Un exorciste met en garde contre le « Charlie challenge », jeu de divination très répandu sur internet

Charlie

Depuis quelques jours, un nouveau jeu se répand comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, spécialement parmi les collégiens et lycéens. Le défi s’appelle le « Charlie challenge » et consiste à évoquer un « Charlie » qui n’a rien à voir avec le « nôtre » mais qui est un esprit d’abord invoqué au Mexique.
Les règles sont simples : il suffit d’écrire « oui » et « non » sur un morceau de papier, de croiser deux crayons sur la feuille, d’invoquer l’esprit Charlie et de lui poser des questions.
Ce dernier est supposé bouger les crayons pour donner la réponse.
Le jeu semble innocent mais les crayons bougent effectivement quand l’esprit « répond ».

Si le jeu s’est répandu sur toute la planète en peu de temps, c’est en raison de sa simplicité. Des vidéos circulent et expliquent dans toutes les langues ses règles bien particulières.
C’est la raison pour laquelle l’exorciste espagnol bien connu Jose Antonio Fortea a mis en garde les parents contre ce défi qui pose de sérieux risques spirituels, parmi lesquels la possession démoniaque. Il prévient : ce n’est pas un jeu innocent puisqu’il entraîne la pratique occulte de « l’invocation d’esprits », et que « certains de ceux qui jouent seront ensuite tourmentés par les esprits ».

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Malgré la pression, l’Ecosse rejette l’euthanasie

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Les députés écossais ont rejeté par 82 voix contre 36, hier, la proposition de loi en faveur du suicide assisté, qui a fait couler beaucoup d’encre depuis un an

On faisait pleurer dans les chaumières en soulignant que c’était une proposition du député Margo MacDonald, morte de la maladie de Parkinson… Et certains prenaient leurs désirs pour des réalités.

Ainsi peut-on lire sur la fiche Wikipedia concernant la législation sur le suicide assisté par pays : « Le parlement écossais se prépare à adopter un texte en ce sens en 2015 ». Et bien c’est raté, rien n’est jamais joué d’avance.

Lu sur le Salon Beige

USA : la vie des Noirs compte, celle des Blancs n’intéresse personne

La police de Bardstown (Kentucky, Etats-Unis) a tenu une conférence de presse pour revenir sur l’incident pendant lequel un jeune Blanc de 25 ans, John Kennedy Fenwick, a été grièvement blessé par la police. Alors que les journalistes demandaient si la police craignait la réaction de la communauté, le shérif a simplement répondu que la police était soulagée que la victime soit blanche. Cette déclaration se situe après 12’30.

« Nous ne voulons pas de troubles. Nous sommes heureux qu’il soit Blanc, et que nous n’ayons pas à nous soucier de cela » a déclaré le shérif de Nelson County, Ed Mattingly.

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Recherche : des jeunes filles payées pour avorter…

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Recherche morbide, relatée par le Dr Dickès dans Présent et relayée par le Salon Beige :

« L’ocytocine est une hormone produite par la posthypophyse. Elle sert depuis longtemps pour augmenter et régulariser les contractions durant l’accouchement. Etant un utéro-tonique, elle a pour effet de rétracter l’utérus après la naissance de l’enfant, donc éviter les saignements. Elle est utilisée quasiment systématiquement à chaque naissance. Or des chercheurs vicieux se demandent si cette action est retrouvée lors des avortements. Moyennant quoi l’Université d’Hawaï, en coordination avec celle de Washington, a décidé de recruter 166 jeunes filles de 14 ans acceptant de développer une grossesse jusqu’au deuxième trimestre. L’idée est de les faire avorter contre rétribution, afin de vérifier si l’ocytocine est capable d’empêcher les saignements dans le cadre de ce type d’interruption de grossesse.

C’est le gouvernement américain qui a décidé de diligenter et de payer une étude de cette nature. […] »

Drames de la pornographie pour les actrices comme pour les consommateurs

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Lorsqu’on lui demande ce qu’elle voudrait dire aux consommateurs de films pornographiques, l’ancienne actrice porno américaine Shelley Lubben répond : « Vous participez à votre propre mise à mort. A la mort de votre famille et de votre femme. Je ne saurais vous dire combien de personnes dépendantes du porno ont perdu leurs familles et leur travail. C’est vraiment triste. Ils contribuent également au fait que des enfants soient violés. Vous voulez une bonne raison de ne pas regarder de porno ? Pensez au porno impliquant des enfants. Pensez qu’au moment où je vous parle, des petits enfants sont drogués et violés. Comment quiconque pourrait continuer à regarder du porno en sachant cela ? »

L’industrie du porno : un monde de triche, de mensonges et d’agressions pour les actrices
Son constat est sans appel : l’industrie de la pornographie n’est autre qu’un vaste réseau de trafic humain qui engendre des ravages considérables pour tous ceux qui s’en approchent.
Si les actrices persévèrent, c’est qu’elles ont besoin d’argent, que la plupart ont été violées et ne respectent plus ni leur propre personne ni leur propre corps, ou qu’elles ont été trompées et pensaient sincèrement entrer dans un monde fascinant et « sexy ».
Elle se souvient d’un monde de triche et de mensonge dans lequel la plupart des acteurs sont infectés de maladies sexuellement transmissibles sans que personne ne s’en inquiète. Les médecins ne sont pas de vrais médecins, les promesses ne sont jamais tenues et les menaces sont incessantes.
En échange d’une scène tournée, les réalisateurs promettent de l’argent, la couverture du DVD, un futur brillant… In fine, ils menacent de tout révéler aux familles, de ternir la réputation des actrices sur internet, ou même de les frapper. Un cercle vicieux dont il est terriblement difficile de s’extraire.

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Des chercheurs chinois annoncent avoir modifié le génome d’embryons humains…

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C’est une première, et elle est inquiétante. Des chercheurs chinois ont confirmé les rumeurs selon lesquelles ils ont mené des expériences qui leur ont permis de modifier des embryons humains. Les travaux des chercheurs de l’université Sun Yat-sen, basée à Canton, en Chine, ont été publiés dans le journal en ligne Protein & Cell par Junjiu Huang et son équipe. Leurs travaux ont suscité de nombreuses critiques au vu des risques associés au « bricolage » de l’ADN humain.

Les chercheurs de Sun Yat-sen annoncent avoir utilisé des embryons « non-viables » obtenus auprès de cliniques de fertilité spécialisées dans la fécondation in vitro : ce sont donc des tout-petits d’homme qui ont été utilisés pour ces expériences. L’objectif était de modifier le gène responsable de la ß-thalassémie, une maladie du sang potentiellement mortelle, en utilisant une technique dénommée CRISPR/Cas9, dont l’utilisation sur les cellules souches adultes humaines est bien documentée et efficace.

En Chine, des chercheurs ont tenté de modifier le génome de 86 embryons humains défectueux
En l’occurrence, les 86 embryons retenus avaient été fécondés par deux spermatozoïdes et avaient donc tout une série de chromosomes en surnombre.

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Vers la première transplantation de tête ? Un défi ouvert au Créateur

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On a d’abord cru à un canular – mais non, c’est très sérieux. Un neurochirurgien italien, le Dr Sergio Canavero, espère réussir dès 2017 une opération encore inédite dans le monde animal, en s’attaquant directement à l’être humain : une transplantation de la tête. Il a déjà son cobaye : un jeune homme russe, Valery Spiridonov, qui souffre d’atrophie musculaire. Cloué dans son fauteuil, paralysé, cet homme de 29 ans veut participer à l’expérience, malgré les énormes risques qui y sont liés. Mais au-delà des risques, l’affaire révèle une mentalité de révolte contre Dieu. Tel est l’état d’esprit du neurochirurgien qui a longuement décrit son initiative – un véritable défi au Créateur – dans un entretien publié à la suite d’une conférence « TEDx » (Technology, Entertainment and Design) à Vérone au début du mois.
Sergio Canavero explique son projet à l’aide d’une… banane. L’écrasant entre ses doigts, il montre combien il est illusoire de vouloir la raccommoder alors qu’elle s’est transformée en purée. Avec une coupe nette, les choses sont très différentes.

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UK : un réseau pédophile impliquant des hommes politiques britanniques protégé pendant des décennies

Pédophilie

Nouveau scandale au Royaume-Uni : nombre de hauts fonctionnaires britanniques ont une longue histoire de protection de pédophiles, parmi lesquels des personnalités très influentes du pays. Il vient d’être mis en lumière par le Daily Beast qui dénonce une pratique qui a perduré pendant des décennies. L’histoire remonte aux années 1980, et implique selon le journal des hommes politiques, des juges, des officiers du renseignement, du personnel des palais royaux, des responsables d’écoles prestigieuses, de grosses entreprises et même certains membres de l’Eglise anglicane. Sans compter que plus de 100 documents gouvernementaux sur des réseaux pédophiles ont mystérieusement disparu…
Ce scandale s’ajoute à celui des gangs musulmans qui pratiquaient leur trafic sexuel d’enfants depuis quinze ans, protégés par le silence des autorités britanniques, lui aussi mis au jour récemment.

Des documents sur un réseau pédophile impliquant des officiels britanniques confisqué par la police
Le Daily Beast explique : le rédacteur en chef d’un journal détenait la preuve qu’un haut responsable chargé de faire appliquer la loi savait qu’il existait un réseau de pédophiles VIP à Westminster, au cœur du gouvernement britannique. Ce qui s’est passé pendant l’été 1984 explique pourquoi certaines allégations choquantes de viols et de meurtres contre certains hommes très puissants du pays n’ont pas été rendues publiques alors – et comment ce silence a été maintenu pendant des décennies.

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Avortement : suppression du délai de réflexion

Le meurtre d’un enfant à naitre est un acte médical comme les autres selon les bouchers du parlement « français ». Ainsi dans la nuit du 18 au 19 mars les députés ont voté la suppression du délai de réflexion obligatoire de 7 jours avant l’exécution. Ce délai était jugé « infantilisant » et « stigmatisant ».

Euthanasie, la mort dans l’âme

Fin de vie, soins palliatifs, euthanasie.
Depuis la demande de « droit à mourir » de Chantal Sébire en 2008, cette femme de 53 ans atteinte à l’époque d’une tumeur rare, depuis « l’affaire » Vincent Lambert, les médias parisiens, en particulier, n’ont pas cessé de monopoliser le débat afin de l’orienter vers une seule direction : mourir « dans la dignité » est un droit. Comme si cela ne tombait pas sous le sens…
Qui souhaite mourir dans « l’indignité » ?
Beaucoup de médecins estiment que les médias parisiens ont kidnappé ce sujet.

Cette enquête « Euthanasie, la mort dans l’âme », donne la parole à celles et ceux qui ne l’ont, pour ainsi dire, pas eue : médecins, infirmières. Armel Joubert des Ouches s’est rendu à Lille et dans la banlieue de Strasbourg à la rencontre des personnels d’un Centre d’unité de vie : centre où l’on accueille des personnes dans un état pauci-relationnel.

Un reportage d’Armel Joubert des Ouches pour Reinformation.tv

« 60 000 trisomiques au Maroc. Faut-il autoriser l’avortement ? »

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C’est le titre d’un article du journal marocain La Vie éco relevé par le Salon Beige qui montre bien tout le respect de la vie humaine que peuvent avoir aujourd’hui les journalistes, sans parler de leur ignorance de la trisomie… Pour expliquer la trisomie, le journaliste renvoie à un site dit « médical » avortement.comprendrechoisir.com au cas où le lecteur n’aurait pas bien compris le titre…

En France, 96% des porteurs de la trisomie 21 sont éliminés avant de naître.

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L’Ordre des médecins refuse la suppression de la clause de conscience pour l’avortement

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Il reste quelques personnes de bonne volonté et de bon sens dans ce pays, qui s’attachent à protéger la liberté dans des débats réellement importants…

Lundi, le Conseil national français de l’Ordre des médecins a annoncé qu’il s’opposait à la suppression de la clause de conscience relative à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).

Avortement : l’ordre des sages femmes demande le maintien de la clause de conscience

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La semaine dernière, la Délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale a remis un rapport d’information réclamant, entre autres demandes, la suppression de la clause de conscience pour l’IVG et l’autorisation donnée aux sages-femmes de pratiquer des IVG instrumentales (Cf. Synthèse Gènéthique du 19 février 2015).

Ce à quoi l’Ordre national des sages-femmes a répondu par communiqué de presse en date du vendredi 20 février 2015. Il rappelle que les sages femmes sont « prêtes à s’engager auprès des femmes en accompagnant leur grossesse, qu’elle qu’en soit l’issue » mais qu’« il est important de maintenir la clause de conscience spécifique à l’IVG ».

Sur la question de la suppression de la clause de conscience spécifique à l’avortement, Jean-Yves Nau rapporte les propos du Collège des gynécologues-obstétriciens français (CNGOF) : « Pour ce qui est de la clause de conscience des médecins, c’est une disposition générale qui existe dans le Code de Déontologie et le Code de Santé Publique pour l’ensemble des actes médicaux. Il n’est donc pas possible de la supprimer pour un acte particulier, quel qu’il soit. » Il se prononce également sur un autre aspect du rapport d’information de la Délégation aux droits des femmes, celui de la suppression du délai de réflexion accordé aux femmes demandant un avortement : « Le délai de réflexion, qui peut être supprimé lorsque la situation l’exige, peut constituer une dernière aide à une décision difficile. Il peut sans doute être réduit, mais sa suppression totale ou sa réduction excessive seraient contre-productives. »

Source

Comme pour tout le reste, l’IVG devait rester une exception à la règle d’ordre public…

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Il y a 40 ans, l’avortement était dépénalisé, c’est-à-dire « toléré » en cas de détresse… Le gouvernement se bat aujourd’hui pour qu’il devienne un « droit fondamental »Une résolution sur l’avortement va effectivement être débattue aujourd’hui à l’Assemblée, jour « anniversaire » des 40 ans de la dépénalisation de l’IVG. Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, signe une tribune dans Le Figarovox pour expliquer en quoi cette résolution n’est pas conforme au droit et supplier la France de ne pas « sacraliser la désacralisation » de la vie…

Il met en lumière le processus trompeur et destructeur systématiquement utilisé par la culture de mort pour triompher sur la vie… Petit à petit, habituer les consciences à l’abominable, changer les mots pour tromper les intelligences, asservir les volontés pour qu’elles en demandent toujours plus…

Voici le texte.

Les premiers mots du projet de résolution affirment que « le droit à l’avortement, souvent contesté, reste fragile ».Or, le fait de parler de l’avortement comme d’un droit montre au contraire une évolution, jamais démentie, dans le sens d’un renforcement. En 1974, il n’a jamais été question de donner un droit à l’avortement, ni de le banaliser. Il s’agissait de dépénaliser l’acte, dans certains cas, pour la femme et pour le médecin. La loi Veil de 1974 reposait sur la détresse et l’exception. Considéré comme la réponse à une situation de détresse, l’avortement ne devait être permis qu’exceptionnellement et dans des délais contraints. C’est pourquoi la loi commence par rappeler le principe garantissant « le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie », avant d’accepter la dérogation de l’avortement sur le fondement d’une détresse dont la femme n’avait d’ailleurs pas à apporter la preuve.Il s’agissait donc d’une exception à une règle d’ordre public.

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