Forçons l’Europe à interdire les infanticides néonataux !

Capture d’écran 2014-11-21 à 18.13.01

Chaque année, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse (seuil biologique de viabilité). Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

Un député espagnol, Angel Pintado, avait donc demandé au Comité des Ministres, qui réunit les gouvernements des 47 Etats membres, de trouver un accord sur les mesures à prendre « pour garantir que des fœtus qui survivent à un avortement ne soient pas privés des soins médicaux auxquels ils ont droit (en leur qualité de personnes vivantes au moment de leur naissance) en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme ».

Incapables de se mettre d’accord alors que le consensus est nécessaire pour toute réponse, le Comité a affirmé au terme de débats longs et houleux, qu’il ne pouvait pas répondre. Certains gouvernements, dont la France, s’étaient effectivement opposé à cette proposition, craignant de remettre en cause l’avortement tardif en reconnaissant des droits à ces nouveau-nés.

Quatre ONG (le Bureau international catholique de l’enfance, l’Union mondiale des organisations féminines catholiques, la Fédération des associations familiales catholiques en Europe et le Centre européen pour le droit et la justice) ont alors demandé, le 1er novembre dernier, à M. Nils Muižnieks, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, de le rencontrer pour lui remettre un dossier exposant le sort des enfants nés vivants après un avortement.

Continuer la lecture de « Forçons l’Europe à interdire les infanticides néonataux ! »

Des scientifiques imaginent déjà des enfants à multiples parents génétiques…

Capture d’écran 2014-11-05 à 17.55.13

Le parlement britannique pourrait voter une loi « bioéthique » autorisant le « transfert de mitochondries » : il s’agirait de combiner le matériel génétique de deux femmes avec celui d’un homme pour obtenir un seul embryon. Le Royaume-Uni serait alors le premier pays à accoucher d’enfants à trois parents.

Mais pourquoi s’arrêter à trois ? Des enfants à n parents sont possibles.

Dans le dernier numéro du Journal of Medical Ethics,  leader dans le monde en matière de bioéthique, un spécialiste de bioéthique bien connu partage sa vision enthousiaste d’enfants à quatre, cinq, six, d’enfants à n parents. John Harris, de l’Université de Manchester et deux de ses collègues affirment en effet qu’il s’agit là d’une conséquence « terriblement tentante » du fait d’utiliser des cellules souches pour créer des ovules synthétiques ou du sperme, des gamètes générées in vitro (IVG). Après la découverte de cellules souches pluripotentes en 2007, n’importe quelle cellule du corps peut être théoriquement créée à partir d’une simple cellule de peau. Des souris sont déjà nées de l’alliance de sperme et d’ovules créés à partir de cellules souches.

En bioéthique, « Rien n’est entièrement sûr »
Ces scientifiques pensent qu’ils seront bientôt capables de faire la même chose avec les hommes.
– Est-ce éthique ? Bien sûr répondent-ils, puisque l’expérience sur les souris montre que c’est sans risque… Ils admettent que le risque bioéthique est bien plus grand que pour une « simple » fécondation in vitro mais poursuivent : « Si des seuils infranchissables de précaution étaient décisifs nous n’aurions pas de vaccins, pas de fécondation in vitro, ni aucune autre avancée. Rien n’est entièrement sûr ».

Argument ultime pour eux, n’importe quel enfant mis au monde vaut mieux que s’il n’avait jamais existé… (Les enfants avortés applaudissent).

Continuer la lecture de « Des scientifiques imaginent déjà des enfants à multiples parents génétiques… »

Le Grand Orient de France veut lutter contre l’« antimaçonnisme »

Capture d’écran 2014-10-26 à 21.10.21Samedi soir, le Grand Orient de France (GODF) lançait à Lille une campagne publique contre « la dangereuse résurgence de l’antimaçonnisme » qui se déclinera en conférences tenues dans huit villes françaises.

Le Grande Maître du GODF, Daniel Keller a été très clair : « l’antimaçonnisme est aujourd’hui avec l’antisémitisme et l’homophobie l’un des trois symptômes de la crise de la République » avant d’expliquer les motivations de cette campagne : « nous avons décidé de prendre l’antimaçonnisme à bras le corps, d’abord pour le démystifier et puis pour montrer en quoi il était une menace pour les fondements de la République »… Selon le troisième intervenant de cette première conférence tenue à Lille, le journaliste Jiri Pragman, « 2014 n’est certes pas 1934 ou 1940, mais il y a une résurgence de l’antimaçonnisme », venant des milieux catholiques hostiles au mariage pour tous, des évangélistes, des musulmans et plus généralement d’internet et des réseaux sociaux »

 Que veulent-ils dire ? Que l’ « antimaçonnisme » va devenir un délit, comme le sont devenus l’antisémitisme ou l’homophobie, trop souvent vus là où ils n’existent pas ? Qu’il va bientôt devenir impossible de clamer ouvertement son opposition à la Franc-maçonnerie ? Qu’une chasse va être ouverte pour protéger la franc-maçonnerie et la République ?

Continuer la lecture de « Le Grand Orient de France veut lutter contre l’« antimaçonnisme » »

Le porno : véritable peste pour une grande majorité d’adolescents

Capture d’écran 2014-10-21 à 19.11.09

La pornographie n’épargne finalement que très peu d’adolescents. C’est ce que répète inlassablement Jonathan Van Maren qui se rend dans les écoles, les universités ou simplement devant des adultes pour parler des désastres engendrés par l’industrie pornographique rendue très accessible par internet. Il livre un témoignage inquiétant sur LifeSiteNews.

Les jeunes sont exposés à une pornographie très violente, bestiale et glauque parfois même avant l’adolescence (dès 10 ans) et de façon très régulière. Et ce jeune homme insiste : le fléau n’épargne personne et surtout pas ce qui s’en pensent très loin. Il raconte ainsi avoir rencontré des parents soulagés de savoir que leur fils ne touchaient pas à cette « drogue » alors que lui savait que si, mais également une femme qui lui confiait sa joie de savoir que son mari ne regardait pas de porno avant de découvrir que si…

Les chiffres sont glaçants : 35% des garçons adolescents ont déjà vu « plus de vidéos pornographiques qu’ils ne peuvent en compter », 15% de garçons et 9% de filles ont déjà vu de la pédopornographie, 32% des garçons et 18% des filles ont déjà vu des scènes « bestiales », 39% et 23% ont déjà vu des pratiques sadomasochistes, 83% et 57% ont déjà vu des relations sexuelles à plusieurs en ligne.

Continuer la lecture de « Le porno : véritable peste pour une grande majorité d’adolescents »

Les belles victoires des « pro-vie » américains !

Les belles victoires des « pro-vie » Américains !

Voilà des chiffres qui devraient encourager tous les militants qui tentent d’enrayer la progression effrayante de la culture de mort conjuguée à l’acharnement de nos gouvernements à détruire notre civilisation millénaire. Les efforts finissent par payer, au prix d’une lutte incessante mais surtout persévérante. Alors qu’une énième manifestation est prévue dans les rues de Paris et Bordeaux dimanche prochain, certains sont tentés de ne plus y croire… Les résultats des lobbies « pro-vie » américains prouvent qu’il ne faut effectivement rien lâcher.

Tous les indicateurs culturels de nos sociétés occidentales semblent aller dans le mauvais sens : l’immigration et l’islamisation ne cessent de progresser, la consommation de drogue explose, les gens ne se marient plus, les lois iniques se multiplient et de trop nombreux enfants sont encore tués dans le sein de leur mère… Pourtant, aux Etats-Unis où les organisations opposées à l’avortement sont particulièrement actives et efficaces, les résultats sont là : le nombre d’avortements baisse de manière significative.

Ce nombre pour 1000 femmes est en effet passé de 20,9 à 16,9 entre 2001 et 2011, chiffre le plus bas depuis 1973, année durant laquelle l’avortement a été légalisé aux Etats-Unis. Plus d’un million d’enfants sont encore avortés chaque année et le combat n’est pas gagné, mais les esprits changent : dans un récent sondage mené par l’institut américain Gallop entre 2009 et 2014, six personnes interrogées sur dix se sont identifiées comme « pro-vie », un ratio qui permet donc largement d’espérer.

Continuer la lecture de « Les belles victoires des « pro-vie » américains ! »

Le livre caché aux parents par l’« Education nationale » : un contenu horrible

Nous évoquions il y a quelques jours le livre « que font les petits garçons ? », dont il était recommandé sur le site de l’Education nationale en 2006, qu’il soit tenu loin du regard des parents mais soumis en classe aux enfants de 8 ans.
Un internaute a pris en photo certaines illustrations de cet ouvrage, et il n’est pas exagéré d’y voir une inspiration proprement satanique.
Ce livre est paru en 2000. Il promeut notamment la « théorie du genre », et cela s’est fait il y a dix ans sous un gouvernement « de droite ». A part ça, il paraît que les parents qui redoutent qu’on bourre le crâne de leurs enfants de théories contre-nature sont paranoïaques…
« L’intégralité du livre se présente de la même manière : à gauche le nom d’un garçon qui est systématiquement représenté par « un clone du petit garçon version fille ». A droite, le même garçon cette fois habillé en garçon qui fait des activités complètement loufoques. Dès la première page, cela sent déjà très fort la théorie du genre. En voici quelques exemples. »

Continuer la lecture de « Le livre caché aux parents par l’« Education nationale » : un contenu horrible »

GPA : les acheteurs gardent le jumeau sain et refusent l’handicapé

Capture d’écran 2014-08-01 à 19.32.28

Une jeune Thaïlandaise de 21 ans avait accepté de devenir mère porteuse pour résoudre les problèmes financiers de sa famille, et avait conclu le marché avec un couple d’Australiens l’an passé.

Pendant la grossesse, les médecins ont découvert qu’elle attendait des jumeaux, une petite fille en bonne santé et un petit enfant souffrant du syndrôme de Down. Le couple d’Australiens, apprenant la nouvelle a demandé à la mère porteuse d’avorter, ce qu’elle a refusé, invoquant ses convictions religieuses.

Au moment de l’accouchement, les Australiens ont donc adopté le bébé en bonne santé refusant le petit handicapé et le laissant aux bons soins de sa mère et considérant sans doute la « marchandise » imparfaite, ils n’ont pas réglé entièrement leur dû. La mère attend toujours les 2341 dollars promis après l’accouchement.

Cette dernière a alors témoigné, appelant à la vigilance : « Ne pensez pas qu’il ne s’agit que d’argent, a-t-elle confié au Sydney Morning Herald. Si quelque chose tourne mal, personne ne vous aide et si le bébé est abandonné de la société, nous devons en prendre la responsabilité ».

Le « bébé-marchandise » n’est pas parfait, ils ont refusé de régler leur dû

Pour tenter d’élever et de venir en aide au petit garçon, cette jeune mère a fait appel à la générosité sur internet, et les Australiens, choqués, ont été très généreux.

Grâce à l’argent récolté, le petit garçon, âgé de six mois, a pu être hospitalisé pour une grave infection pulmonaire, en Thaïlande. Son état de santé est jugé inquiétant. Les autorités australiennes, répondant à une vague d’indignation populaire ont ouvert une enquête sur ce drame.

Une fois encore, lorsque l’idéologie s’incarne, elle devient dramatique et il en est encore pour s’offusquer des conséquences d’une cause qu’ils continuent à soutenir… Si l’enfant devient une marchandise que l’on peut vendre et acheter, les clients le traiteront comme tel : c’était évidemment un drame prévisible, comme il y en aura d’autres si l’on ne stoppe pas cette idéologie destructrice.

L’ONU oblige l’Irlande à un référendum sur l’avortement

Frances Fitzgerald

Le ministre de la Justice Irlandaise, Frances Fitzgerald, tête de la délégation du pays au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, a été entendu dans le cadre de l’examen de la conformité de l’Irlande avec certaines normes internationales.

Il a notamment été interroger « avec fermeté » sur le Protection of Life During Pregnancy Act (Acte de protection de la vie pendant la grossesse) de 2013, avant que l’Irlande ne soit accusée d’être en « violation de Droits de l’Homme » puisqu’il est interdit d’avorter en Irlande en cas de viol, d’anomalie foetale, ou de risques en termes de santé.

Le Conseil des Droits de l’Homme a également reproché au gouvernement de ne pas prendre intégralement en charge les dépenses de transport des femmes allant avorter à l’étranger.

Les Droits de l’Homme sont donc pour la puissante institution qu’est l’ONU, une négation des Droits de l’Enfant à naître, ce qui n’est pas une grande nouvelle. Mais non contente de le penser, elle l’encourage vivement par l’intimidation…

L’Irlande n’est en effet pas tenue de se plier à ces demandes, mais le gouvernement ne semble pas avoir l’intention de les ignorer, puisque la délégation a promis au Conseil un référendum constitutionnel sur la question.

 

Témoignage d’une rescapée de l’euthanasie

Juillet 2009. Angèle Lieby est hospitalisée au service des urgences du nouvel hôpital civil de Strasbourg pour une forte migraine.
Quelques heures plus tard, elle devient comme une tétraplégique, incapable de bouger, ni même de respirer.

Mais son cœur bat toujours. On l’intube.
Angèle Lieby est en fait victime du syndrome de Bickerstaff qui paralyse le système nerveux ; quatre jours après son hospitalisation, tout le monde la croit « morte ». Le médecin chef de service veut la « débrancher ».

Son mari, sa famille se battent pour la garder en vie. Les faits leur donneront raison. Plusieurs mois plus tard, son état s’améliore et Angèle retrouve peu à peu l’usage de ses membres. Elle rouvre les yeux.
Elle a raconté son « expérience » dans un livre, « pour toutes ces personnes incapables de parler, c’est le cas des personnes âgées notamment… » explique-t-elle. Son livre Une larme m’a sauvée s’est déjà vendu à plus de 200.000 exemplaires et a été traduit dans une quinzaine de langues.

Rencontre avec elle dans la video ci-dessous :

Vincent Lambert n’a pas demandé à mourir : les déclarations stupéfiantes de Maître Triomphe, son avocat

« Le Conseil d’Etat a dit qu’il [Vincent Lambert] devait mourir parce que on a prétendu que tels auraient été ses souhaits antérieurs exprimés auprès de sa femme de manière verbale ; alors que, comme je l’ai souligné, sa femme en a parlé pour la première fois au bout de cinq ans simplement pour justifier la décision du docteur Kariger et qu’elle s’est contredite de manière spectaculaire à huit mois d’intervalle sur le contenu de ces prétendus souhaits. »

Des éléments décisifs.

Viol collectif sur handicapée autorisé…

Palais de justiceLa « Justice » française a choisi de relaxer ce matin les cinq violeurs d’une jeune handicapée mentale.

Le président du tribunal de grande instance pris cette décision parce que la « conscience de l’absence de consentement de la victime » n’était pas établie…

Les cinq violeurs ont pourtant prouvé leur monstruosité. A la question de savoir pourquoi l’instigateur de ces multiples agressions sexuelles avait agit, Stéphane, 37 ans, répond : « Je ne voulais pas de cette fille, donc c’est pour ça que je leur ai refilé, pour m’en débarrasser ». 

Avec les quatre autres hommes, âgés de 31 à 48 ans, ils ont tenu un discours fixe :  lors de deux soirées, les 25 mai et 19 juin 2013, ils sont allés à Chalais chez « pépé », un septuagénaire non poursuivi dans cette affaire, pour « boire l’apéro ».

Continuer la lecture de « Viol collectif sur handicapée autorisé… »

Un tueur libéré, un innocent condamné.

BonnemaisonNon le docteur Nicolas Bonnemaison n’a pas « administré de substance de nature à entraîner la mort », non il n’a pas « écourté un calvaire », non il n’a pas « agi par compassion »
Non.
Le docteur Bonnemaison a tué.
Et pourtant, la « justice » a décidé ce matin de l’acquitter au terme d’un délibéré particulièrement rapide étant donné la gravité des actes. Cinq mois de sursis étaient réclamés, aucune peine – même de principe – contre ce docteur-tueur. Le message est clair.

Mais qui protégera désormais les plus faibles si les médecins se transforment en tueurs et que la justice applaudit ?
L’ordre des médecins avait radié cet homme après que de courageuses infirmières l’avaient dénoncé, estimant à juste titre qu’il avait enfreint l’une des règles fondamentales du serment d’Hippocrate: « Je ne provoquerais jamais la mort délibérément ».
Mais ce qu’il reste de « justice » n’en a que faire, ce médecin a voulu être dieu à la place de Dieu, et c’est tout ce qu’elle encourage…
Un médecin tue sept de ses patients sans même demander leur avis ou celui de leur entourage, l’ADMD et tous les militants de la Mort pour Tous se réjouissent… Preuve s’il en était besoin que leur arguments ne tiennent pas une seconde…
Ils se fichent des patients, ils se fichent de leur souffrance. Il veulent supprimer la souffrance, être tout-puissants pour oublier qu’ils sont limités, créés et dépendants d’un Créateur.
Le moindre de leurs désirs doit être protégé par la loi.
Les gens souffrent, la loi doit les tuer pour qu’ils n’aient plus à supporter cette faiblesse. Et ils osent parler de « compassion »…
Supprimer la souffrance, c’est supprimer la vie et non compatir, c’est-à-dire « souffrir avec »…
Leurs actes en sont la preuve. Et puisqu’ils sont d’une violence inouïe, ils déclarent tuer « par amour »… Les tenants de la culture de mort applaudissent, Bien et Mal ont encore une fois été inversés de façon spectaculaire, avec l’aval des plus « grands ».

Continuer la lecture de « Un tueur libéré, un innocent condamné. »

Vincent Lambert communique !

Le Professeur Ducrocq, professeur de neurologie, est l’un des experts qui ont examiné Vincent Lambert pour le Conseil d’Etat. Il a en particulier déclaré :
« VINCENT COMMUNIQUE. »
« L’état de Vincent ne s’est pas dégradé. »
« VINCENT A RÉCUPÉRÉ LA DÉGLUTITION. »
« Vincent a survécu à 31 jours de privation de nourriture. »
« Comment prendre une telle décision qui ne va pas mettre fin a l’acharnement thérapeutique, qui ne va pas le laisser mourir, mais qui va le faire mourir ? »

Ces propos confirment ceux de la mère de Vincent qui a déclaré que son fils a tourné la tête en la voyant.

Source Reinformation.tv

Vincent Lambert : les révélations de sa mère

Condamné à mort par le Conseil d’Etat français, Vincent Lambert vient d’obtenir un sursis de la part de la Cour européenne des droits de l’homme, le temps que celle-ci – qui a été saisie – examine le dossier…

Dans l’entretien video ci-dessous, la mère de Vincent Lambert révèle deux faits stupéfiants.
« Avant de partir pour Paris, le père et la mère de Vincent Lambert sont allés lui rendre visite et lui ont dit « Papa et Maman sont à côté de toi. » Vincent Lambert a alors TOURNE LA TETE vers eux.
Par ailleurs, dans le dossier médical, le docteur Kariger a écrit qu’il ne voulait pas que la famille soit au courant.
Une affaire très différente de la version médiatique »