Voici une video très bien faite, qui synthétise les connaissances et les controverses autour du célèbre tissu, considéré dans la tradition de l’Eglise comme le linge mortuaire qui enveloppait le corps du Christ, et qui nous est laissé comme une preuve pour les temps d’incrédulité et de scepticisme que nous vivons.
Un petit livre a été édité par la même équipe sur ce thème (disponible ici).
NB : à propos de ce qu’est la Foi, une définition simple rappelle bien, contre les multiples erreurs modernes à ce sujet, ce qu’elle est : « La foi est l’adhésion de l’intelligence à la vérité révélée par le Verbe de Dieu. »
Mgr Carlo Maria Viganò – qui fut chef du personnel du Vatican, puis secrétaire général pour le gouvernorat du Vatican et enfin nonce apostolique à Washington – est un poids lourd de l’Eglise officielle.
Il est maintenant sur le carreau pour s’être opposé à la corruption au Vatican puis à « François » Bergoglio en dénonçant son attitude vis-à-vis du prélat prédateur homosexuel McCarrick (c’est Mgr vigano qui fit enfin « tomber » ce dernier). Il continue à user d’une grande liberté de parole.
Ce prélat très courageux tient un discours de plus en plus « traditionaliste » (à vrai dire davantage que celui de nombreux traditionalistes), évoquant le troisième secret de Fatima que les papes modernes ont caché, le concile Vatican II et le rôle de la franc-maçonnerie ainsi que du « petit troupeau » dans les temps troublés que nous vivons.
Bien que le Vendredi saint soit passé, vous pouvez encore pratiquer la puissante dévotion du Chemin de Croix, durant laquelle on médite et l’on honore la Passion de Jésus-Christ.
Voici celle qui a été faite à Saint Nicolas du Chardonnet ce Vendredi saint :
Les conférences de Carême qui y ont été données par l’abbé d’Orsanne sont excellentes et aident à bien entrer dans la spiritualité chrétienne. On peut les visionner ici.
Drôle de priorités au Vatican, en cette période tragique, surtout du point de vue de la privation des sacrements.
« Ce matin, le service de communication du Vatican a publié un mémorandum annonçant que le pape François a décidé, « lors d’une récente audience accordée à Son Eminence le Cardinal Luis Francisco Ladaria Ferrer, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi » de nommer une nouvelle « commission d’étude sur le diaconat féminin ».
La porte dont d’aucuns nous affirmaient qu’elle avait été fermée par le document post-synodal Querida Amazonía a donc bel et bien été rouverte, comme annoncé d’ailleurs puisque la mise en place de cette nouvelle commission était prévue depuis la fin du synode, avec à la clef l’idée qu’un ministère ordonné puisse exister pour les femmes. »
Une nouvelle commission a été mise en place. Parmi ses membres, signalons le Dr Anne-Marie Pelletier, bibliste parisienne.
« Cette dernière s’était distinguée s’opposant aux cardinaux qui avaient présenté des Dubia à propos de l’ouverture d’Amoris laetitia à l’accès à la communion pour certains divorcés « remariés ».
Le pape François est-il devenu sédévacantiste ? En tout cas il montre à nouveau qu’il a une conception très personnelle de la fonction de pape (déjà lors de son élection, il avait tenu à se présenter surtout comme « évêque de Rome »).
Par une décision surprise, le pape François s’est en effet départi du titre historique et essentiel de « Vicaire du Christ » de l’Annuaire pontifical 2020, l’annuaire annuel du Saint-Siège, reléguant le titre à une note de bas de page, le qualifiant de « titre historique. »
Alors que les annuaires précédents mentionnaient le titre de «Vicaire du Christ» et le nom du pape régnant sous ce titre, le répertoire annuel de cette année ne fait que mentionner le nom de «Jorge Mario Bergoglio», le nom de l’homme qui est devenu pape François en 2013.
A gauche, l’annuaire pontifical 2019, à droite, le 2020. SOURCE: Marco Tosatti
Le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a qualifié le changement de «barbarie théologique».
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.
Jésus chassant les démons
« Aux Ve et VIe siècles, ce dimanche était pour les catéchumènes un jour de « scrutin » , c’est-à-dire de réunion préparatoire au baptême, au cours de laquelle se pratiquaient les exorcismes. Si les textes que nous lisons aujourd’hui ne sont plus ceux de l’ancienne messe de scrutin, ils ne manquent pas d’un certain rapport avec les exorcismes de notre baptême où s’est ouverte notre lutte contre Satan. La Station se fait à Saint-Laurent-hors-les-Murs. Et presque tous les chants de la messe font allusion au martyr qui, par sa confiance en Dieu, triompha des Puissances du mal. Par le baptême, nous nous sommes engagés à mener un combat semblable contre le mal et à vivre en fils de lumière qui évitent de retomber sous l’emprise du démon. »
Les messes publiques ont été interdites à Rome même !
Notre époque « post-chrétienne » (c’est-à-dire apostate) a perdu tout regard surnaturel. Pour autant elle n’a jamais été aussi irrationnelle (et son personnel politique si peu apte à appréhender et servir le bien commun).
Le clergé moderniste semble avoir suivi la même pente que le monde (c’est le propre du modernisme…) : des évêques interdisent la communion dans la bouche, voire se satisfont de l’absence de messes publiques, dans l’Oise comme à Rome.
C’est différent chez les traditionalistes : on y célèbre au contraire, comme autrefois, des « messes votives pour les temps d’épidémie ».
Voici d’ailleurs l’homélie prononcée à saint Nicolas du Chardonnet (Paris) lors de cette messe, suivie d’un texte intéressant de Jeanne Smits.
« Jusqu’au 3 avril prochain – et il faut espérer que ce ne soit pas seulement une date provisoire – toutes les messes et tous les offices religieux publics ont été interdits à Rome, au cœur de la chrétienté. Les restaurants, bars et commerces restent ouverts. C’est inouï. Effroyable. Signe d’une soumission terrible de l’Eglise à l’Etat. Croient-il encore en la force de la prière ?
La grande peur du Coronavirus a ainsi obtenu ce que des siècles de persécutions, des épisodes de grande peste, d’hostilité laïciste à la religion catholique et autres catastrophes naturelles ou non, n’avaient réussi à imposer : l’impossibilité pour le laïc d’assister au sacrifice qui sauve le monde et ouvre les portes du ciel aux hommes qui obtiennent et acceptent la miséricorde de Dieu.
L’église Saint-Amé à Herlies qui a rouvert ses portes il y a seulement 2 mois après 6 années de rénovation, se retrouve avec des vitraux endommagés par des tirs (probablement du plomb). Les actes de vandalisme haineux contre les symboles chrétiens explosent, et l’apathie des pouvoirs publics à rechercher et condamner les coupables ne risque pas de décourager les candidats au sacrilège. Toute comparaison avec le sort réservé à ceux qui s’en prennent aux symboles juifs et musulmans est inutile, tant la différence de traitement médiatique, politique et juridique est importante.
Trouvé sur Sputnik : « Trois vitraux, dont un représentant Jésus-Christ ont été abîmés par des tirs dans une église de la ville d’Herlies (nord de la France), a annoncé la mairie.
Un ou plusieurs individus ont pénétré dimanche 16 février dans l’église catholique Saint-Amé de la ville d’Herlies, située à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Lille, et ont tiré sur les vitraux de la nef latérale gauche, dont celui à l’effigie du Sauveur, a déclaré la mairie sur son site Internet. Continuer la lecture de « Herlies : un vitrail du Christ détruit par des tirs »
« Selon la légende, la ligne sacrée représente le coup d’épée que l’archange asséna au diable pour le renvoyer en enfer.
Une mystérieuse ligne imaginaire unit entre eux sept monastères, de l’Irlande jusqu’en Israël. Simple coïncidence ? Ces sanctuaires sont très éloignés les uns des autres, mais parfaitement alignés. La ligne sacrée de saint Michel archange serait, selon la légende, le coup d’épée que le saint asséna sur le diable pour le renvoyer en enfer.Quoi qu’il en soit, le parfait alignement de ces sanctuaires est surprenant : les trois sites les plus importants – le Mont-Saint-Michel en France, l’abbaye Saint-Michel–de-la-Cluse et le sanctuaire du Mont-Gargan en Italie – sont équidistants. Un avertissement du saint afin que les lois de Dieu soient toujours respectées et que les fidèles restent sur le droit chemin. Par ailleurs, cette ligne sacrée s’aligne parfaitement avec le soleil levant du solstice d’été.
1. SKELLING MICHAEL
La ligne commence en Irlande, sur une île déserte, là où l’archange Michel serait apparu à saint Patrice pour l’aider à délivrer son pays du démon. C’est ici que se trouve le premier monastère, celui de Skelling Michael (« Le Rocher de l’archange Michel »).
Un point rouge sur la carte = une des 20 808 villes d’Europe dont le nom contient le mot « saint ». Les racines chrétiennes de notre continent sautent aux yeux.
La Conférence des Evêques de France est toujours aussi pitoyable…
« Mgr de Metz-Noblat, évêque de Langres, président du Conseil pour les questions canoniques de la Conférence des Evêques de France, par lettre du 13 décembre (voir documents ci-dessous), vient d’adresser aux évêques un nouveau formulaire pour les actes de baptême (voir photo). Ce nouveau formulaire est-il obligatoire ? Il est probable qu’un certain nombre de diocèses n’en tiendront aucun compte.
C’est vraiment un drôle de catholique que ce François…
François a convaincu l’ancien footballeur et actuel manager de l’équipe nationale italienne Roberto Mancini, 57 ans, de ne pas faire le signe de la Croix sur le terrain de football, a déclaré Mancini à la télévision italienne TG5 le 20 décembre.
Le suicide est en France la première cause de décès pour les 25-34 ans et la deuxième cause de décès pour les 15-24 ans. On enregistre chaque année en France par ailleurs 180 000 tentatives de suicide…
Dans la lignée de notre civilisation chrétienne désormais presque effacée, l’abbé Pagès rappelle justement que c’est une très, très mauvaise idée.
A voir et à partager, alors que dans la société moderne, les gens souffrent sans comprendre le sens de cette souffrance (ce qui peut la rendre insupportable), ni le sens de la vie d’ailleurs, alors qu’on se retrouve seuls (les solidarités naturelles et réelles étant détruites) et que non seulement l’idée de suicide n’est plus sévèrement rejetée par la pression sociale, mais qu’en plus elle est tolérée et commence même à être promue (euthanasie… bientôt pour des raisons de souffrance psychologique comme en Belgique).
La Conférence des évêques de France a reçu de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements (dirigée par le cardinal Sarah), le décret de confirmatio de « la traduction de la troisième édition typique du Missel Romain » (dans le nouveau rite promulgué dans la foulée de Vatican II).
Un travail commencé en 2002.
Il y a quelques petites modifications sur le fond. Sur la forme, le changement est important : en effet, chaque utilisation d’un mot masculin désignant hommes et femmes est désormais doublée de son équivalent féminin. Ainsi, par exemple, à chaque fois qu’on y disait « frères »,on dira désormais « frères et sœurs ».
L’épiscopat français, toujours largement de gauche, suit ainsi les exigences les plus ridicules de l’idéologie égalitariste et féministe, et bafoue violemment la langue française (où le masculin générique englobe le féminin).
En exclusivité un extrait, touchant à une importante prière :