C’était un 23 février… 1981 : tentative de coup d’Etat patriotique en Espagne (vidéo)

Antonio Tejero Molina

En 1981, en Espagne, alors que l’héritage du général Franco était bradé et que le pays était offert à la franc-maçonnerie et à toute la racaille politicienne, sans parler des tensions avec les marxistes basques, la situation politique avait rapidement dégénéré.
Une tentative de coup d’État eut donc lieu ce 23 février, mené par un responsable de la Guardia Civil (la police), impliquant plusieurs généraux et soutenue par les nationalistes.

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C’était un 22 février…

Émile Driant 1.jpg• 1916 : mort, pendant la bataille de Verdun, de l’héroïque lieutenant-colonel Emile Driant, à la tête des 56e et 59e bataillons de chasseurs.
Officier saint-cyrien brillant, il fut à plusieurs reprises sanctionné pour des articles publiés sans autorisation dans lesquels il défend la mémoire de son beau-père (le général Boulanger), ou bien dénonce vigoureusement l’affaire des fiches (fichage des officiers catholiques sur ordre du ministre franc-maçon, le général André).
En 1905, sa carrière étant définitivement compromise, il se lance en politique avec l’appui de Déroulède et Barrès et est élu député à Nancy (1910-1916).
En 1907, il signa une Protestation contre la présence des francs-maçons aux fêtes de Jeanne d’Arc.
Il avait écrit sous le pseudonyme de Capitaine Danrit des romans militaires d’anticipation souvent prophétiques (La guerre de demain, L’invasion noire, L’invasion jaune) qui connurent un grand succès.
Militant antimaçon, il fonda également la Ligue antimaçonnique pour les hommes et la Ligue Jeanne d’Arc pour les femmes.

• 1945 : près du lac de Constance, en Allemagne, deux avions attaquent en rase-mottes une Mercedes portant un drapeau tricolore peint à l’arrière. Jacques Doriot est tué sur le coup, et son chauffeur grièvement blessé.
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C’était un 21 février…

• 1916 : presque un an après les terribles combats des Éparges et de Woëvre, début, avec l’attaque allemande, de la bataille de Verdun.

L’idée maîtresse du général Falkenhayn est d’attirer l’armée française dans une sorte de gigantesque abattoir, afin de la « saigner à blanc ».
A 7h15, un millier de bouches à feu commencent leur tir. Alors que la disproportion des forces est énorme, d’autant que la préparation d’artillerie a mis hors de combat la moitié des défenseurs, les Allemands rencontrent une résistance aussi héroïque qu’inattendue.

• 1919 : l’agitateur Kurt Eisner, chef de la République soviétique de Munich depuis le 8 novembre 1918 (il avait renversé la dynastie des Wittelsbach), est assassiné par un jeune monarchiste, le comte Arco-Valley.

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C’était un… 17 février

• 1909 : le professeur Thalamas, enseignant anticlérical à la Sorbonne, reçoit une fessée publique par les étudiant nationalistes (de l’Action française), suite à ses cours hostiles à Jeanne d’Arc. De nombreux « camelots du roi » sont arrêtés.

• 1937 : aux alentours de Madrid, baptême du feu pour les Blue Shirts, les volontaires nationalistes irlandais du général Eoin O’Duffy, venus en « croisade » contre le communisme.
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C’était un 14 février… 1831 : les républicains profanent et saccagent de nombreuses églises

Sac de l'archevêché de Notre-Dame de Paris le 14 février 1831 - Dessin de Viollet-le-Duc
Sac de l’archevêché de Notre-Dame de Paris le 14 février 1831 – Dessin de Viollet-le-Duc

Les royalistes légitimistes avaient organisé une messe ce jour-là à Saint-Germain l’Auxerrois, afin de commémorer l’assassinat du fils de Charles X, le duc de Berry, espoir de la dynastie des Bourbon, onze ans auparavant.

Les républicains, intolérants au possible, organisèrent une manifestation pour s’y opposer !
Elle dégénéra sous leur fanatisme.
Des milliers d’émeutiers envahirent et mirent l’église à sac.
Le lendemain, les républicains saccagèrent de nombreuses églises à Paris et en province, de même que l’archevêché de Paris, qu’ils incendièrent ensuite…

C’était un 13 février… 1820 : l’assassinat du duc de Berry

La mort du duc de Berry, tableau d’Edouard Cibot, 1829.

Le 13 février 1820, le duc de Berry, neveu du roi Louis XVIII et fils cadet du comte d’Artois (futur Charles X), tombait sous le poignard de Louis Pierre Louvel, un ouvrier bonapartiste qui voulut éteindre en lui la race des Bourbons.

Espoir de la dynastie des Bourbons, le duc de Berry rendra l’âme dans la nuit en prince chrétien en ne cessant d’implorer la grâce de son assassin. Ce fut un terrible coup pour le camp royaliste légitimiste.

Toutefois, la volonté de mettre définitivement fin à la branche aînée des Bourbons par ce meurtre se révélera un échec, puisque naîtra le 29 septembre suivant un fils posthume au duc de Berry : celui que Lamartine célébrera comme « l’Enfant du Miracle » dans son Ode sur la naissance du Duc de Bordeaux.

C’était un 3 février… : mort d’Edouard Drumont, journaliste, écrivain et homme politique

Presque aveugle, Edouard Drumont mourut peu avant 20h dans sa résidence de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, à l’âge de 72 ans, en 1917.

Outre de nombreux ouvrages consacrés à Paris (dont il était amoureux), ce brillant pamphlétaire fut l’auteur d’une description de la société française au XIXe siècle : le « best-seller » intitulé La France juive, « livre magique » pour Georges Bernanos qui lui consacrera lui-même un ouvrage fameux : La Grande Peur des bien-pensants.
La fin d’un monde  est aussi un maître-ouvrage d’Edouard Drumont, qui a, à notre avis, moins vieilli.
Drumont fonda en 1892 et dirigea le journal quotidien La libre parole et fut un leader du camp nationaliste et antidreyfusard (il fut député de 1898 à 1902).

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C’était un 31 janvier…

• 1830 : le gouvernement français du roi Charles X, dirigé par le prince Jules de Polignac, décide de préparer une expédition pour « restaurer l’honneur de la France » suite au coup d’éventail infligé par le dey d’Alger au consul de France Deval en 1827.
Au-delà de ce fait, il s’agit de détruire la piraterie qui ravage les côtes méditerranéennes et de libérer les esclaves français.
C’est le début de la colonisation française en Algérie, d’heureuse mémoire.

• 1943 : fondation de l’Organisation de Résistance de l’Armée (ORA)

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C’était un 29 janvier… le PC des barbouzes gaullistes à Alger explose

Où l’on voit que la Ve République a toujours été barbouzarde…

Ce 29 janvier 1962, l ‘Organisation armée secrète (OAS) fait sauter le PC des barbouzes gaullistes, à El Biar (Alger).

Lorsque la « villa Andrea » explose, est détruit le lieu où de nombreux membres de l’OAS ou simples partisans de l’Algérie française ont été torturés longuement et sauvagement, et parfois assassinés (la République n’a toujours pas présenté ses excuses contrairement au cas Audin).
Lors de fouilles en 1968, une trentaine de squelettes sont retrouvés dans le jardin de la villa…
Les « barbouzes », comptant nombre de bandits, de condamnés de droit commun, ont été déployés en Algérie en mars 60 par le pouvoir gaulliste, avec pour objectif d’éliminer toute résistance à la politique d’abandon de De Gaulle, et visant surtout l’OAS dont l’activité rayonnait (notamment avec ses émissions radio pirates).

Ci-dessous un récit de la lutte engagée entre ces crapules gaullistes et les militants ou simples sympathisants patriotes (qui seront 400 à être assassinés dans cette infâme opération).
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C’était un 26 janvier…

• 1941 : lancement par « l’Etat français » du Comité de rassemblement pour la Révolution nationale (en réaction, dit-on, au lancement par Déat du Rassemblement National Populaire tourné vers la collaboration), où figurent parmi les premiers membres Thierry Maulnier et Antoine de Saint-Exupéry.

• 1871 : ce jour a lieu la signature d’un armistice entre la France de Napoléon III et l’Allemagne menée par Bismarck, concluant de façon catastrophique la guerre commencée – imprudemment et pour des motifs légers – par l’empereur le 19 juillet 1870.

L’Alsace (sauf ce qui deviendra le territoire de Belfort) et les trois quarts du département de la Moselle vont être arrachés à la France.
Des centaines de milliers d’Alsaciens et Lorrains quittent leurs foyers et s’exilent par refus de devenir citoyens allemands (près de la moitié de la population de Metz).
Les conséquences pour l’Europe vont être très lourdes.

• 1983 : mort de Georges Bidault. Cet agrégé d’histoire, ancien professeur à Louis-Le-Grand, fut président du Conseil national de la Résistance (CNR) après l’arrestation de Jean Moulin, en juin 1943.
Président du Conseil en 1949 et plusieurs fois ministre des Affaires étrangères de la IVe République, il fut l’un des plus fermes opposants à la politique gaulliste de trahison et d’abandon de l’Algérie (il relança le CNR), ce qui le conduira à entrer, comme d’autres, en clandestinité en juillet 1962. Il dut s’exiler en Espagne jusqu’à l’amnistie de 68 (obtenue par Massu auprès de De Gaulle, ce dernier faisant dans sa culotte face aux évènements de Mai 68).

C’était un 22 janvier…

• 1923 :  assassinat du militant nationaliste Marius Plateau, secrétaire général de l’Action française et chef des Camelots du roi, par Germaine Breton (militante anarchiste), dans les locaux du journal royaliste.

Elle sera acquittée par la justice républicaine en décembre et embauchée – en guise de récompense – à l’Humanité !

Notes moyennes au brevet en fonction du nom des collèges

[avertissement : il n’y aura pas de surprise…]

L’histogramme ci-dessous montre la note moyenne de chacun des 86 noms de collèges les plus répandus.

🇻🇳 En rouge : noms de personnalités qui se sont engagées en faveur du communisme
🏦 En rose : noms de personnalités politiques françaises post-1945
✝️ En bleu : noms religieux

« Il y a 6622 collèges dans la base de données publique des résultats au brevet 2022 (fichier IVAC). Parmi eux, 1753 collèges ont un nom récurrent, porté par au moins 10 établissements. On compte ainsi 86 noms très récurrents […] » (source)

Un 2 janvier : naissance de sainte Thérèse de Lisieux

On pourra lire son Histoire d’une âme (ou l’écouter en livre audio).
Ce livre posthume, qui fut écoulé à d’innombrables exemplaires à travers le monde, reprend ses pensées et manifeste une spiritualité originale : simple et confiante mais aussi profonde et riche.

Cette spiritualité catholique exprimée et vécue par la jeune Thérèse Martin, du carmel de Lisieux, pourra plaire et apporter beaucoup à de nombreuses personnes. D’autres lui seront moins perméables et ne finiront pas le livre. Dans tous les cas, il faut essayer de le lire et peut-être y trouvera-t-on, sinon une école de vie, du moins de précieuses pensées et leçons.

Sanctuaire de Lisieux : Basilique Sainte Thérèse, Cathédrale ...

VIII. Le triomphe de l'humilité: Jeanne d'Arc
Thérèse costumée en Jeanne d’Arc, au carmel, pour une pièce de théâtre.