Mécontent, le corrompu Sarközy accuse les juges d’être vexés car il leur reprocha d’être trop Français. Son obsession du métissage et sa haine de l’ethnie française

Vexé d’avoir été condamné alors que d’autres de son acabit échappent en effet à la justice (mais il s’en est tout de même bien tiré dans les affaires Bygmalion et Bettencourt : ses partisans font mine de ne pas le noter), l’ancien président Nicolas Sarközy met en cause la magistrature.
Et que lui reproche-t-il ?
D’être politisés à gauche, comme le font ses naïfs soutiens ? Non.
D’être vexés car il les avait accusé il y a quelques années d’être trop nombreux à être français, c’est-à-dire pas assez métissés !!

« Sur France 2 en 2007, Nicolas Sarkozy avait fait une sortie remarquée après avoir assisté à l’installation du nouveau président de la Cour de cassation. “Je regardais la salle, je voyais 98% d’hommes […] qui se ressemblaient tous, mêmes origines, même formation, même moule, la tradition des élites françaises, respectables, bien sûr, mais pas assez de diversité”, avait-il évoqué. Plus tard il utilisera une image qui fera grincer des dents la corporation : “Tout le monde qui se ressemble aligné comme des petits pois, la même couleur, même gabarit, même absence de saveur”. » (source)

Dans un entretien au Figaro, il explique aujourd’hui que les magistrats sont méchants avec lui car ils auraient été vexés, il y a quelques années, par ces sorties :

Faut-il y voir une vengeance des magistrats, que vous aviez appelés les « petits pois » quand vous étiez chef de l’État ?

[…] la question de la partialité de certains magistrats peut se poser. J’ai toujours dit, et je le maintiens, que l’endogamie est une mauvaise chose, dans tous les milieux. J’ai toujours dit, et je le maintiens, qu’il est nécessaire d’avoir plus de diversité dans le recrutement des magistrats. J’ai rappelé un jour que j’étais moi-même un « petit Français de sang mêlé » : j’aimerais que ces « Français de sang mêlé » soient mieux représentés dans toutes les corporations. Les civilisations disparaissent sous l’effet de la consanguinité, pas sous celui de la diversité. C’est ce que j’avais voulu dire à l’époque. Et c’est cela qui justifierait une vengeance ?

Il est évident que le procès d’intention que Sarközy fait, pour délégitimer sa condamnation, est absurde.
Mais c’est l’occasion de revenir sur l’obsession métisseuse (c’est-à-dire remplaciste) de cette immigré juif de Hongrie, qui frise l’hystérie.

Souvenez-vous de son fameux discours de 2008 dans lequel il présentait « le défi du métissage » comme « l’objectif » et comme un « impératif » :

Régulièrement, il faisait la propagande du métissage généralisé, en brandissant la menace de la « consanguinité » :
sarko

Contrairement à ce que prétend ce bonimenteur, la consanguinité n’a jamais tué une société ou un peuple: elle est problématique dans le cadre d’union entre membres d’une même famille ou dans un cadre très restreint (un village, au fil des générations). Strictement rien à voir avec un peuple ou une race.

Souvenez-vous aussi de Carla Bruni qui regrettait que les Français ne veuillent pas assez se métisser selon ses goûts, alors qu’il faudrait renouveler leur « vieux sang pourri » selon ses mots !

Jamais, jusqu’à la France de ces dernières années, un peuple n’aura été dirigé par des intrus qui crachent ainsi sur son identité la plus profonde.