La mascarade du Père Desbois

Le camp « exterminationniste » a accueilli, dans la joie et l’euphorie, l’arrivée du providentiel Père Desbois, bien décidé à prouver la réalité de l’extermination de 2 millions de juifs en Ukraine : la désormais célèbre « Shoah par balles ».
Une nouveauté fumeuse, qui vient comme renforcer la « Shoah » officielle et obligatoire et semble vouloir effacer le souvenir trop fragile du génocide certifié de 5 millions d’Ukrainiens par les « Soviétiques » en 1932-33.
L’homme, à la neutralité douteuse, continue de s’agiter et bénéficie d’une bienveillance médiatique continue.

Laissons un éminent spécialiste commenter son maître-ouvrage :

Il est connu qu’une tragédie peut s’achever en farce. Le Père Patrick Desbois est un sacré farceur, à la veste duquel Nicolas Sarkozy-Mallah vient d’agrafer le ruban de la Légion d’honneur.
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L’apport des Francs à la langue française

Les Francs n’ont pas seulement donné leur nom à la France ; leur langue, le francique ne disparaîtra pas sans avoir laissé de trace dans la langue française.

L’apport franc à la constitution de la langue française se distingue d’autres apports (mots de formation savante pris du grec ancien, mots isolés d’origine italienne, espagnole ou arabe…) par le fait qu’il résulte de l’implantation, sur le territoire gaulois, d’une population de langue germanique : les Francs. Si ces derniers apprennent assez rapidement à s’exprimer dans le bas-latin parlé par les gallo-romains, ils n’en continuent pas moins à pratiquer jusqu’à la dynastie carolingienne leur langue germanique d’origine : le francique.
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Le dernier combattant de la guerre 14-18 est mort

Le Britannique Claude Choules, dernier vétéran connu de la Première Guerre mondiale, est mort mercredi en Australie à l’âge de 110 ans, ultime témoin de l’un des conflits les plus meurtriers de l’histoire.

Né en 1901 à Wyre Piddle, dans les Midlands (centre), M. Choules avait menti sur son âge pour pouvoir s’engager à 14 ans dans la Royal Navy. Durant la Seconde Guerre mondiale, il avait combattu comme officier dans la marine australienne après avoir émigré en Australie en 1926. Il était demeuré dans la marine après la guerre, avant de terminer sa carrière dans la pêche.
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Il y a 20 ans décédait Mgr Lefebvre

Mgr Marcel Lefebvre est né le 29 novembre 1905 à Tourcoing (Nord) et mort à Martigny (Valais) le 25 mars 1991. Archevêque catholique de Dakar et délégué apostolique pour l’Afrique française, il devient en 1962 évêque de Tulle puis Supérieur général de la Congrégation du Saint-Esprit.
Grande figure de l’opposition au concile de Vatican II, il fonde en 1970 la Fraternité Saint-Pie-X (principale organisation traditionaliste) dont la finalité est de préserver le sacerdoce catholique.

16 mars 2011 : grand succès de la Journée du Légionnaire en Lettonie

Le conseil municipal de Riga avait annulé il y a quelques jours la marche annuelle des héros de la lutte anticommuniste qui se déroule chaque année le 16 mars depuis plus de 20 ans en Lettonie. La Journée du Légionnaire a pu se dérouler néanmoins sans problème : la justice lettone a finalement autorisé le défilé des vétérans de la Légion lettone, malgré les pressions juives et russes.
Le premier ministre de Lettonie Valdis Dombrovskis a appelé la mairie à majorité pro-soviétique de Riga, qui tente chaque année de faire interdire la marche, à ne plus l’interdire. Cette nouvelle édition s’est d’ailleurs déroulée sans problème alors que l’événement avait été interdit au motif de troubles à l’ordre public. Continuer la lecture de « 16 mars 2011 : grand succès de la Journée du Légionnaire en Lettonie »

Extrait de l’entretien entre Paul-Éric Blanrue et le journal AlgerieNetWork

R.G. : Il y a la dernière question historique que je comptais évoquer avec toi. Celle justement de certains événements qui se sont déroulés il y a plus d’un demi siècle. Ces évènements ont été depuis sacralisés, cristallisés, consignés à l’encre rouge dans les manuels d’Histoire. A un tel point que ces derniers se sont spécialisés à ce sujet. Des gens remettent ouvertement en cause ces « faits ». Ils sont alors plus poursuivis que des criminels quand ils ne sont pas enfermés injustement. Quelque chose ne tourne assurément pas rond dans cette affaire. Y a t il selon toi un travail de recherche sérieux de la part des historiens sur ces faits? Ou bien la « Mémoire » y a définitivement remplacée la réalité des faits? Les arguments des personnes remettant en cause ces évènements ne semblent pas si incohérents après tout. De même que la première personne à remettre en cause ces évènements était pourtant aux premières loges de ceux çi(si je puis me permettre l’expression).

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Pologne 1er Mars 2011 : manifestation en mémoire des victimes de l’occupation soviétique et de la dictature communiste

(via Werwolf)

Richard Prasquier réinvente l’histoire

Lors d’une interview, 20 minutes pose à Richard Prasquier (président du CRIF) la question : « Benoit XVI écrit dans son livre, que lorsque l’évangéliste Jean désigne «les juifs» comme principaux accusateurs du Christ, il n’accuse pas le peuple d’Israël mais l’aristocratie du temple [voir notre article ici]. Pouvez-vous nous parler de cette aristocratie du temple ? », il ose répondre : « Cette aristocratie du temple était un groupe qui contrôlait les fonctions religieuses.  Les personnes qui en faisaient parti étaient proches des autorités romaines.  L’époque était en outre en pleine hésitation politique. Les propos de Jésus qui assurait être le fils de Dieu étaient considérés comme hérétique.  En outre, il rassemblait les foules et remettait en cause l’autorité romaine ainsi que celle de cette aristocratie du temple évoqué par Benoit XVI. »

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Sarközy se prend les pieds dans le tapis et se réfère à des antisémites

En visite jeudi matin au Puy-en-Velay (Haute-Loire), une des étapes du pèlerinage catholique vers Saint-Jacques de Compostelle, Nicolas Sarközy s’est exprimé sur « l’héritage patrimonial de la France », mais il a aussi débordé sur « l’identité » et la « laïcité ».
Avec un culot caractéristique, il déclara notamment : « Grégoire de Tours, le plus ancien de nos [sic] historiens, dans son Histoire des Francs, évoque le sanctuaire du Puy et la synagogue de Clermont. Il écrivait il y a 15 siècles. C’est la France que nous aimons, c’est la France dont nous sommes fiers. C’est la France qui a des racines.»

Anne Kling l’évoque et rappelle les propos atroces relatés et confortés par Saint Grégoire de Tours :
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Anniversaire de la naissance du rabbin Drach [histoire]

Le 6 mars 1791 à Strasbourg, dans une famille talmudiste dévôte, naissait David Drach.
Devenu un brillant rabbin, il fut membre du Consistoire central israëlite et illustre spécialiste du judaïsme.
Mais en 1823, il se convertit au catholicisme avec ses enfants. Un événement qui eut un retentissement considérable dans toute la chrétienté, d’autant que le nouveau catholique, dorénavant prénommé Paul Louis Bernard, révèla nombre des secrets du judaisme talmudique.
 Il dévoua entièrement sa nouvelle vie à la cause chrétienne et se partaga entre Paris (1824-1830 et 1842-1862) et Rome (1830-1842 et 1862-1865) où ses fonctions de bibliothécaire et de savant orientaliste lui permirent d’approfondir ses études théologiques sans pour autant choisir l’ordination.
Il travailla aussi, avec quelque succès, à la conversion de ses anciens coreligionnaires qu’il voulait sauver de la « damnation éternelle », espérant que « [sa] nation reviendra de son fatal égarement ».