La liberté recule partout en Europe et les procédures visant les opposants à la mondialisation s’accélèrent. En Italie, Matteo Salvini va être poursuivi pour « séquestration de migrants » (sic). Etant parlementaire, la procédure était entravée puisqu’il bénéficiait d’une immunité. Cette dernière a été levée par le parlement et Salvini va donc être livré aux juges !
Loin de se coucher, Salvini fait honneur à son peuple, lançant, juste après le vote : « Je suis fier d’avoir défendu l’Italie et je le referai ». En théorie, Salvini risque jusqu’à 15 (quinze !) ans de prison. Rappelons les faits : Matteo Salvini est accusé par le tribunal de Palerme, au main de juges crypto-marxistes, de séquestration de personnes pour avoir refusé, en août 2019, en qualité de ministre de l’Intérieur, d’autoriser le débarquement de plus de 80 migrants à bord du navire Open Arms, bloqué au large de la Sicile.
Outre l’aspect scandaleux de ces procédures, celles-ci sont de véritables appels pour les migrants du monde entier qui voient que dès qu’un dirigeant s’oppose à leur venue, il a des problèmes avec la justice de son pays. On comprend pourquoi l’Italie a reçu la semaine dernière, plus de 11.000 migrants venus avec des moyens de fortune !
Sept garçons, âgés de 14 à 16 ans, auraient été traités par des volontaires médicaux après avoir été victimes d’agressions sexuelles au cours des six derniers mois dans la Jungle à Calais, rapporte le quotidien britannique The Daily Mail.


L’ancienne église Saint-Marc, dans le quartier de Villejean, à Rennes, est