Franc-maçonnerie : trahisons, détournements d’argent et complots entre « frères »

Il est savoureux de constater l’envers du décors de « nos architectes » de la GLNF. Certains humanistes par un courrier de leur grand maître François Stifani, du 20 octobre 2011, en prennent pour leur grade !

Lire la totalité de la lettre : ici

Extrait :

Qui veut détruire la GLNF et dans quel but ?
– L’association FRM et les blogs Myosotis créés « spontanément » en décembre 2009, en même temps que le début de la campagne de déstabilisation. Cette association qui a accusé pendant plus de 18 mois les responsables de la GLNF de détournements financiers, alors que tous les audits publiés prouvent aujourd’hui qu’il n’y a aucune malversation, ni à la GLNF ni dans aucune de ses structures associées, est présidée par un ancien Frère, exclu de la GLNF pour des graves manquements à l’éthique maconnique et par ailleurs lourdement condamné par la justice pénale française.

Merci à Miserecord

Le général pédophile est franc-maçon

Nous avions évoqué mercredi le cas du général Raymond Germanos qui a été condamné à un simple sursis et à  1 euro de dommages et intérêts à chacune des trois associations de protection de l’enfance qui s’étaient portées parties civiles pour la détention de 3.000 images pédo-pornographiques mettant en scène de très jeunes enfants âgés entre six mois (oui, 6 mois vous avez bien lu) et douze ans, victimes de graves violences sexuelles.

Nous nous posions la question : pourquoi une telle indulgence envers un tel pervers délinquant ?
Le Salon beige et NPI nous ont donné la raison : Germanos est membre de la GLNF !

Les « frères » magistrats ont été indulgents avec leur « frère » pédophile.

Ca chauffe à la GLNF

Lu sur le site du Point :
« Par Saïd Mahrane
Rien ne va plus à la Grande Loge nationale française (GLNF). Une fois de plus, la gestion du grand maître de la deuxième obédience de France (42.000 membres), François Stifani, est vivement critiquée.

Au terme d’une réunion houleuse, le 4 décembre dernier, rue de Pisan, siège de la GLNF, 24 frères ont été suspendus de la loge pour avoir dénoncé la politique de communication du grand maître, la composition d’un « shadow » cabinet comprenant plusieurs profanes ou encore l’acquisition d’un appartement estimé à 2 millions d’euros, avenue de Wagram. Ces 24 « mutins » se réunissent aujourd’hui au sein d’un collectif baptisé FMR-Myosotis, qui revendique « des milliers » de membres issus de la GLNF.

Dans un mail interne – que lepoint.fr a consulté -, ils déclinent ainsi leurs objectifs : « Mettre un terme aux dérives constatées », revenir « Ã  la régularité et à la tradition », exiger « une transparence sur les comptes de la GLNF et une explication claire de l’utilisation des cotisations, en exigeant un audit des comptes », rétablir « la discrétion et l’humilité. » En outre, le sarkozysme affiché par Stifani agace de plus en plus les partisans d’une obédience apolitique. On attend désormais la riposte de la GLNF. »