Benoît Hamon trouve qu’il y a encore « trop de Blancs » dans certaines villes de France !

Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon, s’exprimait dans les colonnes du journal de gauche « Le Télégramme » (source) en 2007, sur les raisons de son engagement politique :

De retour à Brest, quelques années plus tard, il éprouve un certain mal à se réadapter. « La rupture a été terrible : la température, la culture, la manière de vivre, les odeurs, tout était trop différent. Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique »

A travers ces propos ahurissants et violents, Hamon laisse transparaître sa haine de l’ethnie française : ce cosmopolitisme est selon lui au coeur de son engagement !

Le gauchisme est vraiment une maladie de l’esprit…

Source

ABCD de l’égalité : la même chose, en pire…

Hamon NajatBenoît Hamon et Najat Vallaud-Belkacem ont enfin compris que la pilule ne passait pas et que les initiatives contre les ABCD de l’égalité, expérimentés dans 600 écoles françaises, continuaient à se multiplier…

Mais au lieu d’écouter les Français, et en l’occurrence des parents légitimement inquiets pour leurs enfants, les deux ministres ont décidé de les prendre pour des imbéciles.

« Le nom « ABCD de l’égalité » attaché à l’expérimentation n’apparaîtra plus » affirme Najat, puisque « nous allons passer à une étape où toutes les écoles, tous les enseignants, tous les élèves sont concernés » avec un dispositif « très ambieux », a-t-elle assuré.

Voilà la solution : on change le nom mais on continue, en pire et en accéléré, en restant bien cachés derrière le mot fourre-tout d' »égalité ».

Mais l’égalité de l’homme et de la femme est un principe acquis par notre civilisation… Il n’y a pas besoin de plan d’action spécial…

S’ils voulaient vraiment lutter pour l’égalité, il serait bon de commencer par ces quartiers où les filles n’osent plus sortir en jupe, par exemple…

Il ne s’agit évidemment pas plus aujourd’hui qu’hier d’égalité mais bien toujours de cet égalitarisme qui prétend que les différences naturelles entre un homme et une femme ne sont que des constructions de la société.

Donc on continue, mais on accélère. Benoît Hamon, ministre de l’Education Nationale a lui même a insisté : ce ne sont plus 600 enseignants qui seront formés, mais les 330.000 que compte la France… Les nouveaux « modules pédagogiques » sont bien les clones des « ABCD de l’égalité », rebaptisés pour tenter de museler l’opposition.

Le niveau de l’école se révèle chaque année de plus en plus catastrophique, le rapport Pisa (publié par l’OCDE) épinglait la France cette année encore… Mais le Ministre refuse de concentrer l’école sur son rôle premier d’instruction pour continuer à se substituer aux parents en matière d’éducation…

Ce n’est pas comme ça qu’ils feront cesser la grogne de ces parents inquiets…

Madoff fait des émules en France

Une de ses coreligionnaires, Sylviane Hamon, a tenté de créer une escroquerie de type « pyramidal » en Touraine, qui aurait fait des dizaines de victimes, comme l’a révélé la Nouvelle République.

Selon l’Association d’aide aux victimes d’infractions pénales (Adavip) d’Indre-et-Loire, une trentaine de personnes ont déjà porté plainte contre cette femme âgée de 49 ans.
« Beaucoup vont devoir faire des dossiers de surendettement, avec des interdictions Banque de France », a expliqué à l’AFP la responsable de l’Adavip, Marie-Paule Carrey. Certains craignent même de devoir vendre leur maison pour rembourser, selon elle.

Comme l’escroc new-yorkais Bernard Madoff, cette femme est soupçonnée d’avoir fait miroiter pendant plusieurs années des placements juteux rapportant jusqu’à 30%, à des personnes qui lui faisaient confiance. Elle ciblait des amis, des voisins, et même des membres de sa propre famille ou belle-famille, a révélé l’enquête menée par la section de recherches de la gendarmerie à Orléans.

Il est amusant de noter que le quotidien de gauche Libération (propriété du milliardaire franco-israélien Edouard de Rothschild) refuse de donner le nom de l’inculpée dans son article consacré à l’affaire.