Le parcours politique sinueux d’Erik Tegner, médiatique patron de « Frontières »

Retraçons brièvement le parcours politique public du médiatique Erik Tegner (nous éviterons d’aborder les aspects personnels).

Il naît en 1993 dans une famille pour partie liée à la droite nationale : son grand-père Marcel Chéreil de La Rivière était un proche de Jean-Marie Le Pen et un royaliste légitimiste de premier plan.

Erik Tegner adhère en 2011 au Front national mais, déçu par l’étatisme de Marine Le Pen, il soutient le cosmopolite antifrançais Nicolas Sarközy à l’élection présidentielle de 2012.
Il rejoint en 2014 le parti de « droite » immigrationniste et euro-mondialiste, l’Union pour un mouvement populaire (UMP), parti devenu Les Républicains (LR) l’année suivante.
En 2017, il est responsable des jeunes de DroiteLib, groupuscule libéral au sein de LR.

En août 2017, il fait publier dans le Nouvel Observateur une tribune pour dénoncer le désir d’une partie de LR de s’allier avec le FN. Morceaux significatifs :

Non seulement la droite renierait des décennies d’engagement républicain en s’alliant avec un parti dont les fondations reposent sur un socle profondément démagogue et intolérant [sic], mais surtout elle se suiciderait en choisissant cette voie mortifère et contraire aux intérêts des Français. […]
Car ne nous y trompons pas : l’ennemi est Marine Le Pen, qui rêve d’incarner l’opposition en détruisant la droite et en ne laissant aux Français que l’alternative des extrêmes [sic] face à Emmanuel Macron. […]
Parallèlement, le contrôle de l’immigration doit figurer au cœur de notre projet. Mais celle-ci ne doit pas être portée par les partisans d’une France identitaire et repliée sur elle-même [sic]. La droite doit rappeler que si elle souhaite lutter contre l’immigration clandestine et économique, c’est pour mieux intégrer et accueillir ceux qui en ont réellement besoin [sic]. […]
Nous ne voulons pas lutter par principe contre l’immigration, à la différence du Front national, mais nous voulons la contrôler. Nous ne voulons pas prôner une France catholique opposée aux musulmans, mais nous voulons lutter contre toute forme de communautarisme et garantir la laïcité, tout en assumant notre héritage judéo-chrétien [sic]. […]
Alors oui, si la droite arrive à se construire une colonne vertébrale idéologique et à ne pas tomber dans un identitarisme fou, elle parviendra à détruire le Front national et à incarner la véritable opposition, celle qui donne la parole au peuple, à tout le peuple. […]
Face au centralisme jacobin de Marine Le Pen, au nationalisme de son parti, à l’insouciance de son projet économique et à l’intolérance de son idéologie, répondons par plus de décentralisation, plus de démocratie, plus de rigueur et d’exemplarité, et enfin plus de résultats. Pour une droite fière de ses valeurs, et bien dans son siècle.

Quelques mois plus tard, il s’affiche en partisan d’une « union des droites » incluant le RN !
Qui peut savoir ce qu’il pense vraiment ?

Très ambitieux, il se porte candidat à la présidence des Jeunes Républicains en 2018, en vain.
En , il lance son propre mouvement conservateur, « Racines d’avenir », qui restera une coquille vide.
Il est exclu de LR en décembre 2019, par le secrétaire général, le gauchiste Aurélien Pradié, qui lui reproche sa proximité (réelle) avec Marion Maréchal.

En 2021, il fonde avec deux personnes la chaîne YouTube Livre noir, qui réalise des entretiens avec diverses personnalités. Mais à l’occasion de la guerre en Ukraine, l’équipe se disloque, les employés s’en vont, et Tegner (très partisan de la Russie) va chercher de l’aide (et des fonds ?) du côté de soutiens du Kremlin ; ses deux désormais ex associés déposant plainte pour « abus de bien social » à son encontre. (source)

Eric Zemmour permettra de « lancer » véritablement Livre noir en lui accordant, alors qu’il est au cœur de l’attention publique, un entretien très regardé.

Ayant acquis enfin une certaine visibilité médiatique, Tegner encourage et soutient Eric Zemmour lors de la campagne présidentielle de 2022. Avant de le poignarder, au mois de mars.

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C’était un 18 juin…

1429 : Jeanne d’Arc remporte la victoire de Patay, près d’Orléans. C’est un événement majeur de la guerre de Cent Ans.

1635 : bien que découverte par des Espagnols, la Martinique est occupée par deux Français, L’Olive et Duplessis, qui y plantent, ce jour, l’écusson du roi de France.

1815 : bataille de Waterloo, remportée par Wellington et Gerhard von Blücher.

Dans les Contemplations, Victor Hugo rapporte comment Nathan Rothschild gagna, en cette occasion, plus de trente millions de livres (averti de l’issue avant la bourse de Londres, il fit courir une rumeur de défaite et acheta à la baisse tout ce qu’il put trouver de rente) :
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« L’appel du 18 juin » ou l’histoire d’une imposture

On peut rappeler en cette date que :
– de Gaulle n’a jamais été officiellement général et a été mis à la retraite, non pas par Vichy, mais par le gouvernement du président Lebrun, au grade de colonel ;
– de Gaulle a bien entendu travaillé pour les Anglais qui souhaitaient récupérer des personnalités politiques de premier plan, mais ont dû l’utiliser faute de mieux ;
– Juridiquement de Gaulle est un déserteur, et il a été condamné pour cela ; et pendant qu’il discourt en Angleterre, des soldats français se battent encore, et meurent.
– S’il avait eu un poste au sein du gouvernement de Vichy l’histoire eut été bien différente. Mais le maréchal Pétain (qui était parrain de l’un de ses enfants) s’en méfiait.

L’appel du 18 juin qu’on entend de nos jours, le texte officiel, n’est pas l’original (que très peu ont entendu) mais c’est une version revue et corrigée qu’on apprend dans les manuels scolaires depuis 1958 : c’est tout simplement un faux. L’histoire officielle, notamment la légende gaullienne, est largement bidonnée.
A propos du Maréchal Pétain et du général de Gaulle, nous conseillons particulièrement le livre du colonel Le Pargneux, excellente synthèse pour remettre les choses à l’endroit.

Affiche « A tous les Français…» dite « Appel du 18 juin », imprimée par J. Weiner Ltd, Londres, Novembre 1940. © Musée de l’Armée/RMN-GP.

Le texte ci-dessous, de 2010, n’a rien perdu de sa valeur.

« Le 18 Juin 2010 va être célébré le 70ème anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles de Gaulle. Or la version officielle, qui va être lue à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 Philippiques contre les Mémoires gaulliens (Nouvelles Editions latines).

Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. »

Or, historiquement, Charles De Gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes :
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Laval : deux antifas rouent de coups un jeune car ils ont cru que son maillot était « d’ultra-droite »

Les antifas sont la lie de la société. Ces individus haineux qui rêvent de tuer tout ce qui est patriote doivent être mis hors d’état de nuire.

Deux hommes de 18 et 20 ans, soupçonnés d’avoir agressé un autre individu de 18 ans sur l’esplanade de la gare de Laval ce vendredi 13 juin après-midi, seront jugés le 31 octobre prochain. Ils s’en sont pris à lui parce qu’il avait « une tenue vestimentaire laissant penser qu’il était d’ultra-droite », précise le parquet de Laval à ICI Mayenne. Ils comparaitront sous la forme d’une comparution par reconnaissance préalable de culpabilité.

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C’était un 17 juin…

1689 : à Paray-le-Monial, Marguerite-Marie Alacoque, religieuse de la Visitation – jouissant depuis plusieurs années d’apparitions du Christ qui lui parle particulièrement de la dévotion à son Cœur Sacré –, a une nouvelle vision, durant laquelle Jésus-Christ lui demande :
« Fais savoir au Roi de France, l’aîné des fils de mon Sacré-Cœur, qu’il consacre sa personne, sa famille et son royaume à mon Sacré-Cœur, et qu’il fasse peindre mon Cœur sur ses étendards et armes, afin que je le protège et que je fasse triompher son règne de tous ses ennemis. »
Cette demande restera lettre morte du côté de la monarchie : un siècle plus tard, la Révolution française débute.

1734 : mort, à l’âge de 82 ans, du vainqueur de Denain, Louis-Hector duc de Villars, « maréchal général des camps et armées du roi ». L’un des plus brillants chefs militaires du règne de Louis XIV. Une biographie (préfacée par le Mal Pétain) lui a été consacrée.

1778 : sans qu’il y ait eu de déclaration de guerre, la frégate La belle poule est attaquée par les Anglais. Bataille navale le 27 juillet au large d’Ouessant entre les deux flottes. Avantage français.

1793 : allocution consistoriale de Pie VI sur la mort de Louis XVI. « Espérons que le sang innocent de Louis crie en quelque sorte et intercède afin que la France reconnaisse et déteste son obstination à accumuler sur elle tant de crimes,
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La grossière manipulation francophobe de « l’Equipe »

A l’occasion d’un article sur l’ensauvagement du monde du football, le quotidien sportif L’Equipe montre qu’il se fiche de la réalité, de la vérité : le plus important pour lui, c’est de défendre son idéologie immigrationiste, quitte à donner dans l’inversion accusatoire et stigmatiser mensongèrement les innocents, les victimes.

Une Blanche, blonde, qui s’en prend sauvagement à un pauvre arbitre maghrébin : il fallait vraiment l’oser…

C’était un… 16 juin :

1883 : le RP Vincent-de-Paul Bailly et le comte Henri de l’Epinois font paraître le premier numéro du quotidien La Croix, journal catholique (« radicalement catholique » même), antiparlementaire, qui sera farouchement antidreyfusard et antisémite.
En 1890, par exemple, La Croix s’offusquait qu’on le soupçonne d’avoir la moindre complaisance envers les Juifs et se vantait même d’être « le journal catholique le plus anti-juif de France »…

Ce titre sous perfusion financière est aujourd’hui un insipide papier gaucho-moderniste : c’est peut-être l’embarras qui le pousse désormais à en faire « des tonnes » dans l’idéologie dominante ?

 

1895 : la France regroupe ses colonies de l’Ouest africain créant une unité administrative, l’Afrique occidentale française, qui réunit, jusqu’en 1958, le Sénégal, la Mauritanie, le Soudan, la Haute-Volta, la Guinée française, le Niger, la Côte d’Ivoire et le Dahomey. Sur le même principe, en 1910, sera créée l’Afrique équatoriale française, avec le Gabon, le Moyen-Congo, l’Oubangui-Chari et le Tchad.

► conseil de lecture : Mémoires d’Empire, un formidable recueil d’articles sur la colonisation française, les guerres coloniales et la décolonisation.

 

1940 : de Londres où il est en mission, le général de Gaulle téléphone au président du Conseil français Paul Reynaud à Bordeaux pour lui faire part de la proposition la plus extraordinaire de l’histoire des relations franco-britanniques : la fusion des deux nations ! « Que la France et la Grande-Bretagne ne soient plus deux nations mais une seule union franco-britannique […] Tout citoyen français jouira immédiatement de la citoyenneté en Grande-Bretagne, tout sujet britannique deviendra un citoyen de la France. » prévoit le texte déjà signée par Churchill.
Le même jour, De Gaulle rentre en France, pour repartir finalement le lendemain, faute d’avoir obtenu ce qu’il espérait, car Reynaud dût démissionner entretemps et le Maréchal Pétain veut l’armistice pour limiter la catastrophe en cours.

1er dimanche après la Pentecôte : fête de la Très Sainte Trinité (textes et commentaire de la messe)

[en fin d’article deux belles prières :  de saint Augustin et de sainte Elisabeth de la Trinité]

« Le dogme fondamental auquel tout se ramène dans le christianisme est celui de la sainte Trinité, au nom de qui tous les chrétiens sont baptisés. » (Dom G. Lefebvre).
Une vérité mystérieuse touchant à la nature de Dieu, qu’Il nous a révélée, et que nous ne pourrons contempler et mieux pénétrer qu’au Ciel.

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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Défaillances et conséquences de la pensée de Maurice Blondel

Maurice Blondel

Sous le titre « Vers la béatification de Maurice Blondel ? », voici une intéressante notice de l’abbé Hervé Gresland, parue sur la Porte latine, à propos du philosophe Maurice Blondel – qui tenta de concilier à sa façon philosophie et théologie, et qui est goûté des catholiques modernistes :

Le 4 juin 2025, l’archevêque d’Aix et Arles, Mgr Christian Delarbre, a ouvert officiellement la cause de béatification de Maurice Blondel, en l’église Saint Jean-de-Malte à Aix-en-Provence, qui était l’église paroissiale de Blondel. Il faut donc rappeler qui était cet homme, au sujet duquel on parle maintenant de sainteté.

Maurice Blondel est né en 1861 à Dijon dans une famille catholique. Elève à l’Ecole normale supérieure, il se heurte à un milieu rationaliste et anticlérical, et ébauche une doctrine nouvelle pour proposer la foi à des incroyants. En 1893, il présente la thèse de doctorat qui devait le rendre célèbre : L’Action. Il développera sa doctrine dans d’autres ouvrages, jusque dans les années 1940. Il mourra à Aix-en-Provence en 1949, après avoir enseigné la philosophie pendant trente ans à l’université de cette ville.

La philosophie de Maurice Blondel

Exposer sa doctrine n’est pas aisé car on trouve chez lui de l’obscurité des idées et du style, et quelque flottement, voire des contradictions.

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Hier encore la France a coupé sa production d’électricité solaire pour accueillir le surplus allemand

A 12h30, du fait de l’organisation énergétique supranationale et des lamentables traités européens, la France a coupé sa production d’électricité solaire, pour accueillir encore une fois l’excédent venant d’Allemagne, afin de ne pas saturer le réseau interconnecté.

Les Allemands avec leur tout « renouvelable » ne s’en sortent pas et comme nous sommes idiots, nous en pâtissons aussi.

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On a effacé ce midi 5 GW de solaire français pour pouvoir accueillir le surplus solaire allemand à l’heure du déjeuner. Mais nous payons bien cette électricité effacée comme si elle avait été produite à 200€ du MWh. Et la PPE3 prévoit un quadruplement du solaire installé. (Nicolas Meilhan)

C’était un 14 juin…

1611: Samuel de Champlain impressionne ses alliés autochtones en franchissant les dangereux rapides de Lachine à bord d’un canoë, avec 200 Hurons et Algonquins arrivés à Mont-Royal en provenance des « pays d’en-Haut ». La 1ère guerre franco-iroquoise débute.

1751 : le pape Benoît XIV promulgue une bulle concernant la Pologne, A quo primum, qui lui vaudrait aujourd’hui de gros problèmes.
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Plus de 250 migrants campent devant la mairie du 11e : « Tant que l’État ne nous donnera pas de logements, on ne bougera pas »

Les Africains, même venus clandestinement, donc en piétinant les règles, pensent que les Français vont les loger, comme si c’était un dû.
Et ils ont raison !

Les socialo-communistes qui dirigent Paris, la ravagent, la ruine et y logent un maximum d’immigrés.
En s’emparant de logements pour les y héberger (« logements sociaux »), les autorités réduisent le marché et font grimper démesurément les prix : les Français normaux doivent déménager…

Le « Quentin » assassin de la surveillante de lycée n’est en réalité pas français – les médias ont voulu manipuler l’opinion

Quelle surprise ! (non)

La loi française interdit, sauf exception, que soient divulgués les noms et même les prénoms de mineurs mis en cause dans des affaires criminelles.
Or, comme le rappelle le texte ci-dessous, ce principe habituellement respecté scrupuleusement par les gros médias vient d’être piétiné pour le meurtrier d’une surveillante (« Quentin » a-t-on pu lire partout), comme cela avait été le cas il y a quelques mois pour une autre affaire (« Justin », un Kurde qui avait massacré gratuitement au couteau Lorène, 15 ans).

Cela a mis la puce à l’oreille des plus suspicieux d’entre nous, à raison : on vient d’apprendre par Jean Messiha que le patronyme du jeune assassin est maghrébin ! Les photos disponibles sur internet de ce jeune prometteur coïncident.
Il est probablement qu’encore une fois le meurtrier ait choisi de tuer une personne d’allure bien française.

Les politiciens et les gros médias organisent et couvrent par leurs mensonges et manipulations la submersion meurtrière de la France.

Mélanie était appréciée de tous, et mère d’un enfant de 4 ans

Sur cette histoire de prénoms, ce texte pas mal de Jean Kast vu sur BV :

« Elle s’appelait Mélanie. Mardi 10 juin, cette jeune femme est morte à Nogent, en Haute-Marne, victime d’une attaque au couteau survenue au sein du collège où elle occupait le poste d’assistante d’éducation. Elle était maman d’un petit garçon de quatre ans. Rapidement, son CV complet a été déroulé dans la presse : trentenaire dévouée, investie en tant que conseillère municipale, ancienne coiffeuse puis, depuis septembre 2024, chargée d’encadrer les élèves en dehors des temps de classe au collège Françoise-Dolto.

Sur l’assaillant, en revanche, très peu d’informations ont filtré, dans un premier temps. On a seulement su son âge, son absence de casier judiciaire et son profil « tout à fait normal ». Le suspect étant mineur, il est vrai que les médias sont tenus à une certaine retenue. Mais dès l’ouverture de son JT de 13 heures, l’audiovisuel public a brisé l’omerta et s’est permis de divulguer le prénom du jeune homme : Quentin.

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C’était un… 13 juin

-323 : à Babylone, mort à l’âge de 32 ans seulement, d’Alexandre le Grand, l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité. Élève d’Aristote et roi de Macédoine, il devint l’un des plus grands conquérants de l’histoire, prenant possession de l’immense Empire perse et s’avançant jusqu’aux rives de l’Indus. Il répandit durablement à travers une grande partie de l’Asie la culture hellénique.

Détail d’une mosaïque représentant Alexandre le Grand et son cheval Bucephale 
l’empire d’Alexandre et son partage à sa mort

1231 : mort, à 36 ans, de saint Antoine de Padoue. Né à Lisbonne dans une famille noble, ce prêtre franciscain et donc pauvre, fin théologien, prédicateur de renom et thaumaturge réputé, devint très populaire. On le trouve souvent représenté dans les églises (jeune moine tenant l’Enfant-Jésus). Il fut canonisé l’année suivant sa mort et, pour son enseignement, déclaré docteur de l’Eglise par Pie XII.
Il est particulièrement invoqué pour retrouver des objets perdus.

 

1502 : Christophe Colomb découvre la Martinique. Elle sera colonisée, à partir de 1635, par le français Pierre Beslain d’Esnambuc.

1794 : la commission temporaire des Arts arrête que « tous les tableaux et portraits représentant des individus de la race Capet seront détruits ».

• 1913 : fête de Jeanne d’Arc à Compiègne. Photographie de l’écrivain Maurice Barrès avec l’héroïne représentée :

Sur proposition de Barrès (longtemps député nationaliste), la loi du 10 juillet 1920, adoptée à l’unanimité par la Chambre des députés et le Sénat, institua la fête nationale de Jeanne d’Arc en mai, « fête du patriotisme ».

• 1925 : incarcération, à la prison de la santé, de Léon Daudet (célèbre homme politique et écrivain nationaliste et royaliste), condamné pour avoir accusé le régime de l’assassinat de son fils Philippe. Un livre est récemment sorti sur cette tragédie.

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