Foot : Les supporters lensois refusent que des associations LGBT viennent leur faire la leçon

Le totalitarisme LGBT se répand de partout, et notamment dans le foot puisque ce week-end les capitaines des équipes de ligue 1 vont arborer un brassard au couleur LGBT. Jugeant cette propagande insuffisante, les associations LGBT se sont mis dans la tête d’aller rencontrer les supporters des équipes de foot. Difficile de faire dans plus grand totalitarisme : les gens viennent se divertir pour voir un spectacle, ils se retrouvent avec des discours qu’ils n’avaient pas demandés !

Dans ce contexte, on ne peut que féliciter les supporters de Lens qui ont refusé de rencontrer le collectif qui devait leur bourrer le crâne. Ainsi, nous dit Le Parisien :
« Les supporters lensois n’ont pas voulu discuter avec le groupe anti-homophobie Rouge Direct. »

Du reste, cette association ne se limite pas à porter la bonne parole, mais sait aussi se faire menaçante. Elle est particulièrement remontée contre les supporters de Lens qui auraient tenu des propos homophobes le 12 avril dernier, lors d’un match. Rouge Direct réclame notamment le « passage en commission de discipline » et une « action en justice contre les auteurs des injures homophobes, en particulier le capo, parfaitement identifiable ». Bref, elle est très belliqueuse et veut malgré tout rencontrer ceux qu’elle persécute. Difficile de faire plus hypocrite !

L’Olympique lyonnais veut éliminer les nationalistes de ses tribunes

Après le Kop de Boulogne à Paris, ce sont dans les tribunes lyonnaises que le gouvernement et les associations « antiracistes » souhaitent éradiquer tout ce qui ressemblerait de près ou de loin à un patriote.

« Afin d’atteindre cet objectif, les stadiers et les agents de sécurité lyonnais s’apprêtent à suivre une formation visant à repérer et signaler les propos et agissements racistes au sein de certaines tribunes. Cette initiative a pris jour en mars, lors d’une réunion entre les dirigeants de l’Olympique lyonnais, le préfet de police et la Licra.

A peine un mois plus tard, le groupe de supporters Cosa Nostra, né de la fusion entre les Lugdunum et les Nucléo Ultra, était dissout par le ministère de l’Intérieur. Pour autant, à Gerland, les nationalistes ont toujours leurs quartiers dans le virage sud. Certains de ses membres se sont regroupés pour former « Les indépendants ». Ils figurent en première place sur la liste noire des groupes dits « d’extrême-droite ». De même, « Lyon 1950 » et les « Bad Gones » sont sur la sellette. » (source)

Comble du ridicule, des tracts seront distribués avant chaque match, sur lesquels figurera le numéro national de la cellule juridique de la Licra, où ils pourront signaler ces comportements. L’Olympique lyonnais fait partie des 22 clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 à avoir signé un accord national, en octobre, en partenariat avec l’UCPF et la LFP.

Juvénal

«Les gays n’ont pas leur place dans le foot»

Les déclarations de Rudi Assauer, ancien footballeur et entraîneur allemand ont provoqué un tollé ce week-end.
Pour les associations LGBT, ses commentaires sont «pires que du mépris».

Rudi Assauer est une star pour les footeux de son pays – ancien joueur, il a été par la suite entraîneur du FC Shalke (première division).
Dans une interview au journal L’Express de Cologne, il s’est lâché: «Peut-être peut-il y avoir des homosexuels dans les autres sports, mais ils n’ont pas leur place dans le football».

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