Audrey Pulvar est un personnage emblématique de la caste qui dirige et pourrit la France : « journaliste », présentatrice d’un journal télévisé pour la télévision publique pendant plusieurs années, « chroniqueuse », « militante » (plus exactement élue) politique, responsable d’une organisation « écologiste » (tout en arborant des lunettes en écailles de tortue à 15 000 euros), ce compère d’Anne Hidalgo incarne bien l’idéologie de gauche au pouvoir.
Elle remercie la France – à qui elle doit tout –, par une lutte acharnée contre elle, contre son identité, contre la morale.
Elle vient de faire parler d’elle à nouveau, alors qu’elle était interrogée sur le racisme antiblanc de l’UNEF. Mal à l’aise, elle a déclaré : « Si vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, etc., j’aurais tendance à dire qu’il n’est pas question de le jeter dehors. En revanche, on peut lui demander de se taire, lui demander d’être spectateur silencieux. »
Un cadre de LR (anciennement UMP et RPR) s’émeut et parle de… République.
Commentaire de Jonathan Sturel :
« Le républicanisme est une secte.
Nouvelle preuve :
L’ancienne animatrice de télévision devenue élue parisienne Audrey Pulvar a pris le parti de soutenir l’UNEF et justifie les réunions interdites aux Blancs. Nous verrons si le parquet se saisit de l’affaire ou si des plaintes seront déposées contre ces déclarations racistes.
D’ici là, c’est le bal des condamnations molles sur Twitter. Pécresse, qui en réalité se moque pas mal de voir le racisme anti-blanc se propager dans la société (le dénoncer trop fort serait «faire le jeu de Marine le Pen»), profite de l’occasion pour tacler une concurrente politique. Petit tweet faiblard mais inoffensif, contrairement à celui de Geoffroy Didier, cet autre robinet d’eau tiède de la fange UMP. Lui, il va carrément jusqu’à dire que Pulvar doit s’excuser… « auprès de la République » (sic).
« Une fake news de plus pour l’AFP, l’Agence France Presse qui entend donner des leçons de journalisme au monde entier, et qui par ailleurs, bénéficie de l’appui de nombreuses autorités (GAFA comme Etats) pour informer le grand public. Alors qu’une fusillade s’est déroulée dans le Colorado, aux USA, lundi 22 mars, l’AFP a communiqué immédiatement sur le profil de l’homme arrêté, tireur présumé comme étant « un homme blanc seulement vêtu d’un short de sport, en train d’être escorté par des policiers hors du magasin ».
Toutes les rédactions françaises ont embrayé dans la foulée en reprenant la dépêche AFP plutôt que d’éventuellement, creuser par eux mêmes via la presse américaine et la presse locale dans le Colorado. Cela donne ceci, sachant que tous ces articles sont encore disponibles sur Google, qui les considère comme étant de référence quant au traitement de cette actualité.
L’UNEF est le principal syndicat étudiant (subventionné par le contribuable), depuis des décennies. D’abord de gauche socialiste, il a, comme le reste de la gauche, poursuivit son évolution vers le gauchisme le plus crasse, le plus virulent, le plus dément.
Outre ses combats contre l’ordre moral naturel et traditionnel ces dernières années, il semble avoir désormais pour principal combat l’effacement de tout ce qui touche à l’identité blanche de la France.
Cohérent, contrairement à d’autres, il a effectué lui-même ce « grand remplacement » à sa tête.
Mélanie Luce, présidente de l’UNEF – Capture d’écran YouTube
Sa présidente depuis 2019, une certaine Mélanie Luce, a avoué il y a quelques jours, devant une journaliste qui a dû lui tirer les vers du nez, et en s’expliquant très confusément, que son syndicat – qui vitupère depuis des décennies contre des supposées discriminations raciales – organisait désormais des réunions interdites aux hommes et des réunions interdites aux Blancs (et à eux seuls).
Les Français doivent bien comprendre ce qui les attend, s’ils ne mettent pas un terme à l’action de la gauche et de la fausse droite qui se succèdent depuis des générations au pouvoir (politique, culturel, médiatique…).
La présidente de l’#UNEF admet que son syndicat organise des réunions interdites aux Blancs : dans nos facs, des salles sont donc fermées à des étudiants pour leur couleur de peau… Pour mettre fin à cette dérive raciste assumée, il faut dissoudre l’UNEF. pic.twitter.com/mfIs4PDXPv
Vexé d’avoir été condamné alors que d’autres de son acabit échappent en effet à la justice (mais il s’en est tout de même bien tiré dans les affaires Bygmalion et Bettencourt : ses partisans font mine de ne pas le noter), l’ancien président Nicolas Sarközy met en cause la magistrature.
Et que lui reproche-t-il ?
D’être politisés à gauche, comme le font ses naïfs soutiens ? Non.
D’être vexés car il les avait accusé il y a quelques années d’être trop nombreux à être français, c’est-à-dire pas assez métissés !!
« Sur France 2 en 2007, Nicolas Sarkozy avait fait une sortie remarquée après avoir assisté à l’installation du nouveau président de la Cour de cassation. “Je regardais la salle, je voyais 98% d’hommes […] qui se ressemblaient tous, mêmes origines, même formation, même moule, la tradition des élites françaises, respectables, bien sûr, mais pas assez de diversité”, avait-il évoqué. Plus tard il utilisera une image qui fera grincer des dents la corporation : “Tout le monde qui se ressemble aligné comme des petits pois, la même couleur, même gabarit, même absence de saveur”. » (source)
Dans un entretien au Figaro, il explique aujourd’hui que les magistrats sont méchants avec lui car ils auraient été vexés, il y a quelques années, par ces sorties :
Faut-il y voir une vengeance des magistrats, que vous aviez appelés les « petits pois » quand vous étiez chef de l’État ?
[…] la question de la partialité de certains magistrats peut se poser. J’ai toujours dit, et je le maintiens, que l’endogamie est une mauvaise chose, dans tous les milieux. J’ai toujours dit, et je le maintiens, qu’il est nécessaire d’avoir plus de diversité dans le recrutement des magistrats. J’ai rappelé un jour que j’étais moi-même un « petit Français de sang mêlé » : j’aimerais que ces « Français de sang mêlé » soient mieux représentés dans toutes les corporations. Les civilisations disparaissent sous l’effet de la consanguinité, pas sous celui de la diversité. C’est ce que j’avais voulu dire à l’époque. Et c’est cela qui justifierait une vengeance ?
Il est évident que le procès d’intention que Sarközy fait, pour délégitimer sa condamnation, est absurde.
Mais c’est l’occasion de revenir sur l’obsession métisseuse (c’est-à-dire remplaciste) de cette immigré juif de Hongrie, qui frise l’hystérie.
Souvenez-vous de son fameux discours de 2008 dans lequel il présentait « le défi du métissage » comme « l’objectif » et comme un « impératif » :
Régulièrement, il faisait la propagande du métissage généralisé, en brandissant la menace de la « consanguinité » :
Contrairement à ce que prétend ce bonimenteur, la consanguinité n’a jamais tué une société ou un peuple: elle est problématique dans le cadre d’union entre membres d’une même famille ou dans un cadre très restreint (un village, au fil des générations). Strictement rien à voir avec un peuple ou une race.
Une conférence, à la présentation particulièrement significative du degré de folie qu’atteint la gauche, a retenu l’intention :
Qui est la folle furieuse qui animera cette conférence raciste antiblanche, en France ?
Laissons l’association organisatrice la présenter dans son sabir gauchiste :
« Fatima Khemilat est Doctorante en Sciences Politiques et a enseigné à l’Université Paris Est Créteil.
Elle mène des travaux de recherches sur le rapport entre le culte musulman et les institutions publiques françaises. Ses travaux ont donné lieu à de nombreuses publications et communications la plaçant aujourd’hui comme l’une des spécialistes de l’Islam en France.
Sociologue et chercheuse, Fatima travaille également sur les questions de genre, de race et de sexualité. Elle se sert de son parcours pluridisciplinaire pour apporter un éclairage décolonial et intersectionnel aux questions liées au développement personnel et à la sexualité des femmes racisées. »
Cette femme a donc été financée par les Français, pour ses études, et a été payée par eux pour leur cracher dessus dans leurs universités.
Quel pays de fous !
Elle a aussi été invitée sur Mediapart ou France Culture, par exemple…
Fatima, va faire ton cirque au pays, tu nous raconteras comment ça s’est passé !
Vous savez probablement que la plateforme de films et série à la demande Netflix mène – avec les grands studios de cinéma américain notamment – un travail progressif d’effacement (dans l’imaginaire collectif) de l’identité blanche et de la civilisation occidentale, sans parler de pornographie omniprésente et de propagande pro-LGBT, pro-métissage, etc.
Netflix ne s’embarrasse plus de subtilités désormais.
« Nouvel exemple en date avec la série Vikings : Valhalla, suite de la série Vikings qui va faire les frais des tentatives de négation culturelle.
Ainsi le jarl de Lade, Haakon Sigurdsson, sera joué par Caroline Henderson, une actrice noire.
Représentatif de la fracture entre « élites » cosmopolites et France profonde.
Les pitoyables videos de cette animateur bobo parisien ont légitimement choqué les habitants de la région (la baie de Somme est l’une des plus belles du monde). Même le Courrier picard, au risque de se faire traiter d’antisémite, prend la plume pour protester :
« Julien Cohen, animateur de l’émission Affaire conclue, sur France 2, a quitté Paris pour un séjour en baie de Somme. Il a immortalisé son expérience dans deux vidéos diffusées sur sa page Facebook.
La première vidéo de 59 secondes, intitulée Une après-midi de rêve… ou presque, le montre frigorifié devant le blockhaus du Hourdel qu’il qualifie de vestige, non sans ironie. L’animateur télé joue sur les clichés pour faire un peu de buzz sur sa page. Le jeu de l’audience, dirait-on, si on surfait sur la même vague.
Dans une série (« New Amsterdam »), diffusée sur TF1, on entend un homme de santé expliquant avec assurance à la mère d’un gamin de couleur souffrant d’un cancer, que c’est la faute du racisme (des Blancs, bien sûr). Avant une tirade telle que les gauchistes américains en profèrent dans leurs conférences contre les Blancs…
TF1, qui par ailleurs dénonce le complotisme qui serait toujours irrationnel…
Les choses se sont fortement accélérées ces dernières années aux Etats-Unis, et spécialement ces derniers mois. Les revendications « d’égalité » de traitement entre les citoyens de races différentes ont laissé place, particulièrement à la faveur des manifestations Black Live Matter cornaquées par la gauche, à une hostilité nette envers les Hommes blancs.
Même le nouveau président américain, élu frauduleusement, ne s’en cache pas.
Dans un message video publié sur Twitter, Biden explique en effet que, dans le cadre de la crise économique actuelle, « [sa] priorité sera les petits commerces tenus par des Noirs, Latinos, Asiatiques et Indiens, les petits commerces tenus par des femmes ».
« Our priority will be Black, Latino, Asian, and Native American owned small businesses, women-owned businesses, and finally having equal access to resources needed to reopen and rebuild. » — President-elect Biden pic.twitter.com/pIyDuhf5pH
— Biden-Harris Presidential Transition (@Transition46) January 10, 2021
Tout le monde donc, sauf les Blancs (encore majoritaires là-bas mais pour quelques années seulement), objet de la haine de la gauche américaine dominée par des « intellectuels » souvent imprégnés de messianisme talmudique.
L’homme blanc est sans cesse dévalorisé, culpabilisé, combattu socialement et professionnellement, ainsi que démographiquement bien sûr. Pour la femme blanche, le projet est simple : métissage.
Le « compagnon » de la « préfète » d’Eure et Loir, policier au renseignement lui-même (DGSI), est impliqué dans un accident ayant causé des blessés alors qu’il conduisait un véhicule… appartenant à la Préfecture.
Plutôt que de les secourir, il a pris la fuite, traversant plusieurs communes de la région parisienne avant d’être arrêté à Rueil-Malmaison.
Il est poursuivi « pour conduite en ayant fait l’usage de stupéfiants, mise en danger par violation manifestement délibérée, et défaut de maîtrise ». (Source)
Par ailleurs, pour rappel, en novembre dernier, Fadela Benrabia, qui est née en Algérie, avait nommé comme directeur de cabinet le plus jeune sous-préfet de France, un certain Yannis Bouzar… (Source)
PS : Fadela Benrabia n’est diplômée que d’une maîtrise de sociologie (l’un des diplômes les plus inutiles du monde). C’est donc la discrimination dite « positive » (c’est-à-dire antifrançaise) qui l’a amenée là, et peut-être d’autres qualités non connues de nous.
Cette phrase aberrante et terriblement injurieuse ne surprendra pas ceux qui connaissent la « pensée » des rouges.
Raquel Garrido est une immigré chilienne communiste, « compagne » du député LFI Alexis Corbières et ancienne porte-parole de Mélenchon.
Bouffie d’ingratitude envers le peuple français qui l’a accueillie et nourrie, elle se permet de réagir ainsi, dans une discussion sur twitter :
Y a-t-il beaucoup de pays dans le monde, dont on prétend qu’ils n’ont pas d’indigènes ?!
C’est un traitement qui semble réservé aux Français.
Pour les rouges, et plus généralement pour les républicains, il n’existe pas vraiment de peuple français, pas d’ethnie française, pas d’indigènes, les « Français de souche » n’existeraient pas, on ne sait pas ce que sont devenus les (nombreux) Gaulois et d’où sortent les Français…
Ce mépris du réel et cette haine du peuple français (qui existe, quasiment inchangé sur le plan racial depuis le VIe siècle et très peu modifié depuis 500 ans avant Jésus-Christ) atteignent des sommets. Ils sont mus par l’idéologie cosmopolite. Il est évidemment plus facile de militer pour le mondialisme, le métissage et l’immigration de remplacement si l’on considère qu’il n’existe pas de peuple sur cette terre.
Y a-t-il beaucoup de peuples au monde à qui l’on inflige un tel traitement ? Et qui le supportent, dans une large mesure ?!
Le très cosmopolite Nicolas Sarközy – qui n’a pas une goutte de sang français et rêvait d’être américain (faisant son jogging, en tant que président, avec un maillot « NYPD », et envoyant son fils étudier dans une école militaire états-unienne) –, vénéré par la « droite » « dure », illustre excellement cette haine de l’ethnie française et ce désir de métisser la France pour en finir avec son identité.
Par exemple, sur France 2 en 2007, après avoir assisté à l’installation du nouveau président de la Cour de cassation, il se plaignait qu’il y ait trop de Français dans l’assistance composée de magistrats : “Je regardais la salle, je voyais 98% d’hommes […] qui se ressemblaient tous, mêmes origines, même formation, même moule, la tradition des élites françaises, respectables, bien sûr, mais pas assez de diversité”, “Tout le monde qui se ressemble aligné comme des petits pois, la même couleur, même gabarit, même absence de saveur”.
Rappelons que Sarközy a voulu et mis en place la prétendue « discrimination positive », consistant donc à défavoriser les Français, chez eux, par rapport aux immigrés. Et pour les Français qui se favoriseraient entre eux, en revanche, c’est la police et le tribunal.
Souvenez-vous de son fameux discours de 2008 dans lequel il présentait « le défi du métissage » comme « l’objectif » et comme un « impératif » :
Régulièrement, il faisait la propagande du métissage généralisé, en brandissant la menace de la « consanguinité » :
Evidemment, c’est l’inverse.
Du reste, la notion de « consanguinité » n’a aucun sens, à l’échelle d’une nation. C’est ici un terme péjoratif et injurieux (souvent utilisé par les intellectuels juifs – les mêmes qui refusent de se mélanger à d’autres ethnies – pour inciter au métissage les Européens), une insulte aux Français.
La gauchiste Delphine Ernotte vient de se voir offrir, avec l’argent des Français, un deuxième mandat à la tête du groupe France Télévisions.
Dans un entretien au Monde (journal négationniste du Grand Remplacement), elle affirme sans ambage son principal projet :
« […] Nos publics revendiquent d’être mieux représentés, en matière de parité, de couleur de peau, de handicap, d’origine géographique et sociale. La distorsion entre la réalité et sa représentation à la télévision est trop grande. Nous allons donc évaluer la représentation à l’antenne afin de nous fixer des objectifs pour 2021. D’après le CSA, les personnes « perçues comme non blanches » représenteraient environ 25 % de la société française, contre 15 % à la télévision. On a un énorme rattrapage à faire. Ce sera le fil rouge de mon nouveau mandat.
Comment l’imposer aux producteurs ?
Ma méthode, c’est compter, partager, changer. Aux Etats-Unis, on dit : « No diversity, no commission. »On ne finance pas un projet quand la diversité n’est pas représentée.
Comptez-vous adapter les structures de l’entreprise à ce nouvel objectif ?
Dès 2021, je recruterai 200 alternants issus de la diversité. C’est important d’être représenté devant, mais aussi derrière la caméra. Il faut faire rentrer de nouveaux profils. […] »
Tout cela est fort intéressant. 1) En France, les statistiques ethniques sont interdites (afin de pouvoir nier le Grand Remplacement et la criminalité qu’il fait exploser), sauf quand cela permet de cracher sur les Gaulois (comme Macron qui nie l’ethnie française et tout à coup parle des « Gaulois réfractaires » ou les combattre. 2) Le CSA, instance officielle de censure idéologique, se permet de compter et confirme publiquement le changement de peuple imposé à la France : 25% de « non-Blancs », soit 17,5 millions de personnes, à la démographie bien sûr bien plus vigoureuse que celle des Français. 3) La télévision publique va conduire une politique de discrimination raciale contre les Français ethniques et donc de remplacement. 4) Quand Ernotte parle de « représentativité », ce n’est évidemment pas honnête : les productions qu’elle diffusera présenteront toujours les criminels comme étant des Gaulois – à rebours de la réalité des prisons françaises par exemple, et du vécu des Français – et les héros, le plus possible, comme des non-Gaulois.
Ridicule, le leader de la Ligue de Défense fasciste Noire Africaine tente de brûler (sans succès) un drapeau français devant l’ambassade de #France au #Mali avant de s’exclamer « je suis Français » aux policiers qui viennent l’arrêter. pic.twitter.com/pCDZPLItXU
La « nationalité » française n’est qu’une vaste blague, ce n’est qu’un bout de papier pris au sérieux uniquement par les derniers républicains les plus idéologiques.