C’était un 29 mars…

1791 : émeutes contre-révolutionnaires à Toulon.

1796 : mise à mort, à Nantes, du général vendéen François-Athanase baron de Charette de la Contrie.

Après avoir longuement et courageusement combattu les armées terroristes républicaines en Bretagne et en Vendée, à la tête de dizaines de milliers de contre-révolutionnaires (il était surnommé « le Roi de la Vendée »), il finit capturé dans les bois de la Chabotterie avec seulement 32 fidèles à ses côtés.
Conduit à Nantes, il est condamné à mort et fusillé ce 29 mars place Viarme. Peu avant le moment fatidique, il déclare : « Seigneur, entre tes mains je remets mon esprit. » Refusant d’avoir les yeux bandés, il commande lui-même le peloton d’exécution, après avoir lancé aux soldats : « Lorsque je fermerai les yeux, tirez droit au cœur ! »
Pour des livres sur Charette, voir ici.

1880 : en France, décret annonçant la dispersion des Jésuites et des congrégations non reconnues par l’Etat. C’est le début d’une nouvelle vague de lutte et de persécutions contre l’Eglise – par la République –, qui va durer plusieurs décennies.

1886 : Continuer la lecture de « C’était un 29 mars… »

C’était un 27 mars… 1944 : Biarritz bombardée par les Anglo-américains

Ce jour-là, un raid aérien des alliés a lieu sur Biarritz et fait de nombreuses victimes civiles ( environ 117 morts et 250 blessés).

Sur les bombardements alliés ayant ravagé la France en général, on peut lire notamment deux livres : Les Français sous les bombes alliés d’Andrew Knapp et La France sous les bombes américaines de Jean-Claude Valla.
Ces bombardements ont fait près de 100 000 morts parmi les civils français !
On n’en parle jamais
, contrairement à d’autres choses qui concernent beaucoup moins les Français.

Voici comment raconta cette affreuse journée La Gazette de Bayonne, Biarritz et du Pays Basque, dans son édition du 28 mars 1944 (source Pays basque d’antan) :

« Biarritz victime d’un raid terroriste anglo-américain.

On compte de nombreux morts et blessés. Les dégâts sont considérables.

Biarritz bombardée.
Biarritz plongée dans le deuil et la désolation.

Aucun esprit sensé n’eût pu raisonnablement penser à une pareille éventualité. Continuer la lecture de « C’était un 27 mars… 1944 : Biarritz bombardée par les Anglo-américains »

C’était un 26 mars… 1962 : le massacre de la rue d’Isly

Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
« dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

Plus de détails sur ce site notamment.

C’était un 25 mars…

1351 : à Ploërmel, en pleine Guerre de succession de Bretagne, un grand tournoi est organisé afin d’éviter une guerre générale : c’est le « combat des Trente ».
Face à face, trente chevaliers anglo-bretons, partisans du duc Jean de Montfort, et trente franco-bretons qui apportent leur soutien à Charles de Blois.
La victoire reviendra au parti français et Charles de Blois prendra le duché de Bretagne. Récit de la bataille en fin d’article.

1847 : naissance, à Nantes, du colonel Georges de Villebois-Mareuil, officier nationaliste, cofondateur de l’Action française, engagé volontaire dans l’armée bœr en 1899, et assassiné dans une embuscade par les Anglais en 1900, après avoir été trahi par son guide.
De nombreuses rues ou places en Bretagne (et l’une à Paris) portent encore son nom.

1914 : à Maillane, mort du poète provençal, Frédéric Mistral, auteur de Mireille, fondateur du Félibrige, prix Nobel de littérature en 1904. Son disciple et ami Charles Maurras écrit dans l’Action française :
Continuer la lecture de « C’était un 25 mars… »

C’était un 23 mars…

1372 : libération de Niort par Bertrand Du Guesclin.
En utilisant une ruse de guerre, le connétable de France reprend la ville qui est aux Anglais depuis 12 ans. Il déguise en soldats anglais 200 des siens qui se font ouvrir les portes par des sentinelles imprudentes.

1792 : Les Girondins prennent la tête de la Révolution.  Continuer la lecture de « C’était un 23 mars… »

C’était un 22 mars : la lettre de sainte Jeanne d’Arc aux Anglais

« Je suis ici envoyée de par Dieu, le Roi du ciel, pour vous bouter hors de toute la France »

La petite bergère écoutant sainte Catherine, sainte Marguerite et l’archange saint Michel lui donnant mission.

Nous sommes en 1429, et, avant d’entamer sa campagne militaire, la jeune Lorraine écrit ces lignes puissantes et visionnaires…
Sainte Jeanne d’Arc, du haut du Ciel, sauvez à nouveau la France !

« Jesus Maria,

Roi d’Angleterre et vous duc de Bedford, qui vous dites régent du royaume de France, vous Guillaume de La Pole, comte de Suffolk, Jean sire de Talbot et vous Thomas sire de Scales, qui vous dites lieutenants du dit duc de Bedford, faites raison au Roi du ciel, rendez à la Pucelle qui est envoyée ici par Dieu, le Roi du ciel, les clés de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est ici venue de par Dieu pour réclamer le sang royal. Elle est toute prête à faire la paix, si vous voulez lui faire raison, en abandonnant la France et payant pour ce que vous l’avez tenue.
Continuer la lecture de « C’était un 22 mars : la lettre de sainte Jeanne d’Arc aux Anglais »

C’était un 21 mars…

1793 : la Convention adopte un décret de surveillance des étrangers, qui – s’il n’était bien sûr pas pris dans une bonne perspective à l’époque – pourrait être source d’inspiration aujourd’hui…
Ce texte prévoyait la création dans chaque commune, d’un comité de 12 citoyens chargés de surveiller les allées et venues des étrangers et d’ordonner éventuellement leur expulsion. Il stipulait que les étrangers en situation irrégulière, qui refuseront d’être expulsés, seront punis de 10 ans de détention et que « tout étranger saisi dans une émeute » sera exécuté.

L’arrestation du duc d’Enghien

1804 : enlevé à Ettenheim et ramené à Paris, le fils unique du dernier prince de Condé et espoir des royalistes, Antoine Henri de Bourbon, est fusillé dans les fossés de Vincennes à l’âge de 31 ans.
Dès 1789, quelques jours après la prise de la Bastille et devant les troubles révolutionnaires, il avait, à l’âge de 17 ans, rejoint l’Armée des « émigrés » qui se formait outre-Rhin sous le commandement de son grand-père, le prince de Condé et de son père, le duc de Bourbon, pour rétablir la royauté.
En 1804, l’Europe est apaisée mais Napoléon veut assoir son pouvoir et craint les royalistes : il décide donc de cet assassinat politique, qui scandalise l’Europe entière et fait basculer Chateaubriand dans l’opposition à l’« Usurpateur ».

1886 : naissance à Paris, du journaliste, écrivain et critique royaliste Henri Massis. Il fut rédacteur en chef de la Revue universelle, de sa fondation à la mort de Jacques Bainville en 1936. Académicien, il fut épuré pour fidélité au maréchal Philippe Pétain. Il signa de nombreux ouvrages, dont Défense de l’Occident (1927), Barrès et nous (1962), Le souvenir de Robert Brasillach (1963), etc. On peut se procurer ici plusieurs de ses livres.

1899 : Continuer la lecture de « C’était un 21 mars… »

C’était un 19 mars…

Fête de saint Joseph, patron de l’Eglise universelle, mais aussi saint patron des pères de famille, des mourants, etc.
On recourt aussi beaucoup à lui pour des soucis matériels (emploi, logement, mariage, etc.). Fête de 1ère classe dans l’Eglise catholique.

1937 : Pie XI publie l’encyclique Divini Redemptoris : « le communisme est intrinsèquement pervers, et l’on ne peut admettre sur aucun terrain de collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne ». Jamais un système politique ne fut condamné aussi radicalement par le magistère. On peut retrouver le texte en fin d’article.

1944 : décès, près de Toulouse, du général de Curières de Castelnau, doyen des grands chefs de l’armée française. Né en 1851 dans une vieille famille du Rouergue, il avait participé à la guerre de 1870 dès sa sortie de saint Cyr. C’est lui qui proposera, en 1916, à Joffre de nommer Philippe Pétain au commandement de l’armée de Verdun. La Grande guerre lui aura coûté trois de ses fils. Elu à la chambre bleu horizon, il devient en 1925, président de la Fédération nationale-catholique ainsi que de la Ligue des patriotes. Il aurait du être le « quatrième maréchal » mais il était trop catholique et pas assez franc-maçon pour cela. Une biographie lui a récemment été consacrée.

1946 : Marcel Bucard, chef du Parti franciste (se voulant l’unique équivalent français du fascisme italien), tombe sous des balles françaises à 10h35 au fort de Châtillon, après avoir chanté « Je suis chrétien, voila ma gloire ».
Il avait marché vers le poteau pieds nus, comme les martyrs, vêtu de sa chemise bleue, puis avait prié avec l’aumônier ; refusant le bandeau et une fois attaché, il s’écria « Qui vive ? France ! ».
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C’était un 18 mars : l’assassinat de François Duprat

Ce jour de 1978, à Caudebec-en-Caux (Normandie), François Duprat était victime d’un attentat à la voiture piégée, jamais élucidé. Sa femme fut gravement blessée.

Professeur d’histoire et de relations internationales, numéro 2 du Front national (voire « numéro 1 bis »), âgé de 37 ans, François Duprat était chef de file du courant « nationaliste-révolutionnaire ».
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C’était aussi un 18 mars…

1904 : en Suisse, Lénine et Mussolini figurent parmi les orateurs de la traditionnelle commémoration de la Commune de Paris, organisée à Plainpalais, sous la présidence du Dr Wyss, président du parti socialiste genevoix.

1910 :  au cabaret montmartrois du Lapin agile, Roland Dorgelès et André Warnod attachent un pinceau à la queue d’un âne et lui font barbouiller une toile posée sur un chevalet.

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C’était un 15 mars…

44 av. JC : assassinat de Jules César par des Sénateurs romains. Des rumeurs courraient, disant qu’il voulait se faire couronner roi. Si les assassins visaient à restaurer la République, ils furent déçus puisque s’ensuivirent quinze ans de guerre civile, puis ce fut le règne sans partage d’Octave dit Auguste.

1er siècle : à Césarée de Cappadoce, martyre de saint Longin, soldat romain, que l’on croit être celui qui perça de sa lance le côté du Seigneur.
La Légende dorée raconte qu’après sa conversion, il renonça aux armes et vécut en ermite en Cappadoce où il « convertit beaucoup de monde ».

 

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C’était un 14 mars : prise de Cholet par les Contre-révolutionnaires

Cette journée de 1793, quelques jours seulement après le début du soulèvement des paysans vendéens, ceux-ci sont parvenus à s’organiser et à se trouver des chefs en les personnes de Jacques Cathelineau (simple colporteur et sacristain de Pin en Mauges) et de Jean-Nicolas Stofflet (garde-chasse).
L’« Armée catholique et royale », dont de nombreux membres ne sont armés que de faux, parvient, ce jour du 14 mars 1793, à prendre Cholet, ville importante.

Les 3 pôles d’insurrection vendéenne :
* L’armée du Marais autour de Léger
* L’armée d’Anjou autour de Cholet
* L’armée du centre dans le bocage

Après cette première prise de Cholet et avec un chef à son image, l’armée paysanne progresse vers Chalonnes-sur-Loire (au sud d’Angers) puis Thouars. Cette victoire provoque le soulèvement de toute la Vendée sous les drapeaux de l’insurrection.

La Guerre de Vendée, que Napoléon qualifiera de Guerre de géants a commencé…

Six mois après la prise de Cholet, les Bleus emmenés par Kléber et Marceau, parviendront à récupérer la cité, après des combats acharnés.
En mars 1794, Stofflet reprend la ville. Louis Turreau la fera alors entièrement brûler…

C’était un 13 mars…

Au premier plan, le cadavre de Condé juché sur un âne. À l’arrière-plan, la défaite des protestants (représentés, en tant qu’hérétiques, comme des « singes du diable ») à l’issue de la bataille de Jarnac. Enluminure du manuscrit Carmen de tristibus Galliae, 1577

1569 : bataille de Jarnac entre l’armée royale et les huguenots français.
Au cours de la 3e guerre de religion, le Lieutenant-général du Royaume Henri d’Anjou (futur Henri III) passe sur la rive droite de la Charente et surprend les Huguenots, installés dans Jarnac.
Leur chef
Condé charge avec toute sa cavalerie. Il se fait encercler et sa cavalerie est anéantie. Lorsqu’il veut se rendre au Duc d’Anjou, il meurt d’un coup de mousquet. Gaspard de Coligny réussit à se replier avec 6 000 de ses soldats sur La Rochelle. Victoire royale.
Le futur Henri IV (dans l’armée huguenote) ayant appris la mort du prince de Condé se jette au plus fort de la mêlée et en est retiré de force par ses officiers. Ouvrant son pourpoint à cause de la chaleur il laisse entrevoir un … scapulaire à l’effigie de Notre Dame. La vue de cet objet catholique stupéfia tellement son entourage que sa mère, la dure Jeanne d’Albret, dut expliquer que ce scapulaire a été mis autour du cou du futur roi le jour de sa naissance.

1634 : Continuer la lecture de « C’était un 13 mars… »

C’était un 10 mars…

1793 : à la suite de la décision de la levée en masse de 300 000 hommes à Saint Florent le Vieil, début de la guerre de Vendée, dont la première partie va durer jusqu’au 21 décembre de la même année.
Ce même jour, création du Tribunal révolutionnaire. Une seule alternative : l’acquittement ou la mort. Quelques statistiques sur Paris uniquement : 20% des suppliciés sont des nobles, 9% des membres du clergé, et 71% sont des ouvriers, des artisans ou des paysans. (livres sur ce thème ici)

1861 : prise de Saïgon par les troupes françaises.

1945 : Tokyo est bombardée, de minuit à trois heures du matin, par 279 avions américains portant chacun 7 à 8 tonnes de bombes incendiaires. Bilan : entre 200 000 et 250 000 morts et disparus.

1962 : attentat (faussement) attribué à l’OAS, contre le local du Parti communiste à Issy-les-Moulineaux. Il s’agissait en fait d’une provocation gaulliste.

C’était un 9 mars…

1661: à l’occasion de la mort de Mazarin, Louis XIV décide d’être son propre premier ministre. Il effectue une entrée fracassante au Conseil, en tenue de chasse, fouet à la main. Ces objectifs, avec Colbert, sont de faire rendre gorge aux profiteurs et de ramener la noblesse à la cour.

1831: le roi Louis-Philippe 1er fonde la Légion étrangère, en vue d’encadrer les recrues étrangères, à commencer par les mercenaires suisses. Il renoue ce faisant avec la tradition des régiments étrangers attachés aux rois de France. C’est en Algérie que la légion s’illustre pour la première fois, sous la devise : « Honneur et Fidélité », avant d’acquérir ses lettres de noblesse à Camerone (Mexique).

1945 : à l’initiative de ses nombreux responsables ayant appartenu à la Résistance, le très important « Parti social français » de François de la Rocque doit tenir son congrès, mais le gouvernement provisoire de De Gaulle annonce que le PSF est et demeure dissous.
Or, en fait, l’Union interfédérale du PSF a été dissoute par le général allemand Oberg le 2 novembre 1942. Malgré une ordonnance de non-lieu du 22 mai 1946, la formation légale et légaliste du colonel de la Rocque (lui-même arrêté par la Gestapo début 43 et interné jusqu’à la fin de la guerre) demeurera interdite par le pouvoir gaulliste pour empêcher la renaissance d’un parti nationaliste.
Signalons que des mémoires (carnets de captivité) du général de La Rocque ont été récemment publiés (voir ici).

1945 : les 9 et 10, coup de force japonais en Indochine. 60 000 Japonais attaquent perfidement 12 000 Français des garnisons de Langson, Hanoï, Hué, Saïgon.
Arrestation des amiraux Decoux et Bérenger, du général Aymé, etc. Massacre à Langson. Décapitation du général Lemonnier et du résident Auphelle. La colonne Alessandri amorce son repli vers la Chine.
Plusieurs milliers d’Européens (et davantage encore d’indigènes profrançais) mourront durant ces 48h ou pendant l’inhumaine captivité qui suivra.
Cette action japonaise va semer le chaos en Indochine, promouvoir le Viet-Minh communiste et porter un rude coup à la présence coloniale de la France – dont l’administration est totalement désorganisée – dans le Sud-Est asiatique.
Voir détails de cette horrible journée en fin d’article.

Prisonniers français, à Lang Son, avant leur massacre

1971 : à l’issue d’un meeting d’Ordre nouveau, au Palais des sports de la porte de Versailles, de violents incidents opposent militants nationalistes et opposants gauchistes.

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