Opération d’agit prop : Blanquer annonce dans les lycées des « débats » sur le climat

Alors que les officines mondialistes ont décrété une « grève mondiale » (sic) pour le climat, le gouvernement organise des séances de bourrage de crâne puisque vendredi 15 mars dans les lycées, de 16 à 18h, des « débats » auront lieu à la place des cours ordinaires.
Ainsi, des cours nobles, tels que ceux de mathématiques, de science ou de littérature passeront à la trappe et les élèves se verront offrir 2 heures de bourrage de crâne en échange.

Car, posons tout de suite les choses : il ne s’agit pas d’un débat contradictoire pour savoir s’il y a réchauffement climatique ou non, et si oui, si celui-ci est anthropique (d’origine humaine) ou non.
Non, comme en matière d’histoire holocaustique, tout le monde sait que  « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, [cela] a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. » Eh bien là, c’est pareil :

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« Le Refuge » agrémenté par le gouvernement pour aller dans les écoles

Le Refuge agrémenté par le gouvernement pour aller dans les écoles

Après avoir déguisé les ABCD de l’égalité afin de faire taire les familles engagées dans les « Journées de Retrait de l’école », le gouvernement poursuit sa propagande homosexualiste dans les écoles et lycées au motif de la « lutte contre l’homophobie ».

 Cette fois-ci, ce sont les membres du Refuge qui en profitent : à l’issue de deux années de procédures, le ministre de l’Education Nationale Benoît Hamon vient de leur octroyer l’agrément national des associations éducatives complémentaires de l’enseignement public.  

L’association de « lutte contre l’homophobie et la transphobie » pourra donc désormais étendre ses actions de sensibilisation en milieu scolaire, ce qu’elle faisait déjà depuis 2010 sans la reconnaissance du ministère. En 2013 l’association était déjà intervenue dans 15000 établissements soit 400 de plus que l’année précédente.

Son directeur, Frédéric Gal confie que son but est d’augmenter le nombre d’interventions mais également de développer d’autres activités : « Nous aimerions par exemple lancer un projet avec le ministère dans les quartiers en difficulté, où la question de la sexualité – même pas celle de l’homosexualité – est encore un tabou. Le deuxième objectif, c’est la formation des enseignants et des travailleurs sociaux : quand des jeunes vont mal, c’est vers eux qu’ils se tournent, il faut donc les rendre à l’aise sur ce sujet et leur donner des clés pour qu’ils puissent répondre à leurs interrogations. Et surtout, démystifier et banaliser l’homosexualité ».

Ouverture d’une école « musulmane » dans le Rhône

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« Beaucoup de familles de confession musulmane ne se reconnaissent plus dans le système public » a affirmé le directeur de cette future école, Abdelmajid Lekki.

Les raisons évoquées sont d’abord la qualité de l’enseignement dispensé et les difficultés d’encadrement. Mais rapidement une motivation majeure apparaît, celle de la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l’école. A La Plume, dans cette nouvelle école, les petites filles pourront porter leur voile. (Photo groupe scolaire la Plume prise lors de la rentrée test).

La motivation s’est attisée, de ses aveux, au moment le la légalisation du mariage pour tous, un refus grandissant de la décadence occidentale qui ne fait que renforcer le repli identitaire de ces populations déjà déracinées.

L’école a reçu son agrément au printemps et fonctionnera hors contrat. Une rentrée « test » a eu lieu le 5 mai avec 11 élèves. En septembre 75 enfants seront accueillis de la grande section de maternelle au CM1.

Le matin, les cours classique seront dispensés, l’après-midi : apprentissage de la langue arabe, du Coran et des sciences religieuses. Une école coranique en somme.

Le directeur insiste : « à l’exception de quelques éléments qui nous semblent trahir la vérité historique, on peut dire qu’à plus de 80%, les programmes officiels de l’Education nationale seront respectés ». Un enseignement qui se fera donc en fonction de cette patrie qu’est l’islam, rejettant probablement des pans de l’Histoire de France allant contre son avantage…

Des enseignants agréés par l’Education nationale et des professeurs spécialisés et reconnus dans les domaines religieux ont été recrutés.

Le budget annuel est de l’ordre de 135 000€ : Des frais de scolarité à 130€ par mois, le reste financé par des dons privés…

Bien naïf celui qui peut croire une seconde que les enfants ressortiront parfaits petits Français…

Quand les Français apprennent la langue de leurs colonisateurs…

Voici ce que l’on peut lire sur la porte de l’école élémentaire Jules Ferry du Perreux sur Marne (94) :

Ou comment pratiquer l’assimilation à l’envers. On peut regretter l’immigration de masse, et nous la regrettons car elle a une incidence évidente sur l’équilibre démographique, culture, et économique de nos sociétés occidentales. Mais pour le moins aurait-on pu exiger des nouveaux venus qu’ils adoptent nos codes, afin de faciliter leur assimilation à la société française. Eh bien c’est le contraire qui a lieu de nos jours : plutôt que d’apprendre aux immigrés la langue française, l’école de la république propose aux français d’apprendre la langue des immigrés. Dans le dictionnaire, on appelle ça une colonisation. Mais cette colonisation dont est victime notre pays est beaucoup plus subversive : puisqu’elle ne se fait pas par les armes, mais par les leviers conjugués de l’immigration de masse et de la démographie.

Pour souvenir, la droite y est favorable :


Jean François Copé et l'apprentissage de la… par zaxx

Seine-Saint-Denis : des Roms scolarisés illégalement !

Mardi matin, 15 janvier, sept enfants roms ont été scolarisés dans une école primaire de Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, alors que la mairie PS avait refusé de les inscrire, jugeant cette démarche « pas réglementaire« . Les enfants ont été reçus par la directrice de l’école et l’inspecteur de l’Éducation nationale, avant que l’équipe enseignante s’organise pour les accueillir dans les classes.

La difficulté à se faire scolariser que rencontraient ces enfants procède de ce que, leurs familles vivant dans un bidonville, ils ne parvenaient pas à se faire domicilier par les services sociaux de la ville. Faute d’adresse, la municipalité ne pouvait donc pas inscrire ces enfants à l’école.

« Nous sommes très surpris de cette initiative des représentants de l’Éducation nationale qui a été prise sans concertation avec la ville« , a réagit l’entourage du maire PS, Michel Pajon. Rappelant que seul le maire a le droit d’inscrire des enfants dans les écoles de sa commune, la mairie indique qu’il s’agit là d’une « initiative qui n’est pas réglementaire« . Il est vrai que le préfet peut enjoindre un maire à scolariser des enfants, mais il demeure que « dans le cas présent cette procédure n’a pas été suivie« , précise encore la municipalité.

Dans une lettre adressée à M. Pajon le 11 janvier, le défenseur des droits, Dominique Baudis, a demandé des explications sur la non-inscription des Roms à l’école communale : mettant en demeure le maire de lui répondre sous dix jours. Le cabinet de M. Baudis souligne en effet que « l’intérêt supérieur de l’enfant prévaut sur l’appréciation du maire« .

Sauf que, s’il appartient au maire de procéder à l’inscription des enfants, celle-ci soumise à une règlementation dont les Roms ne sont pas davantage exempts que les autres enfants. Et c’est bien là qu’intervient nécessairement l’appréciation du maire. Quoiqu’il en soit, la procédure n’a pas été respectée par l’Éducation nationale qui s’est exécutée sans l’aval de la mairie, alors même que le préfet n’était pas intervenu pour enjoindre le maire, ainsi qu’il avait pourtant la possibilité de le faire.

Cet événement soulève néanmoins un problème de fond, au delà de toute polémique sur la réglementation. Car en effet, alors que l’usage et la loi suspendent l’inscription à l’école de l’enfant à sa domiciliation, et cela pour des raisons évidentes de stabilité, de sécurité et de communication avec la famille, les Roms vivent en nomades, conservant leurs codes et refusant délibérément de s’intégrer à la communauté nationale à laquelle ils prétendent par ailleurs participer, et de laquelle ils exigent entre autre la scolarisation.

Ainsi que le dit l’adage attribué à  Ambroise de Milan : « si fueris Romae, Romano vivito more; si fueris alibi, vivito sicut ibi« . Littéralement : Si tu es à Rome, vis comme les romains; si tu es ailleurs, vis comme on y vit. Car la France n’est pas une simple addition de communautés coexistant sur un immense territoire géographique vierge de toutes mœurs et de toutes lois ! Elle a elle-même ses propres règles, sécrétées par son histoire et par ses institutions, et qui conditionnent son mode de vie et d’existence. A bon entendeur !

JdR

 

Cantine scolaire : une enfant de cinq ans emmenée au poste !

Dans les Pyrénées-Atlantique, une policière municipale est intervenue dans une école d’Ustaritz : elle a sorti de la cantine une enfant de maternelle, âgée de cinq ans, parce que ses parents devaient encore 170 euros à la cantine.

« La petite a été prise par la police municipale à la cantine, qui est gérée par la municipalité et se trouve en dehors de l’établissement, à 200 mètres« , a expliqué le directeur de l’école Saint Vincent, Laurent Aguergaray. « C’est un procédé irresponsable« , s’est-il indigné en soulignant que Léa et ses camarades avaient été choqués : « Quand Léa est revenue dans l’après-midi ils étaient étonnés. Ils pensaient qu’elle était en prison. La maîtresse a discuté avec toute la classe pour tenter de dédramatiser (…)On ne prend pas les enfants en otage de cette manière ».

Sidérant ! Décidément, quand le bon sens vient à manquer à ce point chez les fonctionnaires, que l’on punit les enfants pour les fautes de leurs parents, jusqu’à faire intervenir la gendarmerie et finir de les traumatiser, c’est que le système a réellement quelque chose de pourri. Surtout qu’on sait les millions d’étrangers qui s’en mettent plein les poches sur le dos des contribuables…

Scandale à Nantes : un professeur travesti enseigne dans une école privée

Un prof du privé "catholique" dans quelques années ?

Un professeur de Technologie et sciences industrielles, homme âgé d’une quarantaine d’année, a fait sa rentrée aujourd’hui, après les congés d’été, déguisé en femme et avec un nouveau nom, féminin… Il prévoit de subir une opération chirurgicale dans quelques mois pour soi-disant « véritablement changer de sexe » selon les médias.

On imagine aisément l’impact psychologique catastrophique sur les élèves, déjà soumis à la désorientation complète de notre société en matière de mœurs et de bon sens social…

Évidemment les autorités compétentes républicaines n’y trouvent rien à redire, mais le pire, dans cette lamentable affaire, c’est qu’elle se déroule dans une « école privée catholique » et que l’établissement Saint-Stanislas (Nantes) consent à cette mascarade honteuse !

« Ce changement s’est fait en plein accord et concertation avec la direction diocésaine de l’enseignement catholique à Nantes », a confirmé à l’AFP Didier Groleau, adjoint au directeur diocésain, également interviewé par Presse-Océan.

L’enseignant « nous avait prévenu de son choix l’année dernière. (…) Nous l’avons invité à prévenir le rectorat qui est son employeur. Nous avons ensuite organisé, avec son accord, l’information auprès des autres enseignants et des parents d’élèves et élèves concernés, qui ne sont qu’une petite vingtaine [qu’est-ce que leur nombre change ?!]», a déclaré M. Groleau à Presse-Océan. Ainsi, des courriers ont été envoyés aux familles et le service psychologique de l’enseignement catholique a été avisé.

Il s’agit du deuxième cas en deux ans, de « changement de sexe » d’un professeur du privé en Loire-Atlantique ».
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Horrible : propagande pour l’inversion sexuelle chez les enfants

« Le Baiser de la lune », est un court-métrage d’animation qui avait créé la polémique avant d’être interdit de diffusion en 2010.
Destiné aux enfants de CM1 et CM2, ce film – qui tente en effet d’expliquer et de promouvoir l’inversion sexuelle de façon « poétique et adaptée » à un jeune public – vient d’être autorisé à la distribution auprès des enseignants et des éducateurs, révèle Libération.
Le lobby profite de l’agitation des élections pour réitérer en douce ses ignobles manœuvres…

Il faut noter que dans la nouvelle version de la bande-annonce (et donc probablement du film), la voix du personnage principal (inverti pratiquant), qui était originellement celle d’un jeune homme, est désormais celle d’un enfant !!

Synopsis officiel :
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