C’était… un 9 décembre

• 1880 : le préfet de Paris, Hérold, fait procéder à l’enlèvement des crucifix, statues de la Vierge et tableaux religieux de toutes les écoles publiques de Paris.

• 1901 : ce jour naissait à Aubenton (Aisne), celui qui deviendrait un aventurier, un pionnier et un pilote français de légende.
Il serait aussi un ardent militant nationaliste.
Par son physique (il était surnommé « l’archange »), son audace et son endurance, Jean Mermoz fut le plus populaire des pilotes de l’Aéropostale.
Cette compagnie aérienne s’illustra entre les deux guerres en établissant au prix d’immenses efforts les premières liaisons postales aériennes entre la France et l’Amérique du Sud.
Mermoz devint immensément célèbre après sa capture par les Maures le 22 mai 1926, suite à un atterrissage forcé de son Breguet XIV dans le désert au cours d’un vol Casablanca-Dakar. Son interprète et lui furent libérés contre une rançon de… mille pesetas.
Mais, abandonné en plein désert, il dut gagner à pied par ses propres moyens le poste d’escale de Cap-Juby, tenu par Antoine de Saint-Exupéry. Plus de détails sur son itinéraire de pilote ici.
Mermoz rejoignit le mouvement des « Croix de feu » (en tant que « Volontaire national »), une ligue patriotique dirigée par le colonel de La Rocque, tout en menant des activités caritatives. Il en fut une des principales figures.
Après la dissolution des ligues par le « Front populaire », Jean Mermoz cofonda le puissant Parti Social Français (successeur des Croix de feu) dont il fut vice-président jusqu’à sa mort.
Il disparut en effet prématurément le 7 décembre 1936, quand son avion s’abîma en mer.
Une citation de lui :
« La vie moderne autorise les voyages, mais ne procure pas d’aventure. »

• 1905 : après plusieurs années de persécution de la religion catholique, la très maçonnique IIIe République décrète la séparation de l’Eglise et de l’Etat (et volera par la suite les biens de l’Eglise – « les Inventaires »).
Cette loi sera dénoncée avec force par le pape saint Pie X, quelques mois plus tard, dans sa lettre encyclique Vehementer nos, qui condamne la rupture unilatérale du concordat ; proteste contre les nouvelles spoliations ; refuse catégoriquement la mise en place des associations cultuelles, incompatibles avec l’organisation hiérarchique canonique catholique et les fonctions ministérielles respectives de l’évêque et du curé qui en découlent (Gravissimo officii munere, août 1906).

• 1931 : en Espagne, fondation des Juntes d’offensive nationale-syndicalistes, dirigées par Ramiro Ledesma Ramos, qui fusionneront avec la Phalange de Jose Antonio Primo de Rivera.

• 1984 : aux Etats-Unis, le séparatiste blanc Robert Mathews, fondateur du groupe clandestin « la Fraternité silencieuse » (plus connue sous le nom de « The Order »), est tué à l’âge de 31 ans par le FBI sur l’île de de Whidby après trois jours de combat.

• 2000 : en Suède, le jeune militant nationaliste Daniel Wretström est assassiné à seulement 17 ans, à Salem (banlieue de Stockholm), par un groupe de racailles immigrées.
Il avait été suivi après une fête et reconnu comme faisant partie d’un groupe de rock nationaliste, agressé par derrière et s’est fait trancher la gorge et poignarder à plusieurs reprises.
Quant à ses assassins : Khaled Odeh a reçu des soins psychiatriques pour « homicide involontaire » et a été libéré 4 ans plus tard, en bénéficiant d’une nouvelle identité ; Taher Oder et Amir Mahdi ont tous deux reçu 40 heures de travaux d’intérêt général pour « voies de fait ».

Un défilé d’hommage au jeune Daniel Wretström. Les antifas organiseront des contre-manifestations à ces manifestations annuelles.

3 commentaires concernant l'article “C’était… un 9 décembre”

  1. Belle notice pour un héros français.
    La France, ça a été quelque chose tout de même !

    Merci Contre-Info

  2. Mermoz, comme St Exupéry, Guillaumet ou Reine, Nungesser et Coli, Coste et Belonte….Ils incarnent un France dont nous pouvons être fiers.
    Ce sont des aventuriers au sens le plus noble du terme…Mes HEROS.

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