Drames de la pornographie pour les actrices comme pour les consommateurs

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Lorsqu’on lui demande ce qu’elle voudrait dire aux consommateurs de films pornographiques, l’ancienne actrice porno américaine Shelley Lubben répond : « Vous participez à votre propre mise à mort. A la mort de votre famille et de votre femme. Je ne saurais vous dire combien de personnes dépendantes du porno ont perdu leurs familles et leur travail. C’est vraiment triste. Ils contribuent également au fait que des enfants soient violés. Vous voulez une bonne raison de ne pas regarder de porno ? Pensez au porno impliquant des enfants. Pensez qu’au moment où je vous parle, des petits enfants sont drogués et violés. Comment quiconque pourrait continuer à regarder du porno en sachant cela ? »

L’industrie du porno : un monde de triche, de mensonges et d’agressions pour les actrices
Son constat est sans appel : l’industrie de la pornographie n’est autre qu’un vaste réseau de trafic humain qui engendre des ravages considérables pour tous ceux qui s’en approchent.
Si les actrices persévèrent, c’est qu’elles ont besoin d’argent, que la plupart ont été violées et ne respectent plus ni leur propre personne ni leur propre corps, ou qu’elles ont été trompées et pensaient sincèrement entrer dans un monde fascinant et « sexy ».
Elle se souvient d’un monde de triche et de mensonge dans lequel la plupart des acteurs sont infectés de maladies sexuellement transmissibles sans que personne ne s’en inquiète. Les médecins ne sont pas de vrais médecins, les promesses ne sont jamais tenues et les menaces sont incessantes.
En échange d’une scène tournée, les réalisateurs promettent de l’argent, la couverture du DVD, un futur brillant… In fine, ils menacent de tout révéler aux familles, de ternir la réputation des actrices sur internet, ou même de les frapper. Un cercle vicieux dont il est terriblement difficile de s’extraire.

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Le porno : véritable peste pour une grande majorité d’adolescents

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La pornographie n’épargne finalement que très peu d’adolescents. C’est ce que répète inlassablement Jonathan Van Maren qui se rend dans les écoles, les universités ou simplement devant des adultes pour parler des désastres engendrés par l’industrie pornographique rendue très accessible par internet. Il livre un témoignage inquiétant sur LifeSiteNews.

Les jeunes sont exposés à une pornographie très violente, bestiale et glauque parfois même avant l’adolescence (dès 10 ans) et de façon très régulière. Et ce jeune homme insiste : le fléau n’épargne personne et surtout pas ce qui s’en pensent très loin. Il raconte ainsi avoir rencontré des parents soulagés de savoir que leur fils ne touchaient pas à cette « drogue » alors que lui savait que si, mais également une femme qui lui confiait sa joie de savoir que son mari ne regardait pas de porno avant de découvrir que si…

Les chiffres sont glaçants : 35% des garçons adolescents ont déjà vu « plus de vidéos pornographiques qu’ils ne peuvent en compter », 15% de garçons et 9% de filles ont déjà vu de la pédopornographie, 32% des garçons et 18% des filles ont déjà vu des scènes « bestiales », 39% et 23% ont déjà vu des pratiques sadomasochistes, 83% et 57% ont déjà vu des relations sexuelles à plusieurs en ligne.

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Islande : le gouvernement veut éradiquer la pornographie du pays

Le gouvernement islandais, à l’initiative du ministre de l’Intérieur, Ogmundur Jonasson, travaille actuellement à la réalisation d’un objectif louable, mais semé d’embûches : il projette en effet d’éradiquer la pornographie dans le pays, sur internet comme ailleurs. Première motivation : l’enfant, qu’il faut préserver à tout prix, et qu’il ne faut donc pas exposer à l’image.

Le projet a ses détracteurs : la censure du web, selon eux, encouragera d’une part les régimes totalitaires, d’autre part affectera la réputation de l’Islande, en pointe dans la liberté d’expression. Il reste, et c’est ce qu’indiquent les défenseurs du projet, que l’objectif de l’initiative en cours, en dehors de toute considération idéologique, est de protéger l’enfant. C’est ainsi qu’une conseillère politique du ministre Jonasson a expliqué qu’un enfant de 12 ans qui chercherait le mot «pornographie» sur Google n’obtiendrait pas l’image d’une femme nue étendue dans un champ à la campagne.

A vrai dire, la loi existe déjà, mais son imprécision interdit qu’elle soit mise en Å“uvre : la pornographie est ainsi interdite en Islande depuis des décennies, mais aucune définition du terme n’étant explicitée, la loi n’est jamais appliquée. Il s’agirait donc, explique le gouvernement, de donner à la loi les outils nécessaires pour être enfin appliquée : aucune restriction supplémentaire n’étant effectivement envisagée. Ainsi, d’après les critères que les experts veulent donner à la pornographie, tout matériel au contenu violent ou humiliant serait dorénavant visé par la loi.

C’est une mesure de bon sens, lequel semble avoir définitivement quitté les opposants au projet. Car la liberté d’expression, comme toute liberté en générale, à partir du moment où elle a une dimension sociale, et qu’elle peut avoir une incidence sur le bien public, doit être réglée par la loi. L’exercice de la liberté est en effet relatif à l’intérêt supérieur de la société, chaque fois qu’une activité, sortant de la sphère privée, engage le bien commun. C’est évidemment le cas des librairie et des kiosques, comme d’internet. Que l’on puisse invoquer la liberté d’expression, tel un dogme intangible, sans autres formes d’argumentation, pour s’opposer à un projet qui vise la protection morale de l’enfant, cela en dit beaucoup sur l’absence totale de responsabilité et de discernement d’une partie de la classe médiatico-politique, dont le sens commun semble totalement étouffé par l’idéologie…

La barbarie par la pornographie

Lu sur le site du journal Présent :

Interrogé récemment par La Croix sur la pornographie chez les jeunes à propos d’un livre qu’il a coécrit sur le sujet (1), le Pr. Israël Nisand lance comme un cri… silencieux ! Parce très peu audible médiatiquement pour une fois, mais aussi parce que notoirement insuffisant. A côté de mots très justes, il en sort de plus malheureux qui étouffent en quelque sorte son alerte :

« Il est stupéfiant de voir l’absence de réaction de notre société à ce sujet. La loi de 2001 relative à l’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées n’est pas appliquée. C’est désormais la pornographie qui éduque nos enfants à la sexualité. On observe chez les adolescents une sexualité de plus en plus “trash”, violente, et une consommation addictive de pornographie très précoce…

« Les garçons disent qu’ils regardent des films pornos pour savoir ce que les “meufs” aiment. Ce que la pornographie montre, c’est que lorsque les femmes disent “non”, elles veulent dire “oui”. Ces documents fixent des normes, et construisent la sexualité des jeunes autour de l’idée qu’on peut forcer les femmes, puisque finalement, elles aimeront ça. Cette situation me pousse à poser une question citoyenne : qu’en sera-t-il des rapports hommes-femmes dans l’avenir ? C’est une véritable incitation aux viols…

« On sous-estime le problème. Je suis véritablement inquiet. Ceux qui minimisent ce phénomène et qui ne font rien pour le contrer, oublient ce qu’est le développement psychique d’un enfant. Abreuver les jeunes d’images pornographiques, c’est de la barbarie. »

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« Kate Middleton : les derniers secrets et mensonges des Windsor »

On parle beaucoup, en ce moment, de la monarchie anglaise à l’occasion de l’anniversaire de la reine.
Saluons à notre manière la famille régnante en rappelant la sortie, il y a quelques mois, de ce livret décapant et accablant.

« Pornographie, cocaïne, judaïsme »… ce sont des bagages que la désormais princesse Kate Middleton apporte avec elle dans la famille royale anglaise, où elle est entrée très médiatiquement en 2011.

Le journaliste Laurent Glauzy revient dessus et fait le point dans ce sulfureux livret vendu 2 €, disponible ici.

« Droite des valeurs » ou pornocratie ?

L’essayiste Alain Soral va très prochainement sortir son nouvel essai, « Comprendre l’empire », présenté par lui comme une oeuvre majeure de la résistance antimondialiste. Par « empire », Soral désigne en effet le Système mondial oligarchique et capitaliste.
Une nouvelle qui aurait pu être bonne pour tous les opposants au Nouvel Ordre Mondial.
Mais voilà, celui qui a popularisé le concept d’union entre « gauche du travail » (anticapitalisme) et « droite des valeurs » (défense des fondements de notre civilisation) a choisi un éditeur très particulier, comme pour ses précédents essais d’ailleurs : les très mal nommées « éditions Blanche ». Celles-ci n’éditent en effet quasiment que des ouvrages et produits pornographiques, comme le confirme leur slogan « le meilleur de la littérature érotique contemporaine » et surtout leur lamentable site d’incitation à la perversion.

Pourquoi un tel choix ?
Qu’en pensent les militants d’Egalité & Réconciliation qui seront sollicités pour promouvoir et diffuser le livre de leur président ?
En tout cas, les catholiques (et les musulmans de France chers à Soral, ainsi que tous les honnêtes gens) au courant de cette grave contradiction – et faute morale - seront probablement peu nombreux à vouloir financer une société qui ne vise qu’à avilir les âmes, désaxer les esprits et détruire le peu qu’il reste de moeurs traditionnelles en France, par amour de l’argent…

« On asservit plus facilement les peuples avec la pornographie qu’avec des miradors » disait Alexandre Soljenitsyne, et la pornographie est en effet l’une des armes les plus redoutables de « l’Empire ».

Ouganda: Interdire la pornographie pour empêcher l’homosexualité

«La pornographie est néfaste et rend l’esprit réceptif à d’autres vices, comme l’homosexualité», a déclaré, le ministre ougandais de l’Ethique et de l’Intégrité, mercredi, dans la capitale Kampala. En conséquence, le Dr James Nsaba Buturo (photo) a préparé un projet de loi renforçant la législation actuelle. Projet de loi qui pourrait être déposé sur la table des parlementaires dès la semaine prochaine. Continuer la lecture de « Ouganda: Interdire la pornographie pour empêcher l’homosexualité »

Détournement des innocents

Nous signalions dans un précédent article la campagne de diffusion du « baiser de la lune », film de propagande homosexuel à destination de nos enfants scolarisés en primaire. Certains particuliers sont parfois capables d’imposer pire encore à leurs propres enfants

Le salon Eropolis, véritable antre de la pornographie, fut présenté à Bordeaux fin janvier sous couvert de « salon de l’érotisme ». Au programme, rencontre avec des « stars du X » (sic) et possibilité d’assister au tournage de films pornographiques.

Quel rapport avec l’enfance? Tout simplement le fait que certains couples s’y sont rendus avec leur progéniture, parfois âgée de trois à quatre ans…

On rappellera que les dernières études en criminologie ont établi qu’une majorité des violeurs ont visionné un film pornographique dans les heures qui ont précédé leur crime.

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