Pour Nigel Farage, le « lobby juif » est « surpuissant » aux Etats-Unis

Lu dans Le Point :

« Il y a environ six millions de personnes juives vivant en Amérique, donc un pourcentage relativement petit, mais en terme d’influence, c’est énorme » débute Nigel Farage. Interrogé à la radio britannique LBC sur les soupçons d’ingérences russes dans la présidentielle américaine, l’ancien leader du parti europhobe Ukip s’est retrouvé au cœur d’une vaste polémique après sa réponse à un auditeur. « En terme d’argent et d’influence, ils sont un lobby surpuissant » a-t-il ajouté. Il a ensuite remercié l’auditeur pour sa question, et pour avoir « fait remarquer qu’il existait d’autres puissants lobbies en Amérique avec le lobby juif qui a des liens avec le gouvernement israélien, dont il est l’une des voix les plus puissantes » rapporte le journal britannique The Independent.

Après ces déclarations polémiques, Nigel Farage, visage emblématique du Brexit, a été largement critiqué. Et notamment par l’un des représentants de la Campaing Against Antisemitism (CAA), une organisation non-gouvernementale luttant contre l’antisémitisme en Angleterre, qui appelle Nigel Farage à s’excuser après ces « déplorables commentaires. »

Le Congrès américain, une autre Knesset ?

L’Etat d’Israël, Etat particulièrement agressif comme en attestent aussi bien les bombardements des civils palestiniens l’été dernier qui ont fait plusieurs milliers de morts, que plus récemment le bombardement en territoire libanais (et donc à l’encontre total du droit international) de membres du Hezbollah, semble bénéficier d’une impunité totale. Ce n’est pas nouveau puisque certaines résolutions de l’ONU ne sont toujours pas appliquées dans l’indifférence générale concernant ce pays (telle par exemple, la résolution 497 qui remonte à 1981…) et il faudrait alors se poser la question de savoir pourquoi cet Etat est au-dessus des autres. Nous vous livrons le point de vue de Michel Colomès paru dans Le point et qui permet de comprendre :

« C’était lors d’un des nombreux bras de fer du président Carter avec le Premier ministre israélien Menahem Begin, avant que le président des États-Unis ne réussisse à le forcer à signer la paix des braves avec l’égyptien Anouar el-Sadate. Déjà, le lobby juif du Congrès américain avait mis tous les bâtons possibles dans les roues du projet en essayant de faire capoter le rapprochement, arrachant à un ambassadeur de France qui avait servi aux États-Unis, cette exclamation : « Mais ce Congrès, c’est une autre Knesset ! »

La remarque pourrait resservir telle quelle aujourd’hui avec l’invitation surprise à Benyamin Netanyahou, lancée par John Boehner, le leader de la majorité républicaine de la Chambre des représentants, à venir s’exprimer devant les deux chambres réunies. Une invite rendue officielle au lendemain du discours sur l’état de l’Union du président des États-Unis et qui constitue évidemment un camouflet à un Obama manifestement pris de court et publiquement contré sur l’un des points les plus délicats de son allocution : son souhait que les parlementaires américains n’entravent pas, en votant de nouvelles sanctions contre l’Iran, les délicates négociations qui déboucheront peut-être sur des garanties suffisantes de Téhéran d’abandonner ses ambitions de se doter de l’arme nucléaire et sur le retour de ce pays dans le camp des nations fréquentables. (…)

« Si (Obama) espère que nous resterons apathiques et sans rien faire alors qu’il concocte un mauvais accord avec l’Iran, par l’enfer il se trompe » s’est exclamé John Boehner. Et avec le nouveau chef de la majorité du Sénat, le républicain Mitch Mc Connell, il a annoncé que les deux chambres allaient mettre en place de nouvelles sanctions. « Qu’Obama le veuille ou non. » C’est là la confirmation que le Congrès, issu des élections de novembre, s’aligne sur les thèses belliqueuses de Netanyahou – qui viendra sans doute répéter devant les parlementaires américains qu’il faut lui donner les moyens de détruire les centres de recherche iraniens qui travaillent sur le nucléaire.

La date de cette visite à Washington, prévue le 3 mars, a toutefois donné à Obama le prétexte idéal pour ne pas recevoir ce chef d’un gouvernement étranger, qui, au mépris de toutes les règles diplomatiques, accepte l’invitation du Parlement, sans que ni la Maison-Blanche ni le Département d’État aient été avertis. « Comme le veut notre pratique, a dit le porte-parole du Conseil national de sécurité, Bernadette Mechan, nous ne recevons jamais les chefs d’État à proximité d’une élection pour ne pas interférer dans le processus démocratique d’un pays étranger. » Or, les élections israéliennes auront lieu quinze jours plus tard. »

Lire la suite sur Le point.

On notera qu’en France aussi ce lobby juif sioniste est particulièrement puissant puisque le premier ministre se déclare lui-même éternellement lié à Israël (par sa femme), et, autre exemple, ce post que nous avions publié en son temps.

Le lobby juif d’Allemagne furieux

En effet le week-end dernier, « seulement » trois membres de l’équipe nationale de football se sont déplacés pour visiter les vestiges du camp d’Auschwitz. L’équipe s’est rendue en Pologne pour l’Euro 2012 et une visite était programmée pour toute l’équipe. Le Président du « Conseil central des Juifs d’Allemagne », Dieter Graumann, a critiqué dimanche la Fédération allemande de football (DFB), en disant que « la possibilité d’influencer des centaines de milliers de jeunes a été manquée. » L’équipe de football d’Angleterre, elle, se rendra en entier au camp d’extermination. Petit revers pour le lobby qui n’existe pas…

Merci à Oléa

La simple évocation d’un lobby juif mène à l’hystérie…

Sud Radio a mis à pied le présentateur Eric Mazet à la suite de la mise en demeure de la radio par le CSA (mené par un certain Rachid Arhab) pour “propos discriminatoires”.
Tout ceci car au cours d’une émission, un auditeur avait évoqué un “lobby juif” dans le cadre de l’affaire DSK !
Idée démentielle en effet !

La laïcité républicaine en action

cette fois avec Claude Guéant, ministre de l’Intérieur, qui risque un lumbago à force de reptations devant le lobby juif.
En effet, lors du dîner du CRIF (« Conseil représentatif des institutions juives de France », voir ici) le 30 juin à Marseille, le ministre a osé affirmer qu’« il conviendrait de veiller à ce que les examens et concours de la République ne se déroulent pas » pendant la Pâque juive !

Il a indiqué avoir demandé au ministre de la Fonction publique, par un courrier en date du 2 mai, de « veiller à ce que les fêtes de Pessah [Pâque juive] figurent, dès l’an prochain, dans le calendrier des principales fêtes religieuses ».
« C’est par de telles inflexions que la laïcité témoigne de sa vitalité et assure sa pérennité », a-t-il hypocritement souligné, en oubliant de dire que le laïcisme, d’origine maçonnique, privilégiait toujours davantage les cultes judaïque et islamique tout en attaquant régulièrement les fêtes chrétiennes et le dimanche !

Merci à Henry

La mémoire aux mains des lobbies

Il aura fallu 48 heures au ministre franco-tunisien pédéraste Frédéric Mitterrand pour exécuter les ordres de Serge Klarsfeld, éminent lobbyiste juif.

Ce dernier avait en effet exprimé son mécontentement en apprenant que le 50ème anniversaire de la mort de Louis-Ferdinand Céline devait être commémoré officiellement en 2011, parmi 500 autres personnalités sur la liste des « célébrations nationales » du ministère de la Culture (sic).

Ainsi, l’un des plus grands écrivains français de tous les temps se retrouve banni du patrimoine officiel français, au profit d’une multitude de farceurs de plus ou moins bon goût, sur  ordre d’un « dictateur de la mémoire », Serge Klarsfeld (président de l’association des Fils et Filles de déportés juifs de France).

Ces pèlerinages que veut Marine Le Pen

L’Express du 17 décembre consacre un dossier très complaisant à Marine Le Pen.
On y apprend que celle-ci cultive depuis des années des liens étroits avec des dirigeants du lobby juif. De même qu’« au conseil régional d’Ile-de-France, le groupe, qu’elle préside de 2004 à 2008, réclame qu’un élu FN puisse se joindre à la délégation de lycéens qui se rend chaque année à Auschwitz, comme les représentants des autres partis. »
Rappelons que des jeunes Français sont, de plus en plus massivement, emmenés vers Auschwitz pour y peaufiner le bourrage de crâne subit au cours de leur scolarité.

L’hebdomadaire explique encore qu’ « au Parlement européen, elle s’est inscrite à la délégation pour les relations avec Israël, qui projette un voyage au Proche-Orient. Michael Carlisle, patron de la LDJ [Ligue de défense juive, organisation extrémiste violente – NDCI], appelle alors la député pour savoir si elle compte visiter le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem. « Oui, pourquoi pas ? » aurait-elle répondu, selon un proche. »

Le CSA aux ordres du CRIF

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a demandé, le 8 avril 2010, à la société Eutelsat de cesser la diffusion de la chaîne égyptienne Al Rahma.
Des propos à caractère « antisémite » auraient été tenus sur cette chaîne, le 31 octobre 2009, à propos du conflit israélo-palestinien, décrivant le peuple juif de façon non positive.
Pour le Conseil représentatif des Institutons Juives de France (CRIF) de tels propos seraient contraires à l’article 15 de la loi du 30 septembre 1986 qui interdit la diffusion de tout programme incitant à la haine ou à la violence pour des raisons de religion ou de nationalité.

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