Mensonges et manipulation à propos de la manifestation FLN du 17 octobre 1961 à Paris

Article de Bernard Lugan :

Cinquante ans après la fin de la guerre d’Algérie, par le biais d’une machination particulièrement bien orchestrée, policiers, gendarmes mobiles, CRS et Harkis engagés le 17 octobre 1961 à Paris dans une opération de maintien de l’ordre, sont devenus des agresseurs accusés d’avoir massacré 300 manifestants algériens, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.
Tous les ans depuis 1991, ceux que le FLN désigne sous le nom de « Frères des Frères », organisent à grand renfort médiatique une cérémonie à la mémoire des « Martyrs Algériens » du 17 octobre 1961. Au mois d’octobre 2000, les « Frères des Frères » ont créé l’ « Association 1961 contre l’oubli ».
Cette année, la commémoration a pris un éclat particulier avec la présence du candidat socialiste aux futures élections présidentielles lequel a lancé une rose rouge à la Seine en mémoire des manifestants qui y auraient été noyés…

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C’était un 19 septembre… (bis)

1812 : mort de Meyer Amschel Rothschild à Francfort.
Il fut le fondateur de la dynastie banquière du même nom. Pour le magazine américain Forbes, il est le « père de la finance internationale ».

Il est né Mayer Amschel Bauer le 23 février 1744 dans le ghetto juif de Francfort-sur-le-Main dans l’ouest de l’Allemagne, fils de Moses Amschel Bauer. Il changea son nom en Rothschild (que l’on peut traduire en français par bouclier ou écusson rouge), en référence au bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis devenu celui de la banque et du commerce de prêt sur gage créés par son père Moses.

Destiné à devenir rabbin, il entra chez un banquier de Hanovre où il se constitua un petit capital qui lui permis de s’installer comme prêteur et changeur à Francfort.
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Quand un occultiste de renommée mondiale évoque la « main anonyme et vagabonde »…

«Tout groupe social, comme tout être humain a des organes visibles et invisibles. Pendant que les lois actuelles sont appliquées, d’autres lois s’élaborent en secret quelque part…

A côté de la politique nationale de chaque Etat, il existe des organismes peu connus de politique internationale… […] [Les grands enjeux mondiaux] se posent dans ces conseils internationaux auxquels prennent part, non pas des politiciens de carrière ou des ambassadeurs galonnés, mais quelques hommes modestes, inconnus, quelques grands financiers supérieurs, par leur conception large des actions sociales, aux politiciens orgueilleux qui se figurent, une fois ministres éphémères, gouverner le monde ». (Papus – Revue Mysteria – avril 1914.)

Papus, est plus connu sous le nom de Dr Encausse. Le site Wikipedia en dit très peu mais suffisamment pour comprendre que Papus était une très haute pointure des sciences occultes.

Faut-il s’étonner de l’impuissance apparente des pantins politiques dans la crise actuelle, dirigée avec maestro par ces personnages peu connus du grand public et qui décident dans « ces conseils internationaux auxquels prennent part, non pas des politiciens de carrière ou des ambassadeurs galonnés, mais quelques hommes modestes, inconnus, quelques grands financiers supérieurs ». La force de ce groupe d’individus, c’est l’aveuglement, malheureusement coupable de la grande majorité de nos contemporains qui peinent à croire ce qui, pourtant, est aveuglant.

source: LIESI

Toutânkhamon plus proche des Européens que des Egyptiens modernes !

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Ramsès II

On savait déjà, grâce à ses restes momifiés, que Ramsès II était roux.
La thèse de l’appartenance de la lignée pharaonique à la race blanche se trouve renforcée par une récente découverte génétique, concernant le célèbre Toutânkhamon (14e siècle avant notre ère).

Les scientifiques du centre généalogique de Zurich ont reconstitué le profil génétique du jeune pharaon (mort à 18 ans) et se sont aperçus qu’il appartenait au groupe de profil génétique nommé « haplogroupe R1b1a2 ».
Or, il n’y a dans l’Egypte actuelle, pas plus d’1% de la population (malgré sa diversité génétique) qui appartienne à cet haplogroupe.
En revanche, ce sont environ la moitié des Européens de l’Ouest qui en font partie !
Avec des pointes à 70% de la population (Grande-Bretagne, Espagne) et 60% pour la France (pourcentage différent peut-être du fait de la modification raciale, plus importante, actuellement en cours dans ce pays).

Toutankhamon

C’était un 5 août… (ter)

1884.
Pose, par la Grande Loge de New York, de la première pierre de la statue de La liberté éclairant le monde, sur l’île Beldoe du port de New York (source).

Son auteur est le franc-maçon français Frédéric Auguste Bartholdi.
La statue (dans un rapprochement avec Lucifer, « le porteur de lumière ») symbolise l’expansion de l’idéologie maçonnique (laïcisme, démocratie, subjectivisme, etc.) à travers la planète.
Et ce, si nécessaire à la lumière des bombes atomiques ou au phosphore…

C’était un 5 août… (bis)

1914. Décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).

Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre Ligue des droits de l’homme, dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle elle ne survécut d’ailleurs pas (comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissoute en 1904.
Lemaître était toutefois plus antimaçon qu’antisémite.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une oeuvre diverse et solide comme Les cmpoonterains (4 volumes).

Bon anniversaire au Portugal

Le 25 juillet 1139, Alphonse Enriques, comte du Portugal, vainc une coalition de roitelets musulmans à Ourique, dans l’actuelle province d’Alentejo, au sud du Tage.
C’est le « miracle d’Ourique », à l’origine du Portugal indépendant.

Les cinq écus bleus au centre du drapeau national rappellent les cinq rois maures vaincus à Ourique. Le drapeau va-t-il être modifié pour ne plus rappeler cet épisode xénophobe ?
Par ailleurs, Alphonse Enrique était d’origine française. Il était fils d’Henri de Bourgogne.

« 1951-2011 : qu’ont-ils fait de la France du Maréchal ? »

Il y a soixante ans exactement, le Maréchal Pétain s’éteignait et se tournait symboliquement la page d’une certaine France…
« Le plus vieux prisonnier du monde » condamné très iniquement pour avoir tenté, dans des circonstances particulièrement difficiles, de sauver la France vaincue et de redresser le pays – appuyé sur la doctrine nationaliste -, rendait l’âme après des années de tribulations, d’humilitation et de trahisons qu’il souffrit stoïquement.

Ci-dessous, un article du directeur de Rivarol (dans le numéro en cours), au mépris du politiquement correct.
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Nouvelle censure historique

Article intéressant de RUE89 sur les pressions du lobby juif sur les éditeurs de manuels scolaires :

Il aura suffi d’un mot, d’une phrase pour qu’une question d’histoire se retrouve censurée dans un manuel scolaire. Dans le cadre d’un chapitre consacré à « L’ONU et la question palestinienne, 1947-1948 », le nouveau manuel Hachette de première utilisait une photographie de Palestiniens chargeant des bagages dans une camionnette avec pour légende : « La Nakba. Les conquêtes de l’armée israélienne ont entraîné l’exode de près de 700 000 Palestiniens » (p. 139).

Dans la partie vocabulaire de ce chapitre, le terme Nakba est défini ainsi :

« Nakba : (“catastrophe” en arabe) expulsion de populations palestiniennes pendant la guerre israélo-arabe de 1948. »

Cette précision reflèterait-elle une dérive dangereuse pour la liberté de l’enseignement de l’histoire ? C’est ce que semble penser depuis quelques jours plusieurs associations juives de France qui dénoncent une « idéologisation » selon Richard Prasquier, président du Crif, et même une « révision de l’histoire » selon l’association Europe-Israël.

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Oradour : cette tâche ingrate qui nous incombe

Article écrit par Vincent Reynouard et publié le 9 juin 2011 dans l’excellent journal Rivarol :
Le jour où paraîtra cette nouvelle livraison de RIVAROL sera organisé, à Oradour-sur-Glane, la commémoration du 67e anniversaire de la fameuse tragédie qui coûta la vie à plus de 500 femmes et enfants dans l’église du village (sans oublier les hommes dans les granges). Pendant environ quinze ans, je me suis intéressé de près à cette affaire. Sept ans d’enquête, la publication d’un livre grand format de plus de 400 pages (« Le massacre d’Oradour. Un demi-siècle de mise en scène », éd. VHO), la diffusion d’une vidéo (« Oradour: cinquante ans de mensonges » puis « Oradour: le débat interdit ») et une longue saga judiciaire qui m’opposa aux gardiens de la Mémoire. Une saga qui, comme tout bon western, commença très mal (mon livre interdit sur tout le territoire national, ma condamnation à deux ans de prison pour « apologie de crime de guerre ») pour se terminer très bien (annulation de l’interdiction et cassation sans renvoi de l’arrêt qui me condamnait pour « apologie »), grâce à la formidable action de Maître Delcroix. Ajoutons à cela l’ouvrage du concepteur du Mémorial d’Oradour (Jean-Jacques Fouché, « Oradour », éd. Liana Lévi) qui déplut assez profondément aux associations des victimes et qui fut, pour les révisionnistes, une aubaine (Yves C…, « Réponse à Jean-Jaques Fouché », diffusion VHO).

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Un meurtre datant de 1946 élucidé

Une ancienne résistante néerlandaise, âgée de 96 ans, a avoué le meurtre en 1946 [sic] à Leiden (ouest des Pays-Bas) d’un ingénieur, dont elle pensait qu’il avait collaboré avec les nazis pendant la guerre, notamment en réparant un pont détruit par la résistance néerlandaise.

Atie Ridder-Visser s’était rendue le 1er mars 1946 chez M. Guljé et l’avait tué à l’aide d’un arme à feu. Le meurtre n’avait jamais été élucidé.

Cette femme était alors membre des services néerlandais de recherche des collaborateurs, et ne sera pas jugée, son crime étant prescrit.

Il s’avéra plus tard que Felix Guljé avait aidé des Juifs à se cacher pendant la guerre et organisé, chez lui, des réunions d’une organisation catholique interdite par l’occupant.

Source

Exposition : « Les Celtes. Druides. Princes. Guerriers »

Un lecteur de contre-info.com recommande l’exposition « Les Celtes. Druides. Princes. Guerriers ».
Il nous écrit : « j’ai été visiter hier une exposition en Allemagne sur les Celtes (2011 est l’année des celtes en Allemagne). Elle devait terminer le 22 mai, face au succès, elle est prolongée jusqu’au 21 août 2011. Franchement je la recommande chaudement: pas d’histoire déformée, pas d’anti-occidentalisme, juste des objets qui proviennent de France, du Luxembourg, de Belgique et d’Allemagne. C’est un grand bond dans le monde fantastique de nos ancêtres. L’expo sur place est aussi présentée en Français. »

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La vielle et l’épée… fine fleur de la chevalerie française

Lu sur lacropole.info :

Du 28 avril au 26 septembre, le musée de Cluny, à Paris, présente une exposition intitulée l’épée. Usages, mythes et symboles. L’occasion pour Isabelle de Rancourt de revenir sur cet objet qui a traversé les âges et les civilisations.

Durandal, Joyeuse, Tizona1….que n’évoquent-ils pas pour nous, ces noms environnés de mythe et de la brume des temps, reflets d’un autre âge où l’honneur encore était de mise, et les passions viriles d’un peuple qu’habitaient la fierté et l’amour de sa race.
Ce sont ces noms que fait résonner pour nous le musée du Moyen Age, qui présente pour les mois à venir une très belle exposition – « L’Epée. Usages, mythes et symboles » – quelques bribes éparses d’un passé cher à nos cœurs et qui palpite encore en nous, comme pour y vivifier les quelques étincelles que nous gardons de l’âme de nos pères. Le lecteur pardonnera sans peine l’excessive nostalgie de ces quelques lignes – sentiment familier à qui porte en lui l’irrémédiable passion de la France. On aime à s’attarder devant ces vestiges glorieux, des fragments du trésor de la tombe de Chilpéric, grenats cloisonnés d’or où l’on retrouve tout l’art de la métallurgie cher à nos ancêtres les « Barbares », à la lame fine et élégante de l’épée dite de Sainte Jeanne d’Arc, en passant par l’épée du dernier roi maure de Grenade, Boadbil, symbole de victoire de la chrétienté sur l’envahisseur musulman.

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