Les Femen, visiblement plus soft avec les musulmans qu’avec les catholiques…

Samedi après-midi, les femen devaient manifester contre la charia devant l’ambassade d’Egypte, à Paris, avec Aliaa Elmahdy, blogueuse activiste égyptienne qui avait posté sur son blog une photo d’elle dans le plus simple appareil. Aliaa Elmahdy n’ayant pu se rendre à Paris aujourd’hui, les femen attendues de pied ferme par les forces de l’ordre n’ont donc fait qu’une revendication rapide… en restant habillées.

Observons que les Femen sont donc allées manifester contre la charia, étant habillées, et avec pour slogan : “No charia” et non pas “Fuck charia” ou “Fuck Islam”, et elles ne projetaient rien non plus avec des extincteurs portant la mention “Sperme d’Allah”…


Les femen rhabillées devant l'ambassade d'egypte par leparisien

Procréation médicalement assistée : les socialistes ont voté l’amendement !

Hier matin, les députés socialistes ont finalement voté favorablement, malgré quelques réserves émises par certains, pour inscrire un amendement sur la procréation médicalement assistée dans le texte sur le « mariage » homosexuel.

Les députés socialistes déposeront donc un amendement autorisant les couples de femmes mariées à accéder à la procréation médicalement assistée, ainsi que l’avait déjà annoncé Bruno Le Roux, le président du groupe PS. Cette décision a été prise lors de l’examen du projet de loi sur le mariage et l’adoption par les couples homosexuels. Rappelons que le débat à l’Assemblée Nationale débutera le 24 janvier.

François Hollande n’ayant prévu que le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels dans ses engagements de campagne, Bruno Le Roux est resté ouvert à l’issu de la réunion : «Nous pensons que c’est dans ce texte qu’il [l’amendement] sera le mieux mis en œuvre, mais si le gouvernement nous propose un autre texte avec un échéancier, nous sommes prêts à continuer le dialogue»a-t-il en effet déclaré.

Notons que toutes ces gesticulations d’apprentis sorciers étaient prévisibles, dès lors que le gouvernement a décidé d’affranchir la politique des exigences du droit naturel, sous le prétexte fallacieux de l’émancipation. Tous les principes sur lesquels reposent la civilisation sont aujourd’hui bousculés : la loi, détournée du bien commun, a été confisquée par les politiques pour servir des intérêts consuméristes -chacun revendique son droit, l’objet dusse-t-il être l’enfant. On marche sur la tête !

Aux fous ! La vision que le lobby homosexualiste a de la Vie et de l’enfantement

Pierre Bergé est une figure emblématique de l’oligarchie : socialiste milliardaire, propriétaire du magazine sodomite Têtu et actionnaire du Monde, il a toujours largement financé le lobby dégénéré.

Dans le Figaro, Pierre Bergé nous livre le regard qu’il porte sur la merveille que constitue le miracle de la vie, et la gravité l’enfantement :

« Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA (gestation pour autrui, NDLR) ou l’adoption. Moi, je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant. »

Ces gens-là ont vraiment de gros problèmes…

Ce que confirme cette ignoble pancarte qu’ils font brandir à un gamin dans une de leurs manifestations (attention photo choquante) :
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Pour Marine Le Pen, la défense de la famille n’est pas une priorité

Marine le Pen a évoqué hier sur LCI la manifestation du 13 janvier, pour la défense de la famille naturelle. « Même si je vais manifester, ce que je n’ai pas encore décidé, je le ferai pour dire attention, il y a d’autres sujets qui sont des sujets bien plus importants que cela, et auquel le gouvernement se refuse de répondre » a-t-elle déclaré, soulignant que, selon elle, la « priorité aujourd’hui, c’est de s’attaquer à la situation sociale qu’aggrave le gouvernement par des mesures d’austérité qui sont épouvantables« .

On l’aura compris, la défense de la cellule familiale n’est plus une priorité pour le Front National, qui l’a d’ailleurs déclassé dans son programme de 2012 : Marine le Pen préfère s’attaquer d’abord à la situation économique et sociale. C’est bien dommage, car à moins de réduire l’homme à n’être qu’un producteur ou un consommateur, l’économie n’est pas première : elle doit rester subordonnée au politique. L’homme en effet ne vit pas que de pain. Quant à la question sociale, qui peut ignorer qu’elle est aussi relative à la politique familiale et aux problématiques de l’éducation et de la démographie ?

En tout état de cause, les questions sociétales ne sont pas marginales : les interrogations qu’elle impliquent sous tendent en effet une idée de l’homme et de la place qu’il tient dans la société. En dernière analyse, toute politique repose donc sur une anthropologie. En l’occurrence, face à la mondialisation, et au mondialisme qui la prétexte pour émanciper l’homme de toutes attaches et de tout passé, pour niveler les différences et uniformiser nos sociétés, l’opposition nationale doit entretenir la vision de l’homme enraciné, rattaché à la planète par un ensemble de liens concentriques qui le constituent héritier aux sein des structures traditionnelles et historiques. A cette école, il existe principalement deux communautés naturelles d’appartenance : la famille d’abord, condition de la transmission de la vie et de l’éducation ; puis la nation, société plus vaste dans laquelle s’achève la cellule domestique.  La famille est ici un élément structurel de la nation,  puisque en organisant la filiation, elle devient la condition d’une société pérenne ; elle devient le fondement objectif d’une société qui ne peut s’inscrire dans la durée sans que soit assuré le renouvellement des générations et l’éducation des enfants.

Ce que Marine le Pen doit comprendre, c’est qu’il n’y a finalement pas de politique nationale sans politique familiale. Ce qu’elle doit comprendre, c’est que les ennemis de la famille sont les ennemis de nation. Car leur ressort idéologique est le même : dépasser les structures d’enracinement et d’appartenance pour libérer l’homme de tout lien de dépendance, de toute attache. Comme s’il n’était plus débiteur de rien ni de personne et qu’il pouvait se réaliser en dehors de toute relation à l’altérité. Un besoin d’indépendance jusqu’à l’absurde. Le ressort idéologique de ces négateurs du réel, c’est la volonté de rentrer dans un rapport de propriété aussi bien avec la famille qu’avec la nation, pour les soumettre à leurs caprices et à toutes les expérimentations possibles. Dans le sillage des théories du contrat social qui récusent le caractère naturel et organique de toute société humaine.

Ce que Marine le Pen doit saisir, ce sont les implications ultimes des principes qu’elle prétend défendre. Sans boussole idéologique, ni colonne vertébrale doctrinale, pas de crédibilité pour l’homme politique.

Jean de Rouen

Idéologie du Genre à l’école : le FN réagit

« Halte à ceux qui veulent déconstruire les enfants ! » s’insurge Françoise Grolet, conseiller régional de Lorraine, dans un communiqué.

La Ligue de l’Enseignement, association gauchiste, met effectivement en place un projet national « Ecole et cinéma », qui mobilise 645 000 enfants par an pour un cycle de trois films. Voici comment le présente la fiche pédagogique : « Laure a 10 ans. Laure est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à Lisa et sa bande qu’elle est un garçon. Action ou vérité ? Action. L’été devient un grand terrain de jeu et Laure devient Michael, un garçon comme les autres… suffisamment différent pour attirer l’attention de Lisa qui en tombe amoureuse. Laure profite de sa nouvelle identité comme si la fin de l’été n’allait jamais révéler son troublant secret ».

Le conseiller FN condamne ce film qui « propage clairement l’idéologie du Genre, qui essaie de substituer, à une humanité composée d’hommes et de femmes, des individus dotés d’une « orientation sexuelle » interchangeable« . Françoise Grolet souligne que l' »auteur, Céline Sciamma se revendique comme militante de la cause lesbienne, et a reçu à la Biennale de Berlin 2011 le « Teddy Awards » dédié aux films évoquant l’homosexualité« .
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« Mariage » gay : manifestation au Vatican !

Alors qu’une manifestation réunissait ce week-end à Paris quelques milliers de partisans du »mariage » gay, une autre a été organisée…au Vatican ! Enfin plus exactement, à proximité de la place Saint-Pierre. Cet épisode s’est déroulé hier, lors de l’Angélus du troisième dimanche de l’Avent célébré par Benoit XVI, place Saint Pierre. Alors que l’Angélus rassemblait plusieurs dizaines de milliers de fidèles, la quinzaine de manifestants s’est vue interdire quant à elle l’accès à la place Saint-Pierre.

Ces militants extrémistes ont brandi des coeurs marqués de slogans tels que « Mariage gay », « L’amour n’a pas de barrières » ou encore « Epousez la paix » et « Aime ton prochain ». Le pape avait en effet rappelé vendredi la position de l’Eglise catholique contre le mariage entre homosexuels, suscitant la colère des hétérophobes. Il a appelé à respecter « la structure naturelle du mariage comme union entre un homme et une femme face à des tentatives de le rendre juridiquement équivalent à des types d’union radicalement différents« . »Ce genre de tentatives contribue en fait à déstabiliser le mariage, en modifiant sa nature spécifique et son rôle indispensable dans la société » a-t-il poursuivi.

Homme de Dieu, soucieux de faire discerner et respecter  l’ordre naturel crée par Dieu, le Saint-Père répètera inlassablement, à temps et à contre-temps, les vérités immuables que l’homme n’a pas faites mais dont il est débiteur dans toutes les dimensions de l’économie humaine. Quitte à provoquer l’ire des vierges effarouchées…

« Mariage » homosexuel : Baudis dénonce le vice contenu dans le projet de loi

Hier, lors d’une audition devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, le défenseur des Droits Dominique Baudis a signalé de « nombreuses incertitudes juridiques préjudiciables » à « tous les enfants » dans le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels.

Dominique Baudis a précisé que « La réserve qu’ [il] formule porte sur la méthode d’élaboration du projet de loi ». En effet, il observe que dans ce projet, « on part de revendications exprimées par les adultes » et « la question des enfants n’est traitée que par voie de conséquence ». Cette démarche « fait surgir de nombreuses interrogations » souligne-t-il.

Car enfin, la loi doit protéger la filiation et l’enfant ! Elle doit garantir les droit de l’enfant, et non promouvoir le droit à l’enfant ! Car l’enfant n’est pas un dû ; il est un don. C’est tout le problème d’un projet de loi qui postule que la loi doit être ordonnée à la satisfaction des intérêts égoïstes et individuels, et non au bien commun qui passe par la filiation et la transmission.

« De cette confusion, résultent de nombreuses incertitudes juridiques préjudiciables aux enfants. À tous les enfants » poursuit Dominique Baudis. Le Défenseur des Droits a souhaité que la commission parvienne par conséquent « à dissiper ces incertitudes afin que la future loi apporte toute la clarté nécessaire, dans l’intérêt des familles et principalement des enfants ». A notre avis, l’intention originelle de la loi étant viciée, c’est tout le projet qu’il faut abandonner…

Thuram s’enferme dans un délire communautaire

Lilian Thuram, ancien joueur de l’équipe de France de football, participait hier à un chat sur le site homosexuel Yagg.com : il y juge « surréaliste de devoir faire une manifestation pour l’égalité » des droits, comme celle prévue le 16 décembre. « Ca me ramène des décennies en arrière, lors des marches aux États-Unis où des personnes noires faisaient des marches pour demander des droits. Faire cette même marche en 2012 prouve que l’égalité c’est quelque chose qui se construit et qui se gagne« , ajoute-t-il.

Et pour finir en beauté, il s’engage dans le discours victimaire et communautaire, en se demandant « si ceux qui refusent le mariage pour tous se rendent compte qu’ils sont dans la même démarche que ceux qui refusaient l’égalité à des hommes et des femmes parce qu’ils étaient noirs« .

On entend ici le discours consumériste qui considère que la loi doit satisfaire les intérêts individuels et catégoriels, et non promouvoir le bien commun. Le footballeur n’est manifestement pas un intellectuel. Si le mariage fait l’objet d’une législation, c’est parce qu’il a une fonction sociale, c’est parce qu’il fonde la famille, cellule de base de la société : construit autour de la complémentarité sexuelle, il organise la filiation et assure la pérennité de la société.

Dans cette perspective, tous les individus sont égaux devant la loi car celle-ci s’applique à tous : chacun peut en effet se marier avec un individu de sexe opposé. Mais là où la loi voit l’individu, Lilian Thuram voit l’orientation sexuelle : il catégorise la population, identifiant l’individu à son orientation sexuelle. Et Thuram de mettre la loi au service de ces catégories, avant l’intérêt supérieur de la société…

JdR

Le gouvernement veut rééduquer plus violemment encore les enfants !

Les enfants ont ce bon sens naturel qui leur permet de savoir, par exemple, que les garçons et les filles sont différents, que les vrais couples sont constitués d’un homme et d’une femme, etc.

Cette donnée de la nature est insupportable pour les idéologues de gauche et les pervers en tout genre qui agissent dans les coulisses des mondes politique et médiatique.

Le gouvernement prévoit donc d’intensifier le lavage de cerveau des enfants, dès la maternelle !

C’est dans des termes effarants que le site du Ministère des affaires sociales et de la santé présente ainsi le projet « ABCD pour l’égalité » :

« La création du programme « ABCD de l’égalité », qui s’adresse à l’ensemble des élèves de la grande section de maternelle au CM2 et à leurs enseignants, vise à déconstruire des stéréotypes de genre. (sic) »
Comme si le fait les différences physiques, psychologiques, sociales et les différences d’aspirations naturelles étaient une construction sociale et non une réalité naturelle…

Avant de poursuivre : « une documentation pédagogique, coproduite par le ministère des droits des femmes et le ministère de l’éducation nationale, sera mise à la disposition des enseignants sous forme physique et numérique. Cet outil pédagogique permettra de travailler sur les connaissances, les attitudes et les comportements des enseignants et des élèves en matière d’égalité filles-garçons et sera accompagné d’une formation. En cours d’élaboration, il sera expérimenté à la rentrée 2013 dans cinq académies et fera l’objet d’un protocole d’évaluation pour être généralisé dans toutes les écoles à la rentrée 2014. »

Un casting morbide pour « Ni putes ni soumises »

L’association extrémiste « Ni putes ni soumises » préparait le mois dernier un casting en vue d’un happening parisien, prévu le 25 novembre à Beaubourg, dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Le concept ? Trouver 122 femmes, symbolisant les 122 victimes mortes sous les coups de leur compagnon en 2011. Morbide. Rendez-vous a été donné à toutes les « figurantes », tôt le dimanche matin, afin de les maquiller en femmes battues : elles ont ainsi été filmées toutes ensemble vers midi, tombant simultanément dans la rue.

Un fait rassurant cependant, l’association n’a pas réussi à réunir 122 adhérentes pour le casting : en difficulté, quelques jours avant la date de la manifestation, pour trouver 122 femmes prêtes à se faire maquiller, elle a dû racoler pour trouver des figurantes. L’annonce officielle sur le site de l’association étant apparemment insuffisante, un mail a également circulé, en effet, sur plusieurs listes de diffusion.

Un prêtre, prêt à célébrer le « mariage » homosexuel

Elie Geffray est à la fois prêtre… et maire. Prêtre, il l’est depuis 46 ans dans le diocèse de Saint-Brieuc. Maire, il administre depuis 2008 la commune d’Eréac, dans les Côtes d’Armor. Indifférent au « mariage » homosexuel et aux enjeux qu’il implique, il ne considère pas non plus « légitime » la demande de certains maires d’obtenir une clause de conscience : lui-même célèbrera le « mariage » homosexuel si la loi le lui demande…

Interviewé par le journal la Vie, il affirme qu’ « un maire a une mission précise, qui est d’appliquer les lois de la République, et il n’a pas à le faire en fonction de son appréciation personnelle. La laïcité permet à chacun de conserver ses convictions, mais ces convictions n’ont pas à intervenir dans l’exercice des fonctions d’un officier d’état civil. On peut s’opposer à ce projet de loi maintenant. En revanche, quand la décision est prise, il faut la respecter« .

Que Monsieur l’Abbé nous pardonne de le renvoyer à saint Paul : « Il faut mieux obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ». Ce prêtre nie-t-il l’existence de principes supérieurs à la loi de hommes ? Croit-il encore en Dieu dans ce cas ou en une quelconque transcendance ? Nous suggérons au Père Geffray de se plonger dans Saint Thomas d’Aquin et dans la Doctrine Sociale de l’Eglise : il s’apercevrait alors que tout ce qui est légal n’est pas nécessairement légitime car en dernière analyse, le droit ne tient son autorité de la volonté fluctuante et arbitraire de l’homme…

SOS Homophobie : son agrément « éducation nationale » est annulé

Le Tribunal administratif de Paris a retiré, le 23 novembre dernier, l’agrément que le ministère de l’éducation nationale avait accordé en 2009 à l’association communautaire SOS Homophobie. Cette décision de justice, annoncée lundi soir, fait suite à une plainte déposée par la confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC).

La CNAFC, et d’autres associations catholiques, avaient engagé une action en justice en octobre 2009, après avoir été saisie «par des parents gênés par le contenu du module de sensibilisation» utilisé par SOS Homophobie dans les classes.

Le Tribunal a finalement retenu que les scénarios «Le proviseur homophobe» ou encore «La mère homophobe», destiné à faire réfléchir les élèves, étaient «insuffisamment nuancés» et qu’ils portaient atteinte au «principe de neutralité qui s’impose aux associations qui interviennent dans l’enseignement public».

C’est une très bonne nouvelle ! Car il est inadmissible, sur le principe, que des associations quasi communautaires, dont la doctrine idéologique est discutable, se substituent aux parents pour parfaire l’éducation des enfants sur des sujets aussi sensibles. Ou comment l’Etat distille le poison de l’idéologie consumériste et soixante huitarde aux plus jeunes, en utilisant des associations en milieu scolaire comme levier…

Paris en lice pour accueillir les « Gays Games » !

Danse rituelle se déroulant à chaque "Gay Games". Aux fous...

Pour la deuxième fois de son histoire, après avoir postulé pour 2014, Paris est en lice pour devenir la ville qui accueillera les Gay Games 2018. La capitale française doit affronter, parmi les autres postulants,Orlando (Etats-Unis), Amsterdam (Pays-Bas), Londres (Angleterre), et Limerick (Irlande).

Vous connaissez les Gays Games ? « C’est une manifestation sportive et culturelle qui n’est absolument pas réservée aux homosexuels, explique Michel Geffroy, le coprésident de la candidature parisienne. Elle est ouverte à tous, quels que soient vos préférences sexuelles, vos origines, votre condition athlétique, votre handicap… Elle a lieu tous les quatre ans et dure une dizaine de jours, avec des cérémonies d’ouverture et de clôture. Elle comprend 36 disciplines sportives et, pour la partie culturelle, notre projet prévoit des festivals de musique et de cinéma, ou encore un défilé de mode, des expos, des visites thématiques de la ville… »

Curieux, dans la mesure ou cette manifestation est « ouverte à tous », de la catégoriser en la nommant ainsi. Tout cela sent la discrimination à plein nez. Bertrand Delanoë, qui a perdu le dossier des JO 2012, essaie sans doute de se rattraper sur ce coup là : peut-être aura-t-il moins de mal cette fois-ci…

Inutile de préciser que l’organisation de ces jeux, pour le plaisir d’un Delanoë se prenant pour un satrape romain décadent et voulant transformer Paris en Sodome ou Gomorrhe, couteraient une fortune au contribuable.