Affaire Femen : la chasse aux catholiques commence (mis à jour)

MAJ 29/11, 19h20 : mauvaise nouvelle. Les gardés à vue passent la nuit au commissariat et seront déférés demain au parquet. C’est suite à cette convocation que l’on saura s’ils sont relâchés ou écroués (prison préventive dans l’attente du procès). « La République gouverne mal, mais elle se défend bien ».  Prions bien pour eux. Pensez à les soutenir : ici.

MAJ 29/11, 9h30 : une cinquième personne a été mise en garde à vue ce matin (sa femme vient de nous le confirmer). De plus, la lesbienne extrémiste Caroline Fourest annonce s’être rendu au commissariat du SIT (Service d’Investigation Transversale) hier pour reconnaître les gardés à vue.

MAJ 29/11, 9h00: ce ne sont pas 2 personnes en garde à vue mais 4.

Article du 28/11. Selon nos informations, au moins un participant de la manifestation du 18 novembre contre le « mariage » homosexuel a été interpellée ce matin à son domicile. Probablement accusé d’avoir repoussé énergiquement les agresseurs (Femen), il serait toujours en garde à vue. De plus, un manifestant catholique est convoqué ce soir par la police. Nous vous tiendrons informés des suites de l’affaire.

A notre connaissance, aucune militante « Femen » n’a été interpellée pour avoir agressé physiquement et verbalement les participants à la manifestation, y compris les enfants.

Le vrai visage des Femen

Les « Femen » ont bien fait parler d’elles cette semaine.
L’une d’elle, se revendiquant « ni pute ni soumise », a été démasquée sur internet en tant qu’escort girl (prostituée)… Nous vous épargnons les photos probantes.
Ces militantes peinent à dissimuler la haine qui les anime. Et voici encore un instant de vérité qui analyse l’attaque et le traitement médiatique de dimanche dernier. Avec humour…

La maman du bébé agressé porte plainte contre les Femen

On se souvient, sur les photos, d’une poussette aspergée de gaz par les féministes extrémistes. Eh bien la maman a porté plainte contre les Femen.

« Elles ont bousculé tout le monde, elles se sont figées en continuant à hurler leurs slogans, elles brandissaient des bombes lacrymogènes face à nous et à ce moment là, elles en ont fait usage dans notre direction. J’ai vu arriver du gaz sur mon visage et sur ma fille âgée de six mois que j’avais devant moi en poussette« , témoigne la maman dans le procès verbal rédigé par la police.

Qui était davantage hors-la-loi ?

La provocation des féministes, dimanche, lors de la manifestation pour la défense de la famille, pourrait leur coûter cher ! Participant à une manifestation non-déclarée, seins-nus exhibés, et armées, faisant usage de leurs armes en perturbant une manifestation légale, voilà qui les expose a davantage de soucis judiciaires que ceux auxquels seront confrontés les manifestants qui ont répliqué à leur agression… Car Civitas a porté plainte contre les Femen.

Denis Cheyrouze analyse quant à lui, sur Boulevard Voltaire, les différentes étapes de l’attaque des extrémistes de Femen. Car il ne fait plus aucun doute que cette attaque était un coup monté, une provocation qui avait pour vocation de susciter une réaction, afin de disqualifier la manifestation, et par association, l’idéal qu’elle voulait promouvoir.

Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
Continuer la lecture de « Russie : les provocatrices punk condamnées »