GB : une mère porteuse regrette son « don » et témoigne : son témoignage censuré !

Capture d’écran 2015-06-02 à 13.14.04

C’est dans la presse belge que l’on peut lire le témoignage de Wendy Reid, 28 ans, qui a décidé de se livrer à une GPA pour venir en aide à un couple qui ne pouvait avoir d’enfants : la femme a dû subir une hystérectomie pour raisons médicales. Wendy devra fournir ses propres ovules. Elle a déjà une fille de 7 ans et son compagnon est d’accord.
En guise de « défraiement » – la maternité de substitution ne saurait avoir des motifs commerciaux au Royaume-Uni – elle accepte la coquette somme de 9.700 euros, aux termes d’un contrat verbal. Tout se passe comme prévu mais Wendy va découvrir qu’on l’a bernée. L’histoire de cette mère porteuse qui regrette son « don » est poignante, elle la raconte au Daily Mail – mais son témoignage est censuré. Informations interdites.

Le texte anglais de son témoignage, publié en fin de semaine dernière par le quotidien à grand tirage, a été retiré d’internet, sous la pression d’un avocat représentant les services sociaux du Royaume-Uni, moins de 24 heures après sa mise en ligne.

Wendy Reid pensait qu’être mère porteuse serait une preuve de générosité
On sait, grâce au site belge sudinfo.be, que Wendy a accepté de s’auto-inséminer de manière « artisanale » au moyen d’une seringue spéciale. Très vite, elle va tomber enceinte et sa grossesse se déroule normalement.

Continuer la lecture de « GB : une mère porteuse regrette son « don » et témoigne : son témoignage censuré ! »

Un « bébé GPA » abandonné parce que « du mauvais sexe »…

Encore une histoire atroce liée à la GPA en Australie…

Après qu’un couple a refusé un des deux jumeaux qu’il avait commandé il y a quelques mois parce qu’il était trisomique, c’est cette fois-ci parce qu’il était « du mauvais sexe » que des parents australiens ont laissé à la mère porteuse indienne l’un des deux jumeaux…

Le Juge du Tribunal fédéral a réclamé une enquête nationale sur la pratique de la GPA alors que l’enfant abandonné (dont on ignore le sexe) aurait pu être placé dans une autre famille…

Encore une histoire qui prouve que la GPA conduit aux pires atrocités, dès lors qu’un enfant est acheté et devient donc une marchandise, ses propriétaires se réservent logiquement le droit de refuser un produit qui ne répondrait pas à leurs attentes… Et ceux qui encouragent la pratique sont assez mal placés pour venir en pleurer les conséquences…

Elle vend son enfant à un sodomite pour aller à Disneyland

Les bébés sont désormais de vulgaires objets de consommation. Jetable (avec l’avortement) et pour certains, revendable. Les enfants sont considérés comme de la marchandise dont on peut tirer un profit immédiat (location d’utérus/mère porteuse), voici une histoire qui illustre parfaitement ce propos :
Bridget Wismer, une Américaine de 33 ans avait donné naissance à son troisième fils, le 31 août dernier. Mais la jeune femme a décidé de le vendre pour 15.000 dollars (NDLR: 11.000 euros) à John Gavaghan (54 ans) et son petit ami. La maman avait indiqué qu’avec cet argent, elle emmenerait ses deux grands fils à Disneyland.

Continuer la lecture de « Elle vend son enfant à un sodomite pour aller à Disneyland »

Location d’utérus : jugement important rendu ce soir

En France il est interdit d’avoir recours à la location d’utérus (mères porteuses ou encore plus politiquement correct: gestation pour autrui), des couples décident pour contourner la réglementation, de se rendre à l’étranger pour louer les services de mères porteuses. Seulement « leur » enfant à la nationalité du pays en question et la loi n’accorde pas automatiquement les papiers aux nouveau-nés. Les enfants ont alors un visa et une carte de séjour. les Menesson, parents de jumelles nées d’une mère porteuse à l’étranger, attendent le jugement de la cour de cassation pour savoir si oui ou non leurs filles peuvent s’inscrire à l’état-civil français et devenir françaises. Si c’est le cas, un premier pas sera fait vers la légalisation de la location d’utérus en France.

Caroline Mécary, avocate du vice qui avait plaidé la cause des homosexualiste du kiss in devant Notre Dame de Paris, s’occupe des Menesson. Elle répond à une interview pour TF1 :
Continuer la lecture de « Location d’utérus : jugement important rendu ce soir »