L’UNEF, le « syndicat étudiant » qui illustre la dernière phase du gauchisme : le combat à mort contre l’homme blanc

L’UNEF est le principal syndicat étudiant (subventionné par le contribuable), depuis des décennies. D’abord de gauche socialiste, il a, comme le reste de la gauche, poursuivit son évolution vers le gauchisme le plus crasse, le plus virulent, le plus dément.
Outre ses combats contre l’ordre moral naturel et traditionnel ces dernières années, il semble avoir désormais pour principal combat l’effacement de tout ce qui touche à l’identité blanche de la France.

Cohérent, contrairement à d’autres, il a effectué lui-même ce « grand remplacement » à sa tête.

Mélanie Luce, présidente de l'UNEF - Capture d'écran YouTube
Mélanie Luce, présidente de l’UNEF – Capture d’écran YouTube

Sa présidente depuis 2019, une certaine Mélanie Luce, a avoué il y a quelques jours, devant une journaliste qui a dû lui tirer les vers du nez, et en s’expliquant très confusément, que son syndicat – qui vitupère depuis des décennies contre des supposées discriminations raciales – organisait désormais des réunions interdites aux hommes et des réunions interdites aux Blancs (et à eux seuls).

Les Français doivent bien comprendre ce qui les attend, s’ils ne mettent pas un terme à l’action de la gauche et de la fausse droite qui se succèdent depuis des générations au pouvoir (politique, culturel, médiatique…).

Evidemment, un syndicat qui organiserait des réunions interdites aux gens de couleur serait dissous et poursuivi en « justice ».

Le Syndicat antiblanc annonce ses priorités (étrangères) sur son site :

Et il y a quelques années déjà, une certaine Hafsa Askar (qui doit tant aux Blancs, qui l’ont accueillie), la vice-présidente de son antenne lilloise, s’était fait remarquer par sa haine antiblanche sur les réseaux sociaux :

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