Castaner, ancien du « milieu », nouveau Ministre de l’Intérieur : ses pires déclarations

Christophe ­Castaner, actuel ministre des Relations avec le Parlement et chef du parti présidentiel « En Marche », vient donc d’être nommé ministre de l’Intérieur.

Bien que pas très intelligent – pour rester aimable – mais sûr de lui et grande gueule, il a su se rendre incontournable pour Macron (c’est dire !) au point de se retrouver nommé place Beauvau, ce qui est une provocation.

Il a multiplié les propos idiots sur l’islamisation, sur les questions de bio-éthique, sur le catholicisme, etc.

Dans sa jeunesse, il « fréquentait » la pègre marseillaise :

« Christian Oraison, dit « le Grand Blond ». Si ce nom ne vous dit rien, sachez juste que cet homme, un caïd des Alpes-de-Haute-­Provence, a été abattu de plusieurs balles de 9 millimètres, une nuit d’août 2008, alors qu’il ­s’apprêtait à rentrer chez lui. Le « Grand Blond » avait été formé par ­Gaëtan Zampa, l’un des parrains du Marseille des années 1970. Et, fait beaucoup moins connu, c’était un proche de Christophe ­Castaner […]. « Oraison, c’était mon grand frère, mon protecteur. Il m’appelait l’étudiant », confirme le chef d’En marche, le parti présidentiel.

À Manosque, on joue au poker dans un appartement au-dessus d’un petit bar, L’Oasis. Un repère de bandits. Dans cette atmosphère enfumée où l’on s’imbibe de whisky, les parties s’éternisent jusqu’au petit matin. « Le poker était un truc réservé à un milieu interlope », se souvient Castaner, qui, à l’époque, avait quitté le foyer familial. De ces années, il conserve quelques discrètes cicatrices, et le reconnaît : « J’ai été sur le fil du rasoir. »… »  (source)

Sur l’islam et le catholicisme en France, celui qui est donc aussi ministre des cultes en a sorti de belles :

Sur les notions pourtant élémentaires et naturelles de famille et de procréation, voici ce qu’il dit :

Cela correspond assez à la définition de la Gauche comme étant un refus du réel.
Le passage en video :

« Je considère que 2 et 2 ne font pas 4 »…

Enfin, cela dit, peut-être que maintenant qu’il est ministre de l’Intérieur, il va pouvoir relancer l’enquête sur les armes à feu non déclarées trouvées au siège d’En Marche (dont il était déjà président à ce moment) – ce qui aurait valu à tout mouvement de droite nationale une bruyante et brutale dissolution :

BONUS : un beau moment de malaise avec Castaner qui essaie d’animer un meeting d’En marche :