Foot : Les supporters lensois refusent que des associations LGBT viennent leur faire la leçon

Le totalitarisme LGBT se répand de partout, et notamment dans le foot puisque ce week-end les capitaines des équipes de ligue 1 vont arborer un brassard au couleur LGBT. Jugeant cette propagande insuffisante, les associations LGBT se sont mis dans la tête d’aller rencontrer les supporters des équipes de foot. Difficile de faire dans plus grand totalitarisme : les gens viennent se divertir pour voir un spectacle, ils se retrouvent avec des discours qu’ils n’avaient pas demandés !

Dans ce contexte, on ne peut que féliciter les supporters de Lens qui ont refusé de rencontrer le collectif qui devait leur bourrer le crâne. Ainsi, nous dit Le Parisien :
« Les supporters lensois n’ont pas voulu discuter avec le groupe anti-homophobie Rouge Direct. »

Du reste, cette association ne se limite pas à porter la bonne parole, mais sait aussi se faire menaçante. Elle est particulièrement remontée contre les supporters de Lens qui auraient tenu des propos homophobes le 12 avril dernier, lors d’un match. Rouge Direct réclame notamment le « passage en commission de discipline » et une « action en justice contre les auteurs des injures homophobes, en particulier le capo, parfaitement identifiable ». Bref, elle est très belliqueuse et veut malgré tout rencontrer ceux qu’elle persécute. Difficile de faire plus hypocrite !

« Le Refuge » agrémenté par le gouvernement pour aller dans les écoles

Le Refuge agrémenté par le gouvernement pour aller dans les écoles

Après avoir déguisé les ABCD de l’égalité afin de faire taire les familles engagées dans les « Journées de Retrait de l’école », le gouvernement poursuit sa propagande homosexualiste dans les écoles et lycées au motif de la « lutte contre l’homophobie ».

 Cette fois-ci, ce sont les membres du Refuge qui en profitent : à l’issue de deux années de procédures, le ministre de l’Education Nationale Benoît Hamon vient de leur octroyer l’agrément national des associations éducatives complémentaires de l’enseignement public.  

L’association de « lutte contre l’homophobie et la transphobie » pourra donc désormais étendre ses actions de sensibilisation en milieu scolaire, ce qu’elle faisait déjà depuis 2010 sans la reconnaissance du ministère. En 2013 l’association était déjà intervenue dans 15000 établissements soit 400 de plus que l’année précédente.

Son directeur, Frédéric Gal confie que son but est d’augmenter le nombre d’interventions mais également de développer d’autres activités : « Nous aimerions par exemple lancer un projet avec le ministère dans les quartiers en difficulté, où la question de la sexualité – même pas celle de l’homosexualité – est encore un tabou. Le deuxième objectif, c’est la formation des enseignants et des travailleurs sociaux : quand des jeunes vont mal, c’est vers eux qu’ils se tournent, il faut donc les rendre à l’aise sur ce sujet et leur donner des clés pour qu’ils puissent répondre à leurs interrogations. Et surtout, démystifier et banaliser l’homosexualité ».

Horrible : propagande pour l’inversion sexuelle chez les enfants

« Le Baiser de la lune », est un court-métrage d’animation qui avait créé la polémique avant d’être interdit de diffusion en 2010.
Destiné aux enfants de CM1 et CM2, ce film – qui tente en effet d’expliquer et de promouvoir l’inversion sexuelle de façon « poétique et adaptée » à un jeune public – vient d’être autorisé à la distribution auprès des enseignants et des éducateurs, révèle Libération.
Le lobby profite de l’agitation des élections pour réitérer en douce ses ignobles manœuvres…

Il faut noter que dans la nouvelle version de la bande-annonce (et donc probablement du film), la voix du personnage principal (inverti pratiquant), qui était originellement celle d’un jeune homme, est désormais celle d’un enfant !!

Synopsis officiel :
Continuer la lecture de « Horrible : propagande pour l’inversion sexuelle chez les enfants »

Mort du directeur de « Sciences-Po »

Le médiatique Richard Descoings, directeur du prestigieux établissement censé former « l’élite » de la nation, a été retrouvé mort hier soir dans un hôtel de Manhattan (E-U), à l’âge de 53 ans.
Le décès est suspect (affaires cassées, plusieurs personnes présentes) même s’il y a peu d’éléments pour l’instant, et – si la prudence est de mise – beaucoup pensent secrètement à une affaire de mœurs, au vu de la personnalité de Descoings.
Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il soit l’objet d’éloges de la part de la classe médiatico-politique dont il incarnait les aspirations.

Inverti notoire (déclarant, en tant que prof, « en amphi qu’il était “le premier pédé de Sciences-Po” ») – bien que marié – et partisan de la dégénérescence des mœurs, il avait rendu obligatoire à Sciences-Po l’étude de la délirante théorie du gender. Une première parmi les grandes écoles.
Descoings était aussi un xénophile forcené, hostile à l’identité nationale. Tenant de la « discrimination positive » (sic), il avait favorisé l’entrée des citoyens étrangers dans l’école (40% du total actuel !) sans parler des étrangers à papiers français derrière lesquels il courrait, notamment ceux des ZEP.
Continuer la lecture de « Mort du directeur de « Sciences-Po » »

Lobby inverti : un prêtre condamné dans la « très catholique » Croatie !

Franjo Jurcevic, un prêtre catholique de Kastav, a été condamné à un an de prison avec sursis !

Parce que sur son blog, il s’était simplement réjoui que l’année dernière à Belgrade, des milliers de patriotes et Serbes normaux s’étaient opposés à la « Gay pride » : ces événements (videos) « ont montré ce que (les habitants de Belgrade) pensent des psychopathes ». « Bravo aux citoyens normaux de Belgrade! »  ou encore : « C’est comme cela que les gens normaux de Zagreb devraient réagir quand ces malades occupent l’espace public ».

Homofolie : une BD lesbienne récompensée au Festival d’Angoulême

Ce week-end, le prix du public du festival de la bande dessinée d’Angoulême a couronné Le Bleu est une couleur chaude, le roman homosexualiste de Julie Maroh. «Je suis très heureuse d’avoir reçu, plus particulièrement, le prix du public, a déclaré l’auteur. Je trouve ça bien qu’une thématique lesbienne ait réussi à toucher le public dans son ensemble. Les lecteurs ont reçu cette histoire entre deux femmes comme une histoire d’amour comme toutes les autres.»

Mais oui, personne ne doute que c’est le « public » qui a réellement choisi cette BD de propagande lesbienne…