L’UE nous impose les poulets américains malades, au nom du libre-échange

Depuis que les Français mangent moins de bœuf parce qu’on leur a dit qu’ils consommaient trop de viande et que c’est mauvais pour le cholestérol et le cancer, ils se rabattent sur le blanc de poulet. Cela, selon la formule « je ne mange presque plus de viande, seulement du poulet » ; parce que le poulet, ce n’est pas vraiment de la viande – d’ailleurs, ce machin à deux pattes n’est pas non plus vraiment un animal, n’est-ce pas ? On tuait déjà dans le monde 35 milliards de poulets par an. Maintenant ça fera 40… Mais, du coup, nos camps de concentration à poulets ne suffisent plus et nos amis américains arrivent avec les leurs pour nous dépanner. Mauvaise surprise !

En raison de l’insalubrité de leurs méthodes d’élevage industriel, 40 % en moyenne sont infestés de salmonellose. Pas de problème : il suffit de tremper les bestioles dans un bain chloré et le tour est joué… Sauf que le chlore est très toxique ! Du coup, vingt États de l’Union européenne n’en veulent pas. Toujours pas de problème : puisque les Américains vendent cette saloperie au regard du libre-échange (obligé) entre les États partenaires de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), Bruxelles a voté l’obligation d’importer le poulet étasunien. Donc les Français devront manger du poulet à l’eau de Javel. Ça, c’est de la démocratie !
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Les policiers n’aiment pas la nouvelle pub de Loué

«un bon poulet est un poulet libre» La nouvelle publicité des poulets Loué n’est pas du goût du syndicat Unité SGP police.

L’affiche pour les poulets de Loué représente un policier debout en uniforme avec la légende «Poulet de Loué élevé en liberté». A côté de lui, d’autres fonctionnaires de police sont entassés à l’arrière d’une camionnette avec la légende «d’autres poulets».

Dans sa lettre, le secrétaire général du premier syndicat de gardiens de la paix, Nicolas Comte, exprime «le mécontentement» de ses collègues «qui sont dénigrés d’une manière la plus vulgaire.

Le directeur général des Fermiers de Loué a assuré que l’objectif de cette campagne n’était pas d’avoir «une attitude dénigrante» mais d’interpeller les consommateurs sur la différence entre un poulet élevé en plein air et un poulet élevé en batterie.

Source (Merci à Hulk)
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