« Nous avons acheté Manhattan, la Hongrie, la Roumanie et la Pologne »

Il nous faut rétablir certaines vérités concernant le Jobbik, le parti nationaliste hongrois.
Les merdias français l’accusent parfois de délire antisémite, parce qu’il affirme par exemple que les Israéliens raflent massivement l’immobilier hongrois.
Laissons donc le président israélien Shimon Peres nous donner son avis (à l’Hotel Hilton de Tel-Aviv en 2007) :

« L’invraisemblable obsession scatologique du soldat israélien »

Vu sur un site consacré au Liban :
 
Jean-Pierre Perrin compile, dans un billet de Libération du 25 juin (2009), une liste d’«humiliations» subies par le corps diplomatique français, infligées par des soldats israéliens. Et notamment ce crime de lèse-drapeau parfaitement immonde:
Mais l’incident le plus choquant est l’occupation du domicile de l’agent consulaire français, Majdi Chakkoura, à Gaza pendant l’attaque israélienne de janvier. En son absence, les soldats israéliens ont complètement ravagé les lieux – pourtant signalés à l’armée israélienne -, volé une grosse somme d’argent, les bijoux de son épouse, son ordinateur et détruit la thèse sur laquelle il travaillait. Et ils ont souillé d’excréments le drapeau français.
Cette dernière phrase a fait ressurgir des souvenirs de discussions avec un ami libanais.
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Un couple juif vole des « souvenirs » à Auschwitz

Un couple d’Israéliens a été condamné après le vol de plusieurs objets, à deux ans de prison avec sursis et une amende devra être versée à la préservation du site d’Auschwitz. Lorsque toutes les formalités seront accomplies, l’homme, âgé de 60 ans, et son épouse, de trois ans sa cadette, pourront quitter la Pologne, alors qu’ils encouraient une peine de 10 ans de prison. En effet le couple a passé la nuit de vendredi à samedi en garde à vue après avoir été pris en flagrant délit par la police des frontières à l’aéroport de Cracovie en passe de ramener chez eux neuf objets, dont des ciseaux, des couteaux, des bouchons de bouteille en porcelaine, dérobés dans un entrepôt du musée d’Auschwitz. Ironie de l’histoire, c’est peut être le vol qui a motivé les Allemands à inscrire « Le travail rend libre » à l’entrée dudit camp.

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Merci à Henry