illustre une partie de chasse très « chic » dans laquelle le gibier semble être une jeune femme vêtue d’un bikini et d’un bandeau aux oreilles en peau de lapin, clin d’œil à peine voilé au logo du magazine érotique Playboy »

Bref, pas besoin de vous dire s’il faut donner de l’argent à cette société qui s’est enrichie principalement grâce aux catholiques et qui participe au grand pourrissement des âmes.

« Mariage » homosexuel : quand Peillon prend les cathos pour des cons…

Vendredi, Vincent Peillon écrivait aux recteurs d’académie au sujet du débat sur le mariage homosexuel, les exhortant «à la retenue et à la neutralité au sein de tous les établissements afin que ne fasse l’objet d’aucune instrumentalisation». Le ministre de l’Education ajoutait en outre dans le Monde : «Il ne me semble pas opportun d’importer dans l’école le débat sur le mariage pour tous. Je considère même qu’en adressant une lettre aux chefs d’établissement, le secrétaire de l’enseignement catholique a commis une faute».

Peut-être faudra-t-il rappeler au ministre qu’en 1984, la rue a fait reculer le projet visant à supprimer l’école libre. Et que « école libre » a un sens, quoique le ministre pense de celui-ci. Notez que si les établissements d’enseignement catholique commence à relayer l’enseignement de l’Église, mais où va-t-on ?

Mais le plus insupportable, c’est le sectarisme de la gauche. Car en octobre dernier, Najat Vallaud-Belkacem ne s’interdisait aucun prosélytisme auprès des élèves : en visite dans une école du Loiret, elle présentait le mariage homosexuel comme «une avancée» : «Cela va permettre plus d’épanouissement. Plus de liberté. Plus d’égalité dans la société», a-t-elle dit à une assistance d’une dizaine de collégiens. A voir ici :


Najat Vallaud-Belkacem dans un collège pour… par BFMTV

Le gouvernement veut dérembourser la pilule…pour des raisons sanitaires

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, soulignant les risques sanitaires que présentent l’usage des pilules contraceptives de troisième et quatrième génération, a lancé une concertation afin d’en limiter la prescription. Aussi, le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a-t-il indiqué que les pilules de dernières générations ne doivent désormais être prescrites qu’à titre exceptionnel car, dit-il, « la pilule contraceptive ne saurait être considérée comme un danger« . Ces pilules, en effet, ne seront plus remboursées à partir du 31 mars prochain.

On pourrait croire a priori que cette mesure va dans le bon sens. Factuellement, c’est vrai. Mais si l’on interroge les motifs de ce déremboursement, on reste sur sa faim… « Il faut éviter de donner le sentiment que la pilule serait un danger. C’est un médicament. Et à ce titre elle ne peut pas être banalisée« , a déclaré Marisol Touraine à la presse, à l’issue du conseil des ministres. Si donc le ministre veut éviter la banalisation de la pilule, c’est au titre du danger sanitaire qu’elle présente, avant d’être au titre du danger moral.

Que le corps de la jeune femme lequel, selon la vulgate dominante, lui appartient, soit par conséquent considéré comme une marchandise, ou simplement un objet de jouissance, cela n’indigne pas le ministre. Que l’acte qui conditionne la transmission de la vie soit considéré, à travers l’usage de la contraception, comme anodin, cela parait tout a fait normal aux yeux du gouvernement. Ce qui ne doit pas être banalisé, ce n’est pas la contraception elle-même, au profit d’une plus grande éducation affective et d’une responsabilisation des jeunes : ce qui ne doit pas être banalisé, c’est simplement la pilule en tant qu’elle présente un danger collatéral…

« Mariage » homosexuel : le vice-président du FN ne manifestera pas

Florian Philippot, vice-président du Front national, a annoncé hier, sur Europe 1, qu’il ne se rendrait pas, « personnellement« , à la manifestation contre le « mariage » homosexuel, le 13 janvier prochain. Le Front National, quant à lui, prendra une décision officielle le 7 janvier en bureau politique. « Nous prendrons cette décision dans les jours qui viennent (…) Moi, personnellement, non, je pense que je n’y serai pas, je l’ai dit« , a-t-il indiqué.

Pour tenter de justifier l’injustifiable, Florian Philippot explique : « Notre position est très bien connue, nous sommes contre le mariage homosexuel« . Comme pour suggérer qu’ayant fait connaître sa position une fois pour toute, le FN ne se sentait pas engagé dans le débat qui fait rage actuellement. A cette école, le FN ayant également fait connaître ses positions en matière économique et européenne, sur l’Euro et l’Union Européenne par exemple, il peut alors faire l’économie de toute manifestation à venir portant sur ces sujets. Absurde.

Non, franchement, la défense des valeurs familiales, à l’heure où elles sont gravement menacées, dans le discours par le logiciel progressiste des socialistes, dans les faits par le projet de loi à venir, semble ne pas  susciter un grand enthousiasme au Front National.

Le vice-président du FN poursuit en effet : « Le Parti socialiste et le gouvernement souhaiteraient qu’on ne parle que de cela (…) On a bien compris la petite manoeuvre (…) Le mariage homosexuel pour faire oublier Florange, pour faire oublier les 50.000 chômeurs de plus ». Selon lui, les seuls combats qui méritent manifestement d’être menés sont les combats économiques, qui ont trait à la production ou à l’argent. Le gouvernement peut bien bousculer les lois de la filiation, exposer l’enfant à perdre son droit fondamental à avoir un papa et une maman, qu’il ne s’inquiète pas : Monsieur Philippot a fait savoir qu’il se désintéressait du sujet…qui n’en est pas un, explique-t-il par ailleurs !

JdR

La Parade : entre niaiserie et contradiction…

Le 16 janvier 2013 sort un nouveau film, La Parade, dont le moins qu’on puisse dire est que son caractère idéologique n’est pas simplement suggéré…

Le protagoniste est un certain Lemon, parrain des gangsters de Belgrade, qui se voit obligé d’assurer la sécurité de la première GayPride de Serbie. La mission étant périlleuse, il sollicite le secours d’anciens mercenaires. Serbes, musulmans, bosniaques, albanais du Kosovo et combattants croates se retrouvent ainsi aux côtés des militants homosexuels. Et la présentation du film de s’interroger naïvement : « Comment cet équipage hétéroclite qui n’aurait jamais dû se rencontrer va-t-il arriver à transcender les frontières et leurs différences ? »

Derrière cette mièvrerie débile se cache évidemment, sous couverts des meilleurs sentiments, une promotion en règle de qu’il est convenu d’appeler niaisement la « diversité ». Ces promoteurs veulent nous apprendre à « transcender les frontières et leurs différences » : ces différences dont ils sont dans le même temps les plus ardents négateurs. Car ces bonnes âmes, partisanes d’un univers uniformisé et de l’indifférenciation du genre humain, n’ont eu cesse de niveler précisément les différences dont ils s’érigent paradoxalement les hérauts : la différence qui existe entre les races, ou bien encore celle qui existe entre les sexes ! Difficile manifestement de conjuguer niaiserie et pensée construite. Quand les tartuffes baignent dans leurs propres contradictions…

JdR

Le premier bébé de l’année a deux mamans…

Sacha est né le 1er janvier au centre hospitalier de Moulins, dans l’Allier, entre minuit et minuit une. Cet auvergnat, qui est sans doute le premier bébé de l’année, a une particularité : il a deux mamans ! Et pas de papa…  En cette année qui verra peut être l’adoption du projet de loi sur le « mariage » homosexuel, cette naissance est pour certains une augure…

Ses deux mères, Maude et Delphine, sont pacsées depuis 2010 ; et Maude a dû effectuer des démarches à Bruxelles afin de recevoir une insémination artificielle : «On a passé plusieurs examens médicaux. C’est l’équipe médicale qui a choisi le donneur anonyme», explique-t-elle.

Belle augure oui, celle d’une société en perte de sens -celui de la filiation et de la transmission de la vie-, qui sombre finalement -quelle autre alternative ?- dans le consumérisme le plus abject en détournant la loi des intérêts supérieurs pour l’ordonner à la satisfaction d’intérêts égoïstes : de sujet du droit, l’enfant est définitivement devenu objet du droit. Il n’est plus un don précieux, condition d’une société pérenne, que la société a vocation à protéger pour préserver son propre avenir : il est devenu un dû auquel ont droit les adultes, quitte à le fabriquer et à le priver de son papa ou de sa maman. A vomir !

JdR

Australie : l’armée participera à la gay pride

En Australie, le gouvernement a autorisé les soldats homosexuels à défiler en uniforme, à l’occasion de la gay pride qui se déroulera à Sidney, le 8 janvier prochain. Une revendication des lobbies devant laquelle n’avait pas plié le gouvernement de John Howard, il y a six ans de cela. D’après l’Australian Defence Force cependant, « la diversité est une force dans les entreprises et il n’y a aucune raison que l’armée ne participe pas à cette évolution ».

En matière d’évolution précisément, il faudrait expliquer à tous ces gens que la maturité -l’évolution mentale en quelque sorte-, c’est sortir de ses revendications nombrilistes et catégorielles pour se draper dans davantage de dignité lorsque l’on représente la nation. En matière dévolution, il faudrait rappeler à tous ces gens que, sous l’uniforme, il n’y a pas une orientation sexuelle, mais une personne humaine qui donne sa vie pour un principe ultime, celui de la patrie et du bien commun.

Bref, le pouvoir politique australien accepte finalement que la personne soit réduite à son orientation sexuelle, une manière comme une autre de catégoriser la population et de sécréter des revendications communautaires étrangères aux intérêts supérieurs aux noms desquels s’engage le soldat. Alors, évolution ou régression ?

« Etonnant » : un responsable du lobby homosexuel tombe pour pédophilie…

Son nom est James Rennie. S’il avait été prêtre catholique, le monde entier se souviendrait encore des actes abjects auxquels il se prêtait avant d’être arrêté par la police avec plusieurs dizaines d’autres membres de son réseau d’homosexuels pédophiles.

Avant son arrestation, James Rennie, 38 ans, était le directeur de l’association homosexualiste LGBT Youth Scotland. En tant que tel, par ses contacts avec les parlementaires écossais et avec l’ancien Premier ministre Tony Blair, mais aussi en sa qualité de conseiller du gouvernement écossais pour les questions homosexuelles en rapport avec les enfants, il a eu une influence sur l’évolution du droit anglais et écossais vers l’autorisation de l’adoption par les sodomites.

En 2009, James Rennie et ses complices ont été arrêtés puis condamnés pour faits de pédophilie aggravée, entre autres sur le nourrisson que James Rennie gardait régulièrement pour des gens qui se considéraient comme ses amis depuis quinze ans. Ceux-ci ont appris la chose lorsque la police, dans le cadre de son enquête, leur a fait visionner une vidéo que James Rennie avait fait circuler auprès des autres membres de son réseau, une vidéo où on le voyait violer le petit garçon en plusieurs occasions, pendant plusieurs années, le premier viol s’étant produit alors que le garçon n’était encore qu’un bébé de 3 mois…

Source NDF