La « droite », ou la haine de l’identité française. Le cas Sarközy

Le très cosmopolite Nicolas Sarközy – qui n’a pas une goutte de sang français et rêvait d’être américain (faisant son jogging, en tant que président, avec un maillot « NYPD », et envoyant son fils étudier dans une école militaire états-unienne) –, vénéré par la « droite » « dure », illustre excellement cette haine de l’ethnie française et ce désir de métisser la France pour en finir avec son identité.

Par exemple, sur France 2 en 2007, après avoir assisté à l’installation du nouveau président de la Cour de cassation, il se plaignait qu’il y ait trop de Français dans l’assistance composée de magistrats : “Je regardais la salle, je voyais 98% d’hommes […] qui se ressemblaient tous, mêmes origines, même formation, même moule, la tradition des élites françaises, respectables, bien sûr, mais pas assez de diversité”, “Tout le monde qui se ressemble aligné comme des petits pois, la même couleur, même gabarit, même absence de saveur”.

Rappelons que Sarközy a voulu et mis en place la prétendue « discrimination positive », consistant donc à défavoriser les Français, chez eux, par rapport aux immigrés. Et pour les Français qui se favoriseraient entre eux, en revanche, c’est la police et le tribunal.

Souvenez-vous de son fameux discours de 2008 dans lequel il présentait « le défi du métissage » comme « l’objectif » et comme un « impératif » :

Régulièrement, il faisait la propagande du métissage généralisé, en brandissant la menace de la « consanguinité » :
sarko

Evidemment, c’est l’inverse.
Du reste, la notion de « consanguinité » n’a aucun sens, à l’échelle d’une nation. C’est ici un terme péjoratif et injurieux (souvent utilisé par les intellectuels juifs – les mêmes qui refusent de se mélanger à d’autres ethnies – pour inciter au métissage les Européens), une insulte aux Français.

Souvenez-vous aussi de Carla Bruni qui regrettait que les Français ne veuillent pas assez se métisser selon ses goûts, alors qu’il faudrait renouveler leur « vieux sang pourri » selon ses mots !