« Pachamama », c’est ainsi que certains Indiens des Andes appellent leur déesse représentant la « terre-mère » et la fertilité, qu’ils présentent sous le forme d’une femme enceinte à genoux sur une barque.
François avait déjà participé à une cérémonie sacrilège dans les jardins du Vatican en présence de cette idole.

Il sait ce que cette statue représente, puisqu’il a parlé lui-même de Pachamama pour déplorer que des catholiques fidèles aient jeté dans le Tibre deux statuettes qui profanaient une église de Rome (en disant qu’elles n’étaient pas le signe ici d’une idolâtrie…).
En ce qui concerne la fondation des missions des évêques italiens, ce sera vraiment difficile de prétendre qu’ils n’ont pas versé dans l’idolâtrie en priant expressément l’idole païenne.

vu sur le blog de Jeanne Smits :
La prière à Pachamama de la Fondation des missions des évêques italiens
« Une prière à Pachamama, la « Terre Mère » vénérée par des tribus indigènes telles que les Aymaras et les Quechua dans les Andes mais aussi dans les plaines du nord de l’Argentine et au Brésil, près de la Bolivie et du Pérou, se trouve en bonne place dans un livret officiel de la Fondazione Missio de la Conférence des évêques d’Italie.

Macron voulait transformer la sainte messe dite par l’évêque de Paris en cérémonie laïque dirigé par… lui !
Les destructions et les incendies sont désormais monnaie courante dans les églises de France. Alors que le gotha médiatique s’affole lorsqu’une tranche de jambon est retrouvée dans une boîte à lettres de mosquée, le silence complice des autorités encourage l’outrage et la haine à l’égard des Français chrétiens.



Ci-dessous la traduction et les commentaires de Jeanne Smits sur les travaux préparatoires au synode pan-amazonien qui se déroulera à l’automne prochain à Rome. A retrouver en intégralité sur le 
Macron et sa clique se battent pour sauver la vie des monstres qui combattaient dans les rangs de l’Etat Islamique, et pour faire mourir de soif et de faim un jeune Français…
