à Saint-Malo.
Il fut un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l’une des figures centrales du romantisme français et de la littérature française en général.
Il fut ministre d’État en charge des Affaires étrangères de Louis XVIII. Catholique, royaliste, traditionaliste, défenseur des « Ultras », il mit son talent au service de la revue Le Conservateur et du Journal des débats.
Il démissionna de toutes ses charges et pensions à l’avènement de l’usurpateur Louis-Philippe, refusant sa monarchie « bâtarde ». Il mourut à Paris le 4 juillet 1848.
Parmi ses ouvrages les plus célèbres : Le Génie du christianisme, Atala, Renée, Les Martyrs, Mémoires d’outre-tombe. Moins connu mais intéressant : de Buonaparte et des Bourbons.
Une superbe affiche, qu’on imagine mal sous notre régime.
Le service militaire ayant été aboli dans les clauses de l’armistice, l’Etat français, sous l’égide du Maréchal Pétain, lança cette initiative sous le commandement du général de la Porte du Theil.
Elle se proposait « de donner aux jeunes hommes de France, toutes classes confondues, un complément d’éducation morale et virile qui, des mieux doués fera des chefs et de tous des hommes sains, honnêtes, communiant dans la ferveur d’une même foi nationale ». Continuer la lecture de « 30 juillet… 1940. Création des « Chantiers de Jeunesse » »
• 1794 : exécution de Robespierre, Saint-Just, Couthon, et d’autres robespierristes, par leurs amis d’hier. C’est la fin de la « Terreur » républicaine. La mort de Robespierre fut particulièrement sordide.
• 1985 : mort de Michel Audiard, scénariste, réalisateur et écrivain.
Les dialogues de ses films (entre autres) Un singe en hiver, d’après le roman d’Antoine Blondin, et Les tontons flingueurs restent un modèle du genre et l’archétype d’une certaine esthétique, disparue avec « la France d’avant ».
Nombre de ses répliques sont d’ailleurs devenues « cultes ».
La place de la Bastille à Paris le 14 juillet 1880 (1ère fête nationale fêtée un 14 juillet) avec les drapeaux tricolores, chromo
« Après un oubli de près de 100 ans depuis la prise de la Bastille, le 14 juillet devient fête Nationale en 1880, sous la IIIe République.
La République toute nouvelle se cherche des symboles. Là encore, comme souvent en cette période de notre Histoire Nationale, l’action des francs-maçons sera importante.
C’est le frère Benjamain Raspail, député de la Seine pour la gauche républicaine (fils aîné de François-Vincent Raspail, candidat malheureux à la présidence de la République en 1848, carbonaro et franc-maçon au sein de la célèbre loge parisienne Les Amis de la Vérité), qui dépose le 21 mai 1880 la loi faisant du 14 juillet la fête nationale. Ce projet de loi, signé par 64 députés, sera adopté par l’Assemblée le 8 juin et par le Sénat le 29 juin. Elle sera promulguée le 6 juillet 1880. Continuer la lecture de « 14 juillet : fête nationale ou fête maçonnique ? »
à Paris : meeting du mouvement « Ordre nouveau » (né en 1970) contre l’immigration sauvage.
Les trotskystes de la Ligue communiste, constituées en commandos armés, se heurtent aux forces de police et mettent à sac le siège du mouvement nationaliste, rue des Lombards.
Les jours suivants, le régime profitera de ces incidents pour dissoudre Ordre nouveau (qui ne s’était pourtant pas heurté à la police) ainsi que la Ligue communiste (qui était déjà la reconstitution d’un groupe dissous et qui se reconstituera ensuite).
Ce jour-là donc, le RP Vincent-de-Paul Bailly et le comte Henri de l’Epinois font paraître le premier numéro du quotidien La Croix, journal catholique (« radicalement catholique » même), antiparlementaire, qui sera farouchement antidreyfusard et antisémite.
En 1890, par exemple, La Croix s’offusquait qu’on le soupçonne d’avoir la moindre complaisance envers les Juifs et se vantait même d’être « le journal catholique le plus anti-juif de France »…
Ce titre sous perfusion financière est aujourd’hui un insipide papier gaucho-moderniste : c’est peut-être l’embarras qui le pousse désormais à en faire « des tonnes » dans l’idéologie dominante ?
C’est à Paris que s’éteint le grand écrivain Jean Mallard, vicomte de La Varende, qui a longuement et magnifiquement décrit la géographie, l’histoire et les mentalités de la Normandie, où il était né le 22 mai 1887.
Monarchiste, La Varende dut démissionner de l’Académie Goncourt lors de la « Libération », victime de l’épuration comme une bonne partie de l’élite de notre pays.
Un grand auteur français qui mérite d’être connu.
Attention, le virus La Varende s’attrape facilement et l’on ne peut refréner ensuite l’envie de dévorer toute l’œuvre !
Le 28 mai 1291, en Palestine, les 200 000 hommes du sultan El Achraf Khalil réduisent par leur surnombre, après des combats acharnés, les dernières défenses de Saint-Jean d’Acre.
La ville était tombée le 18, mais la citadelle des Templiers résistait encore héroïquement.
Plan de la ville de Saint-Jean-d’Acre au XIIe siècle.
10 000 chevaliers chrétiens sont massacrés : « on marchait sur les morts comme sur un pont ».
Saint-Jean d’Acre était l’ultime bastion de ce qui fut le royaume franc d’Orient.
La chute de Saint Jean d’Acre – tiré de «Le secret des templiers» (série Jhen de Jacques Martin)
Sa chute met un point final à l’ère des croisés presque deux siècles après la prédication du pape Urbain II.
Par delà la légende noire sur cette formidable épopée, on lira avec profit, par exemple, « La première croisade », de Jacques Heers (commandable ici).
Le « royaume franc d’Orient », la solution aux problèmes du Proche-Orient ?
« Le mois de Mars 1962 est le mois maudit de ces 8 années de terrorisme
Il sonne le glas de l’Algérie Française ; que pouvions nous encore espérer après ces sinistres pseudo-accords déviants qui ouvraient de façon irrémédiable la voie à l’abandon de cette terre Française entièrement façonnée par un peuple composé de multiples nationalités venues pour en embrasser une seule : Française ; ce peuple qui face aux difficultés gigantesques, à force de persévérance, de sacrifices parvenait à sortir ce pays de l’époque moyenâgeuse pour en faire la figure de proue de l’Afrique, mais aussi le fleuron de la France.
Il débute dans l’horreur, l’ignominie et va être le reflet de ce qu’est le FLN, cette organisation terroriste à qui l’Etat Français va faire cadeau d’un pays où il ne poussait que des cailloux et à qui l’on va remettre sur un plateau un territoire digne d’un Eldorado.
A gauche, Augusto Pinochet (1915-2006), à droite Salvador Allende (1908-1973).
Le 11 septembre 1973, un coup d’Etat mené par l’armée, sous la direction du général Augusto Pinochet, démettait de ses fonctions le président socialiste Salvator Allende.
Le régime mis en place, de type dictature militaire modérée et à durée limitée, durera jusqu’en 1990, quand le général Pinochet se retirera volontairement et conformément aux dispositions législatives qu’il avait signées.
Les gros médias français et les politiciens présentent systématiquement Pinochet comme l’archétype d’un tyran brutal, tout-puissant et anti-démocrate. En réalité, comme le prouveront les procès, il fut un facteur de modération au sein du nouveau régime, dans lequel il composait avec d’autres hommes influents, et son attitude à la fin de son mandat présidentiel prouve qu’il a respecté le système démocratique.
Si son régime était loin d’être parfait, il faut rappeler une chose que les gros médias taisent : l’armée a fait ce coup d’Etat en 1973 car tout portait à penser que le socialiste Allende allait transformer le Chili en un deuxième Cuba. Et même en un Etat vassal de Cuba, qui était devenu un enfer communiste.
Allende, socialiste radical allié aux terribles communistes chiliens, était en effet un proche du tyran rouge Fidel Castro.
Des milliers de « conseillers » cubains grenouillaient au Chili au début des années 1970, alors que le pays était en plein marasme économique et social. En quelques années, Allende avait effectivement mené le stable Chili à la ruine. Chaque semaine de nombreuses femmes protestaient dans les rues en frappant sur des casseroles pour protester contre les graves pénuries alimentaires. Pinochet fera du pays, certes avec l’appui des Etats-Unis, l’un des plus prospères d’Amérique du Sud.
La mise sur la touche d’Allende a été très largement applaudie par la population chilienne (comme en témoignait de son hôtel, à Santiago, le reporter du Figaro à l’époque : « Et soudain, au fin fond de l’hôtel, un grand cri: «Viva, el Chile, mierda». Tout le personnel, y compris la standardiste, sabre le champagne pour fêter la «victoire de la démocratie».)
Une anecdote révélatrice pour finir.
Lors du coup d’Etat, après une résistance brève mais âpre d’Allende et de ses proches (le « Groupe des amis personnels », garde organisée par son gendre Luis Fernandez Onia, ancien chef de la police secrète de Fidel Castro), le président déchu se donna la mort, en utilisant une Kalashnikov qui lui avait été offerte par Castro.
Sur l’arme, une plaque mentionnait : « À mon bon ami Salvador, de la part de Fidel, qui essaye par des moyens différents d’atteindre les mêmes buts ».
C’est un ouvrage important qui vient de paraître avec ce nouveau livre d’Alain Pascal, spécialiste de l’histoire occulte (rôle des sociétés secrètes et courants ésotériques à travers l’histoire).
Il s’agit cette fois de la face cachée de la Révolution française, épisode crucial de l’histoire de l’humanité et épisode pas encore refermé, dont nous subissons les funestes développements.
L’auteur était reçu récemment pour évoquer le thème de son ouvrage :
4e de couverture :
« L’histoire secrète de la révolution française !
À partir de 1760, les sectes d’Illuminés foisonnent en France, ainsi qu’en Allemagne, et sont en relation avec la célèbre Loge des Neuf Sœurs, qui prépare la Révolution française.
En ce jour de la fête nationale de la sainte de la Patrie, voici un texte de l’abbé Schaeffer – avec d’utiles rappels – paru dans l’excellente revue L’Héritage (n°9) :
« L’histoire et la mission de Sainte Jeanne d’Arc comportent tous les éléments éclairant notre combat politique, elles suivent l’ordre naturel et l’ordre surnaturel, les croisant dans la devise célèbre de notre héroïne nationale : « Messire Dieu premier servi ».
Cet ordre, c’est d’abord la naissance dans une famille chrétienne, dans l’éducation maternelle, avec l’appui d’une paroisse chrétienne, de la doctrine et des sacrements. Tel est l’ordre établi par Dieu, dans sa création et dans sa grâce.
Le deuxième miracle, si l’on peut dire, c’est le recours aux institutions légitimes de la nation française, la monarchie avec sa loi de succession, son caractère surnaturel continué dans le sacre. Enfin le prix de cette restauration de l’ordre temporel, c’est le sacrifice rédempteur de Jeanne, l’amour de Dieu l’emporte définitivement sur l’amour d’elle-même dans les flammes du bûcher de Rouen.
Jean-Claude Pérez avait 95 ans.
Médecin diplômé en 1954, il exerça son métier d’abord à Alger dans le quartier de Bab El-Oued, puis à Paris jusqu’en 1995.
N’appartenant à aucun parti politique, mais sensible aux événements se déroulant en Algérie, il s’impliqua dès 1953 dans la défense de cette province française où il faisait bon vivre pour toutes les populations.
Alors qu’il était totalement étranger à l’attentat, il fut incarcéré quelques mois en 1957 dans le cadre de l’enquête sur l’« affaire du Bazooka » (tentative de meurtre du général Salan, vraisemblablement manigancée par les milieux gaullistes).
Il devint plus tard l’un des chefs de l’Organisation Armée Secrète.
Il fut incarcéré encore de façon épisodique dans diverses prisons algériennes et métropolitaines jusqu’en 1965, et fut condamné à mort par contumace pour son rôle au sein du commandement national de l’OAS. Il fut amnistié en 1968 en même temps que les autres résistants patriotes encore condamnés.
Sa deuxième fille, Emmanuelle, a épousé Ali Boualam, un des fils du bachagha Boualam.
► Voici l’émouvant témoignage de l’un de ses cousins :
« Mon cousin, le docteur Jean-Claude Pérez, vient de nous quitter et c’est une partie de ma jeunesse qui est partie avec lui. Pas un seul homme ne fut un aussi grand défenseur de l’Algérie Française que Jean-Claude. Est-il nécessaire de rappeler qu’il fut le « patron » des commandos « Delta » et eu sous ses ordres le lieutenant Degueldre et, bien avant, l’organisateur des « Barricades » en janvier 1960 avec Pierre Lagaillarde. J’étais alors à ses côtés.
Jean Claude était le « docteur » de Bab-el-Oued, de tout ce petit peuple qui un jour du mois de Mars 1962 s’éleva contre l’abandon de la France et fut bombardé et assiégé par l’armée française, sous les ordres de De Gaulle et du général Ailleret.
« Il est triste de devoir faire un « exercice comptable » concernant les effectifs et les pertes des « Métropolitains » et des « Africains » durant le Premier conflit mondial.
J’y suis cependant contraint par les déclarations idéologiques de l’acteur Omar Sy qui, à travers elles, ajoute sa touche à la grande entreprise de réécriture de l’histoire de France [1].
En effet, à travers l’action des Tirailleurs dits « Sénégalais » mais majoritairement venus de toute l’AOF (Afrique occidentale française), il adresse aux Français un message-postulat plus que subliminal : les Africains que vous avez utilisés comme « chair à canon » durant le Premier conflit mondial ayant permis la victoire française, leurs descendants ont des droits sur vous. Voilà donc pourquoi ils sont chez eux chez vous…
J’ai déjà répondu à cette question dans un communiqué de l’Afrique Réelle en date du 13 mai 2016 dont le titre était « La France n’a pas gagné la Première guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains ».
Au total, la France eut 8.207.000 hommes sous les drapeaux. Laissons donc parler les chiffres [2] :