Le chef de la Maison de Bourbon, le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, est actuellement dépositaire de la tête d’Henri IV. Celle-ci lui à été remise par ses propriétaires et il la conserve dans un coffre-fort d’une banque parisienne.
L’aîné des Capétiens réponds ici aux question du Figaro, et expose notamment le sens et la portée d’un tel dépôt. « J’ai senti le poids de l’Histoire » explique-t-il. Avant de poursuivre : »C’est de ma responsabilité de chef de la Maison de Bourbon et aîné de ses descendants de prendre en charge cette tête pour la remettre à la basilique Saint-Denis, nécropole royale qu’elle n’aurait jamais dû quitter« .
Il est des événements qui nous rappellent en effet que nous sommes d’abord des héritiers, et que ce que l’Histoire nous lègue en dépôt nous constitue débiteurs.
« J’ai sollicité l’Élysée, d’abord sous la présidence de Nicolas Sarkozy, puis sous celle de François Hollande, tout simplement parce qu’Henri IV est un chef d’État français. Je propose au président de la République de réinstaller ensemble, lors d’une cérémonie, la tête d’Henri IV » précise le prince au cours de cette interview. Reste que la République s’est à bâtie en opposition et en rupture avec l’ancienne France ; qu’elle s’est construite sur les ruines de la tradition capétienne qu’incarne le duc d’Anjou, et sur les cadavres de ses fidèles et héroïques défenseurs. Il n’est donc pas évident que François Hollande, usurpateur au regard des lois fondamentales que l’Histoire de France a sécrétées, accepte la requête de l’héritier du trône…
Une étude a été menée sur 12.326 écoliers de 8 à 12 ans dans 153 établissements sur la »victimation scolaire ». Le constat est troublant : « le taux de victimes d’un harcèlement qui cumule violences répétées physiques et verbales peut être estimé à 11,7% des élèves » selon le figaro. En regardant plus en détail la liste des faits considérés comme étant des violences, certains faits peuvent être considérés comme mineurs : »16% des enfants répondent être affublés d’un prénom méchant, 25% ont été injuriés et 14% ont fait l’objet de rejet. » En revanche, d’autres le sont moins : « pour les violences physiques, 17% ont déjà été frappés souvent ou très souvent. Les violences entre enfants à connotation sexuelle ne sont pas rares, elles non plus: 20% des élèves disent avoir été regardés aux toilettes, 14% forcés de se déshabiller et 20% forcés d’embrasser un autre enfant. »(
Sur le site internet du Figaro, dans la rubrique « Flash Actu », un titre a retenu toute notre attention : Un jeune agressé dans le métro parisien.