Adil Rashid, 18 ans,est musulman, et c’est ce qui l’a sauvé de la prison anglaise. Violeur d’une jeune fille de 13 ans, son éducation religieuse vient de le soustraire à une peine de prison : le juge ayant entendu en effet que Rashid avait fréquenté une école religieuse islamique dans laquelle on lui avait enseigné que les femmes n’ont aucune valeur, il a considéré que Rashid était «passif», «manquait d’assurance» et que l’envoyer en prison risquait de «lui faire plus de tort que de bien».
L’’avocat de Rashid, Laban Leake, a fait savoir que «l’école qu’il fréquentait peut être décrite sans exagération comme une communauté fermée, tout comme sa vie familiale. Ce n’est pas exagéré de dire qu’il ne pouvait pas savoir que les relations sexuelles avec une jeune fille de 13 ans sont illégales». Lors d’entretiens avec des psychologues, Rashid a d’ailleurs affirmé qu’il avait appris dans son son école que «les femmes ne valent pas plus qu’une sucette jetée par terre».
C’est bien souvent l’athéisme, l’oubli de Dieu et de toute transcendance, qui obscurcit le discernement et rend inaccessible les exigences du droit naturel. Hé bien dans ce cas, c’est pourtant une religion, l’islam, qui met en cause la dignité de la femme en la réduisant à n’être qu’un objet de consommation. Nous ne nous faisons aucune illusion sur le laxisme d’une justice qui utilise l’islam pour déresponsabiliser les criminels, mais cet épisode révèle en même temps le contenu souvent secret de l’enseignement des écoles coraniques. Voici une image qui, dans certains pays arabes, est utilisée comme publicité pour le voile islamique :


Non loin de là non plus, des jeunes du Renouveau français parisien ont marqué leur désapprobation en déployant une banderole sur le parcours, qui n’est pas passée inaperçue (voir par exemple le
Lu dans le
Le Monde se fait plaisir. En plein débat sur le « mariage » homosexuel, et face à la réaction que suscite le projet de loi, le quotidien panique et tente d’user de la corde affective pour faire pleurer dans les chaumières. Ainsi consacre-t-il un article,
En 2011, une déclaration du ministre Luc Ferry avait du bruit : il affirmait qu’un « ancien ministre », dont il n’a jamais donné le nom, s’était « fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons », assurant tenir cela des « plus hautes autorités de l’État ».