Il n’est pas coutume, sur ce site qui a à cœur de défendre la France, son histoire, sa culture, d’utiliser des termes anglais. Mais comment féliciter autrement le peuple d’outre-manche pour sa clairvoyance au sujet de l’Union européenne ?
En refusant de rester membre de cette entité mondialiste, les Britanniques viennent de donner un coup de canif au projet mortifère qui vise à faire disparaître les nations.
Nous ne sommes néanmoins pas naïfs, nous ne croyons pas en la sainte urne pour arrêter la décadence dans laquelle nous sommes plongés (sinon, elle serait tout simplement interdite, comme la « liberté d’expression » qui se limite à ce qui est admis par la loi).
Cependant, cette victoire fait quand même chaud au cœur.
Pourtant, toutes les manœuvres ont été utilisées pour que le « in » l’emporte : on a prétendu une catastrophe économique (alors que la Grande-Bretagne n’est même pas membre de l’euro), et faisant fi de toute déontologie, les mondialistes ont récupéré l’assassinat d’un député travailliste la semaine dernière par un fou.
Malgré cela, les Britanniques ont exprimé leur vœu de sortir de l’Union européenne, et nous ne pouvons que les en féliciter.
Il est intéressant de voir comment le Système va s’y prendre pour gérer cette défaite : va-t-il refaire voter les Britanniques comme il l’avait fait avec les Irlandais après que ceux-ci ont rejeté par référendum un de leurs projets ? Ou vont-ils changer par voie parlementaire les accords pour que la Grande Bretagne soit officiellement (légalement) en dehors de l’Union, mais que, dans les faits y reste : cela pourrait s’appeler partenariat privilégié, tout autre néologisme pouvant faire l’affaire afin de maquiller la magouille. Et cela ressemblera comme deux gouttes d’eau à ce qui avait été fait après que les Français et les Hollandais ont rejeté par voie référendaire, en 2005, le projet de constitution européenne et qui s’est néanmoins imposé quatre ans plus tard par le traité de Lisbonne, validé uniquement par voie législative.
L’Union européenne est, paraît-il, une démocratie et les dirigeants des pays qui la composent ne pourraient être choisis autrement que par les urnes. Ça, c’est pour la version officielle car si le résultat de ces dernières ne sied pas aux apparatchiks européens, l’Union européenne sait s’affranchir de ces « règles démocratiques » pour imposer malgré tout ses choix. Nous l’avions vu en France lors du référendum rejeté de 2005 à près de 55 % des voix, mais malgré tout imposé par le traité de Lisbonne adopté uniquement par le parlement et qui est un copié-collé de ce qui avait été repoussé.



Depuis que les Français mangent moins de bœuf parce qu’on leur a dit qu’ils consommaient trop de viande et que c’est mauvais pour le cholestérol et le cancer, ils se rabattent sur le blanc de poulet. Cela, selon la formule « je ne mange presque plus de viande, seulement du poulet » ; parce que le poulet, ce n’est pas vraiment de la viande – d’ailleurs, ce machin à deux pattes n’est pas non plus vraiment un animal, n’est-ce pas ? On tuait déjà dans le monde 35 milliards de poulets par an. Maintenant ça fera 40… Mais, du coup, nos camps de concentration à poulets ne suffisent plus et nos amis américains arrivent avec les leurs pour nous dépanner. Mauvaise surprise !



Les retraites des maîtres de l’Union peuvent toucher jusqu’à 70 % d’un dernier traitement très confortable. Les émoluments de ces « superfonctionnaires » s’élèvent, en moyenne, à 21.260 euros mensuels. Au bas de l’échelle, le greffier du Tribunal de la fonction publique touche 16.327 euros. En haut, le président de la Cour des comptes perçoit 23.405 euros et celui de la Cour de justice 26.651 euros, et cela, sans indemnités et autres suppléments familiaux (par exemple, plus de 2.000 euros par mois pour 3 enfants à charge).
L’organisation internationale et antinationale nommée « Union Européenne » va renforcer son pouvoir de surveillance, franchissant une nouvelle étape vers l’Etat européen.