
La comédie politicienne (avec, ici, celui qui fut tout de même Premier ministre trois ans, et chef du parti politique présidentiel depuis 2021) ne connait pas de limite.
Mieux vaut en rire…
L'information alternative au quotidien

La comédie politicienne (avec, ici, celui qui fut tout de même Premier ministre trois ans, et chef du parti politique présidentiel depuis 2021) ne connait pas de limite.
Mieux vaut en rire…
• 936 : mort d’Henri Ier de Germanie, dit « l’Oiseleur », premier souverain germanique de la maison de Saxe, prétendant à l’empire à la fin de son règne. Il fut le vainqueur des Hongrois en 933, à Merseburg, et repoussa les Slaves jusqu’à l’Elbe. Il fut très admiré de Himmler qui, dit-on parfois, se croyait sa réincarnation.
• 1035 : mort de Robert Ier, dit le Diable ou le Magnifique, duc de Normandie, père de Guillaume le Conquérant.
• 1461 : Louis XI devient roi de France. Il va régner 22 ans.
• 1566 : mort de Nostradamus, astrologue français célèbre pour ses Centuries dont lesquelles beaucoup ont voulu voir des prophéties.
• 1717 : un arrêt du Conseil de Régence interdit aux princes légitimés, c’est-à-dire aux enfants naturels de Louis XIV, de succéder à la Couronne de France.
• 1751 : interdiction de la franc-maçonnerie espagnole par le décret d’Aranjuez. En France, elle était déjà bien installée dans les hautes sphères et ne suscita pas de réaction : elle ne fut pas combattue par le pouvoir politique et sa condamnation par le Pape (voir ici les rapports entre Eglise et F-M) ne se traduisit pas (gallicanisme ?).

• 1778 : mort, à Ermenonville (Oise), de l’essayiste suisse Jean-Jacques Rousseau, mauvais père (il abandonna ses cinq enfants aux « Enfants assistés » se piquant pourtant de donner des leçons en matière d’éducation dans l’Emile. Il fit, avec Voltaire, un mal terrible, dans le domaine des idées, préparant la Révolution française. On peut lire à ce sujet Le Contrat social de J.J. Rousseau de Léon de Montesquiou et, sous un angle plus large, Le Siècle des Ténèbres d’Alain Pascal.
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec leur commentaire.
« Avant de monter au Ciel, Jésus avait promis à ses apôtres, à la dernière cène, qu’il ne les laisserait pas orphelins, mais qu’il leur enverrait l’Esprit-Saint, comme un autre lui-même. L’Esprit rendrait témoignage de lui et le remplacerait auprès d’eux jusqu’à ce qu’il revienne.
Depuis plusieurs dimanches déjà l’Église nous rappelle ces promesses. Elle nous prépare à la Pentecôte en ravivant notre foi dans ce qu’est l’Esprit-Saint dans la vie de l’Église et de nos âmes chrétiennes. »
Dom G. Lefèbvre
TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres)
« Jésus est monté aux cieux. Sa divinité n’en avait jamais été absente, mais aujourd’hui son humanité y est intronisée, elle y est couronnée d’un diadème de splendeur ; et c’est là encore une nouvelle face du glorieux mystère de l’Ascension. A cette humanité sainte le triomphe ne suffisait pas ;
Continuer la lecture de « Dimanche après l’Ascension – (textes et commentaire de la messe) »
1778 :
mort de François-Marie Arouet, dit Voltaire, écrivain et « philosophe » antichrétien forcené, qui eut une influence considérable sur son temps.
On peut se procurer une solide biographie de lui par l’abbé Ulysse Maynard ici, ainsi que deux livres évoquant certains aspects peu connus du bonhomme, par Xavier Martin : Voltaire méconnu et par Marion Sigaut : Voltaire, une imposture au service des puissants.
1814 : premier traité de Paris : la France, qui déplore plusieurs centaines de milliers de morts, revient à ses frontières de 1792.
1899 : après sa tentative de coup d’État raté, les jurés du tribunal de la Seine acquittent Paul Déroulède.
Il leur avait déclaré : « si vous me condamnez, vous ne ferez que retarder l’heure du réveil, si vous me rendez ma liberté, je recommencerai. »

Ce jour est la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc.
En effet, elle mourut brûlée vive un 30 mai, sur la place du Vieux Marché à Rouen. Elle avait préalablement demandé une croix, de l’eau bénite, et invoqué Saint Michel, puis sainte Catherine, qui jadis lui étaient apparu. Elle cria à plusieurs reprises : « Jésus ! Jésus ! ».
Elle n’avait que 19 ans. Béatifiée en 1909, elle fut canonisée par Benoît XV le 9 mai 1920.
D’après les témoignages le cœur de la sainte fut l’objet d’un miracle : dans l’impossibilité de le consumer, le bourreau l’a jeté dans la Seine.
Concernant sa mort et ce fait, voici la déposition de frère Isambard de la Pierre, dominicain ayant assisté aux événements :
« A son dernier jour, Jeanne se confessa et communia. La sentence ecclésiastique fut ensuite prononcée. Ayant assisté à tout le dénouement du procès, j’ai bien et clairement vu qu’il n’y ut pas de sentence portée par le juge séculier. Celui-ci était à son siège, mais il ne formula pas de conclusion. L’attente avait été longue. A la fin du sermon, les gens du roi d’Angleterre emmenèrent Jeanne et la livrèrent au bourreau pour être brûlée. Le juge se borna à dire au bourreau, sans autre sentence : « Fais ton office ! »
Quelques statistiques relatives aux nationalités, venue d’Allemagne, et qui ne surprendront peut-être pas le lecteur.

L’Allemagne compte 39 000 citoyens japonais ; seuls deux d’entre eux étaient soupçonnés de crimes violents en 2023.
En revanche, sur 25 000 Algériens, 1 729 sont soupçonnés d’avoir commis un crime violent en 2023.

Ce jeudi les chrétiens fêtent la montée aux Cieux du Christ, 40 jours après Pâques, devant ses disciples. Les âmes qu’il a délivrées des limbes lui font escorte (cf Alleluia), elles entrent avec lui dans le céleste royaume où elles participent glorieusement à sa divinité (cf Préface).
Pendant ces quarante jours qui avaient suivi sa Résurrection, Jésus posa les fondements de son Église, à laquelle il allait bientôt envoyer l’Esprit-Saint (ce sera la Pentecôte).
TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres)
« Dans ces deux augustes basiliques [Saint-Pierre et Latran], comme dans les plus humbles églises de la chrétienté, le symbole liturgique de la fête est le Cierge pascal, que nous vîmes allumer dans la nuit de la résurrection, et qui était destiné à figurer, par sa lumière de quarante jours, la durée du séjour de notre divin Ressuscité au milieu de ceux qu’il a daigné appeler ses frères. Les regards des fidèles rassemblés s’arrêtent avec complaisance sur sa flamme scintillante, qui semble briller d’un éclat plus vif, à mesure qu’approche l’instant où elle va succomber. Bénissons notre mère la sainte Église à qui l’Esprit-Saint a inspiré l’art de nous instruire et de nous émouvoir à l’aide de tant d’ineffables symboles, et rendons gloire au Fils de Dieu qui a daigné nous dire : « Je suis la lumière du monde » (Johan. VIII, 12.).
Introït :
Hommes de Galilée, pourquoi vous étonnez-vous en regardant le ciel ? Alléluia. De la même manière que vous l’avez vu monter au ciel, il reviendra, alléluia, alléluia, alléluia. (Act. 1, 11)
Nations, frappez toutes des mains ; célébrez Dieu par des cris d’allégresse. (Ps. 46, 2)
L’Introït annonce avec éclat la grande solennité qui nous rassemble. Il est formé des paroles des Anges aux Apôtres sur le mont des Oliviers. Jésus est monté aux cieux ; Jésus en doit redescendre un jour. Continuer la lecture de « Bonne fête de l’Ascension ! (textes et commentaire de la messe) »
Le 29 mai 1453 marque la chute de la ville millénaire de Constantinople, cette autre Rome. Ce jour est aussi celui de la fin du dernier empereur romain d’Orient, Constantin XI Paléologue, cent quatre-vingt-seizième empereur romain, Occident et Orient confondus, douzième de la dynastie des Paléologue.
Mystérieux et méconnu du grand public – il n’a régné que quatre ans, une seule illustration contemporaine nous est connue (image ci-dessus) – son destin n’en est pas moins remarquable et son exemple mérite d’être connu.
L’historien grec Georges Sphrantzès reconstituera ainsi dans sa Chronique le discours éloquent que donna Constantin XI devant son armée défendant la ville assiégée depuis plus d’un mois, à la veille de l’assaut ennemi :
« Messieurs, illustres capitaines d’armée et nos compagnons d’armes les plus chrétiens : nous voyons maintenant l’heure de la bataille approcher.
Continuer la lecture de « 29 mai 1453 : mort en héros de Constantin XI Paléologue »
Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« Empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople.
Celle-ci fut accompagnée de massacres des civils, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.
Ce n’était que le début d’une longue nuit d’esclavage et de destruction culturelle.
« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, « en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues ».
« … Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions ».

Une majorité de députés (305 voix sur les 504 exprimées) a donc voté en faveur de la loi hypocritement présentée sous le nom de « loi sur la fin de vie », et qui ne propose rien d’autre que de légaliser le suicide et le meurtre, pour certains cas limités, dans un premier temps (car on sait bien que c’est un premier pas).
Le texte a des côtés flous, dans lesquels s’engouffreront les partisans de la culture de mort (si le Sénat vote le texte), avant d’exiger d’élargir le cadre de la loi, comme cela s’est passé pour les infanticides in utero (avec la loi Veil de 1975, qui était à l’époque plus restrictive que ce que l’on voit aujourd’hui).
La peine de mort pour les pires criminels a été interdite par les mêmes « progressistes », et reste toujours honnie : quelle incohérence…
Dans une société normale, lorsqu’un individu annonce son intention de mettre fin à ses jours, l’élan premier – instinctif, vital – est de l’en empêcher. On le prend dans ses bras, on l’écoute, on l’entoure. On l’emmène chez un psychologue, on lui tend des mains et des mots. Car la douleur qui pousse au suicide est souvent passagère, parfois guérissable, soluble dans le lien humain. Sans parler du sens chrétien de la souffrance (voir encadré en bas).
Sauver une vie est un devoir moral. Mais cette société apostate marche sur la tête. Comme l’écrivait Chesterton : « Otez le surnaturel, il ne reste plus que ce qui n’est pas naturel. »
Ci-dessous la « liste de la honte » des députés RN qui ont voté en faveur du texte (quelle dégringolade depuis l’époque du Front national, qui défendait clairement et vigoureusement la vie et la civilisation!) :

Mais il est vrai que leur patronne leur avait laissé le choix.
Énorme lapsus de Catherine Vautrin, le ministre qui porte ce projet de rupture civilisationnelle :
Sur l’euthanasie:
« Le premier élément, c’est le consentement de la victime … »
✅Énorme lapsus de la ministre qui porte ce projet de rupture civilisationnelle. pic.twitter.com/FycWsCEE0b— Philippe Murer (@PhilippeMurer) May 22, 2025
Après avoir déclaré que les « Français de souche ça n’existe plus », le comédien et cinéaste (lui-même demi-français, et le vivant probablement mal, comme beaucoup) revient à la charge : finalement les Français de souche peuvent exister, mais ce sont alors des « fins de race »…
Toujours pas une réaction négative sur le plateau. Mais il est vrai que les gros médias prétendent que le racisme antiblanc n’existe pas…
« On ne peut pas vivre dans une France blanche… Les Français de souche sont une fin de race. » – Mathieu #Kassovitz
Séquence lunaire et honteuse ! Les Français ne sont pas définis par une couleur de peau mais par leur appartenance à la Nation.
Séquence insupportable avec le… pic.twitter.com/4Bw2R9T6TQ
— Antho Ⓜ️ (@MAnthoParis) May 25, 2025
Imaginez que vous – Français de race si vous en êtes – alliez vous installer en Thaïlande par exemple, y fassiez fortune, et déclariez ensuite sur les médias thaïlandais que les vrais Thaïlandais, ça n’existe plus, ou que ce sont des fins de race…
Non, c’est inconcevable… Il n’y a qu’en France et peut-être dans un ou deux autres pays européen dégénéré qu’on peut entendre cela.
Le discours des remplacistes oscille ou va alterner entre deux propositions contradictoires :
1) le « grand remplacement n’existe pas, c’est un fantasme ».
2) le « grand remplacement a eu lieu, c’est fini, inutile de lutter ».
Evidemment, c’est faux dans les deux cas, et l’objectif est de démoraliser, de résigner l’ennemi à abattre : ici l’ethnie française, mais celle-ci dispose encore de quelques dizaines de millions de représentants, dont beaucoup – et de plus en plus nombreux – résistent aux sirènes du métissage tant promu par l’oligarchie économique, médiatique et politique depuis des décennies.
Nous laisserons le mot de conclusion à ce portail au festival de Cannes, un portail d’extrême-droite probablement :
INSOLITE | Mathieu Kassovitz se prend un portail. au Festival de Cannes. pic.twitter.com/XGkFGB9vCA
— SIRÈNES (@SirenesFR) May 24, 2025
► voir aussi : Carla Bruni et « le vieux sang pourri » des Français.
La chaîne de télévision américaine HBO va diffuser à partir de 2026 une série consacrée à la saga Harry Potter, parue sous forme de romans, avant d’être adaptée au cinéma dans des films eux aussi à succès.
En haut le casting original des films, en bas les acteurs prévus pour la série :

Ceux qui sont derrière (dont le producteur, un certain David Heyman) ont donc décidé que la jeune héroïne, « Hermione », serait jouée par une jeune fille marron, d’allure métisse, alors que dans les livres, elle est blanche.
Quel est l’idée?
Dans le roman (qu’au demeurant nous ne conseillons pas), Hermione est la personne la plus intelligente. Il convient donc, pour les militants remplacistes, d’infuser l’idée (vraisemblablement fausse) que les métis sont des humains supérieurs intellectuellement. Et donc que se métisser est une bonne chose, notamment pour les enfants (en réalité, c’est le contraire).
Propagande incessante, ciblant particulièrement les enfants…
Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.
Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.
Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?
Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…
L’éditorial d’Olivier Frèrejacques pour Liberté Politique attire l’attention sur le spectacle lamentable qu’offre le parlementarisme, à l’occasion de la révolution civilisationnelle que les subversifs essaient de faire passer actuellement (meurtre et suicide légaux).

Alors que la proposition de loi sur l’aide à mourir s’apprête à être votée définitivement demain à l’Assemblée nationale, un constat s’impose : moins d’un quart des députés étaient présents lors des votes des articles les plus déterminants du texte. Une réalité saisissante que révèle notre infographie, fondée sur les données officielles de l’Assemblée nationale.
Euthanasie : une loi majeure votée dans un hémicycle presque vide !
Alors que la proposition de loi sur l’aide à mourir s’apprête à être votée définitivement demain à l’Assemblée nationale, un constat s’impose : moins d’un quart des députés étaient présents lors des votes des articles les plus déterminants du texte. Une réalité saisissante que révèle notre infographie, fondée sur les données officielles de l’Assemblée nationale.
Une démocratie silencieuse sur un sujet de vie ou de mort
La moyenne de présence des députés pour les articles clés de cette loi n’atteint même pas 25 %. Pire encore, certains votes cruciaux, comme celui de l’article 9 sur les conditions d’administration de l’aide à mourir, n’ont mobilisé que 9,8 % de l’hémicycle. Autrement dit, une poignée d’élus ont pris des décisions qui pourraient bouleverser les fondements éthiques, médicaux et sociétaux de notre pays.
Voici quelques chiffres révélateurs :
• Article 2 : Définition de « l’aide à mourir » — 20,2 % de présence.
• Article 4 : Conditions d’accès au suicide assisté / euthanasie — 46,2 %, un « record » de mobilisation, mais toujours moins de la moitié.
• Article 6 : Discernement du patient, prescription létale — 22,7 %.
• Article 14 : Clause de conscience pour les soignants — 23,5 %.
Ces chiffres sont plus que des statistiques : ils posent une question de légitimité démocratique. Peut-on décemment faire basculer un cadre aussi fondamental que celui de la fin de vie avec une telle indifférence parlementaire ?Une mobilisation citoyenne indispensable
L’infographie ci-dessus illustre visuellement cette désertion massive. Elle doit circuler largement. Elle doit indigner. Car ce manque de présence ne reflète ni l’importance du sujet, ni la complexité humaine et médicale qu’il engage.
Quelles que soient nos convictions religieuses ou philosophiques, nous devrions tous exiger que ce débat soit mené avec sérieux, responsabilité et représentation. Le rôle des députés n’est pas de fuir les débats éthiques, mais de les affronter, avec rigueur et courage.Continuer la lecture de « Euthanasie : une loi majeure votée dans un hémicycle presque vide ! »