L’Etat d’Israël est connu pour être le refuge international de nombreux criminels en fuite. Mais on aurait pas forcément imaginé, au premier abord, qu’une racaille maghrébine puisse y être attiré.
Pour Redoine Faïd, qui s’est échappé spectaculairement de prison samedi (pose d’explosifs sur cinq portes, prise d’otages) et qui profitait des largesses de la justice française, le rapport avec Israël va plus loin.
« Redoine Faïd a entretenu, à la fin des années 90, un lien étroit avec la mafia israélienne. A tel point qu’il avait « fait le projet », comme le rapporta Le Parisien en 2002, de se convertir au judaïsme afin de pouvoir s’installer discrètement dans l’Etat hébreu.
Le journaliste Frédéric Ploquin, proche des services de police et des institutions judiciaires, avait évoqué la question sur son blog hébergé par Marianne. A propos de sa disparition -début 2011- consécutive à un braquage raté qui s’est soldé par la mort d’une policière municipale, il écrivait ceci :
« On le disait en Israël, pays où il s’était adroitement replié lors d’une première cavale, prompt à porter la kippa et à apprendre l’hébreu.
Autodidacte du braquage, il avait vite appris, peaufinant son savoir technique auprès d’un ancien militaire israélien.
Et s’était rapidement hissé dans le petit cercle des braqueurs de fourgons blindés, l’aristocratie du crime organisé ».
Curieusement, cette mention truculente d’un fugitif prêt -dans le passé- à se fondre dans la population israélienne a été reprise par l’antenne anglophone de l’Agence France-Presse (et dans les médias anglo-saxons par la suite) mais demeure ignorée ce weekend par sa contrepartie francophone.
En janvier 2011, Le Parisien était plus explicite que Marianne :
Continuer la lecture de « Redoine Faïd est-il en fuite en Israël ? »
Voilà une information grave qui ne manquera pas d’inquiéter les partisans de la Fraternité Saint Pie X, alors que celle-ci est à deux doigts d’être réunie au Vatican.
L’ancien chef militaire des Serbes de Bosnie était inculpé depuis 16 ans et véritablement traqué depuis 10 ans, sur demande de l’illégitime Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie qui l’accuse de « génocide pour son rôle pendant la guerre de Bosnie » (1992-1995).
Une information à peine croyable mais pourtant bien peu relayée : suite aux graves événements de Grenoble, les effectifs de la Brigade anti-criminalité (BAC) de cette ville ont été mis au repos de force par le préfet.