Suwalki (Pologne) : des réfugiées ukrainiennes ont pris l’initiative de nettoyer les parcs de la ville afin de remercier les habitants pour leur hospitalité

Des dizaines de femmes ukrainiennes qui ont fui vers Suwałki (Pologne) ont nettoyé les deux plus grands parcs de la ville. Leurs enfants les ont courageusement aidés. De cette façon, les réfugiés ont voulu remercier les habitants pour leur hospitalité et l’aide qu’ils ont reçus. (source)

Encore une fois, toute comparaison avec…
Bref, vous avez compris.

via FDS

Maksym Kagal, ancien champion du monde de kickboxing, est mort dans les combats à Marioupol

La ville de Marioupol, sur la côte de la mer d’Azov, est un enjeu stratégique majeur dans la guerre russo-ukrainienne en cours.
Dernier bastion ukrainien entre la Crimée et les zones du Donbass sous contrôle (pro)russe, la ville semble désormais constituer le principal objectif du Kremlin, la prise d’autres grandes cités (au premier rang desquelles Kiev et Kharkiv) s’étant révélée impossible.
Marioupol est encerclée et assiégée depuis des semaines, privée d’eau, de nourriture, d’électricité, de gaz et de médicaments. Bombardée massivement et incessamment, elle est détruite à 80% dit-on, mais est toujours défendue pied à pied par quelques milliers d’hommes qui refusent de partir malgré l’autorisation donnée par le président ukrainien et se retrouvent acculés au fil des semaines. Une partie de ces hommes qui affrontent Russes et Tchétchènes appartient au régiment Azov, initialement bataillon de volontaires nationalistes radicaux.

Maksym Kagal, arborant un drapeau et un maillot portant des emblèmes du régiment Azov

« Maksym Kagal a rejoint la liste des sportifs et anciens sportifs morts au combat dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie. Âgé de 30 ans, cet ancien champion du monde de kickboxing avait pris les armes pour défendre son pays à Marioupol, dans le sud-est du pays. 5000 personnes auraient trouvé la mort depuis le début des combats dans cette ville, a affirmé lundi une conseillère de la présidence ukrainienne, chargée des couloirs humanitaires. Il a trouvé la mort vendredi, a révélé son entraîneur Oleg Skirta, alors qu’il servait sous les armes du régiment Azov, une milice controversée d’extrême droite. » (source le Figaro)

Immigration et haine des hôtes en Norvège : des images parlantes (video)

Sans connaître le contexte de cette video, où l’on voit une foule d’immigrés (femmes et enfants inclus) s’en prenant à un indigène, nous trouvons toutefois qu’elle illustre assez bien « l’enrichissement culturel » qu’osent invoquer les cosmopolites, et ceux qui attend l’Europe occidentale.

En 12 jours, 167 000 Ukrainiens domiciliés à l’étranger sont retournés en Ukraine pour défendre leur patrie

Ces dernières années, l’Europe occidentale a été envahie de prétendus réfugiés venant d’Afrique et d’Orient.
Bizarrement, il s’agissait essentiellement d’hommes, plutôt jeunes.

Avec l’Ukraine, c’est l’inverse : les réfugiés sont surtout des femmes et des enfants. Quant aux hommes :

Le Service national des gardes-frontières ukrainiens communiquait le 8 mars :

« Les hommes ukrainiens continuent de venir de l’étranger pour défendre la patrie.
 Au total, 167 000 de nos compatriotes sont retournés en Ukraine pendant les 12 jours de guerre dans les parties occidentales de la frontière, dont environ 80 % étaient des hommes. »

Source FDS

La guerre en Ukraine créé une division supplémentaire dans le monde « orthodoxe »

Le patriarche de Moscou, Cyrille, avec son ami Vladimir Poutine.

Note préalable : nous utilisons par commodité le nom d’« orthodoxes » que les chrétiens orientaux ayant suivi le schisme grec (« Grand schisme d’Orient », 1054) se donnent pour se distinguer des catholiques (qui sont en réalité « orthodoxes »… sauf pour les modernistes). Aïe, ça commence déjà à être un peu compliqué, mais le pire est à venir.

La situation ukrainienne n’est pas simple, notamment sur le plan religieux, mais essayons d’y voir un peu clair, car des événements importants s’y passent aussi. Si vous connaissez déjà un peu la situation, allez directement après le texte en bleu.

Rappelons que le monde orthodoxe se divise en quatre « patriarcats » et 14 (ou 16 selon les points de vue) Eglises autocéphales (c’est-à-dire indépendantes, bien que se plaçant dans l’obédience d’un patriarcat ou l’autre, et liées à une communauté nationale). Les deux principaux patriarcats sont ceux de Moscou et de Constantinople (ce dernier ne comptant pas beaucoup de fidèles comparativement aux autres, mais jouissant d’une primauté d’honneur).

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L’ancien président iranien Ahmadinejad soutient l’Ukraine et son président

Traduction :

« La grande nation de Ukraine
Président
Zelensky
Votre résistance honorable et presque inégalée a révélé les complots sataniques des ennemis de l’humanité. Croyez que la grande nation de
Iran se tient à vos côtés, tout en admirant cette persévérance héroïque. »

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Le président tchétchène Kadyrov et ses chaussures à semelles compensées de chez Prada

Il a gagné sa place dans notre rubrique « mode » (pas féminine mais presque), avec ces étranges chaussures lors de la cérémonie de départ de ses troupes tchétchènes vers l’Ukraine :

Des bottes à plateforme de 6 cm d’épaisseur de chez Prada, à 1 500 dollars ! Tout cela pour paraître moins petit.
Ca fait penser à Sarközy. En moins discret.

Des milliers de Tchetchenes vont envahir l’Ukraine, au service de Poutine

Le président islamiste tchétchène Ramzan Kadyrov, vassal de Moscou, a prononcé un discours devant 10 000 soldats qui seront envoyés en Ukraine pour combattre et tacher de terroriser les Ukrainiens qui résistent.

Les soldats ont scandé le chant jihadiste Ayuha al-Tarikh, avant de partir.

Un certain nombre de combattants de Kadyrov sont déjà arrivés et se battent sur place.

A propos de l’Ukraine et de l’OTAN : ce n’était pas inéluctable

Si les pays baltes et dans une moindre mesure l’Ukraine cherchent protection auprès de l’OTAN, c’est parce qu’ils ont peur de la Russie de Poutine. Ont-ils vraiment tort de la redouter ?…
Après avoir rappelé que Vladimir considérait que la dislocation de l’URSS était la « plus grande catastrophe géopolitique du siècle dernier », nous relayons ci-dessous un point de vue qui nous semble intéressant, loin du prêt-à-penser « dissident » (oxymore) :
« Beaucoup de commentateurs s’érigeant en géopoliticiens, voire historiens confirmés, derrière leurs claviers, s’obstinent à ne pas voir que la guerre non déclarée déclenchée par la Russie contre l’Ukraine et son intégrité territoriale en 2014, violant allègrement les dispositions du Mémorandum de Budapest de 1994 et du traité d’amitié de 1997, a redonné une certaine impulsion à une alliance atlantique en état de somnolence avancée, avec des pays qui avaient raboté radicalement leurs effectifs et budgets militaires.
Il n’était écrit nulle part que le pays allait faire le forcing pour demander son adhésion à l’OTAN après l’insurrection du Maïdan de 2013-2014, pour qui est familier des réalités politiques locales, pas plus que cela avait été le cas après la « révolution Orange » de 2004.

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La Russie de Poutine attaque l’Ukraine

Хозяин Кремля начал убивать украинцев
Tragiques événement en cours à l’Est : Vladimir Poutine a lancé une attaque d’envergure sur l’Ukraine dans la nuit de mercredi à jeudi, à coups de bombes aériennes et de missiles, et essaye d’envahir ce pays voisin, ce pays européen (détails et nouvelles ici).
Pourtant, trois jours avant, le porte-parole du Kremlin déclarait sur la chaîne Rossiya 1 :
« Nous insistons, nous appelons à la raison. Nous vous invitons à vous poser la question suivante: quel est l’intérêt pour la Russie d’attaquer qui que ce soit? »
« Nous devons rappeler que tout au long de son histoire, la Russie n’a jamais attaqué personne ».
« La Russie, qui a connu tant de guerres, est le dernier pays d’Europe à vouloir même parler, à prononcer le moindre mot de « guerre » ».
Une grande partie de la droite radicale française – aveuglée par une admiration sans borne pour le maître du Kremlin – taxait de propagande américaine les mises en garde sur une telle invasion ; c’était pourtant exact.
Au prétexte bidon que l’Etat ukrainien mènerait un « génocide » dans ses provinces rebellées (avec l’aide de Moscou) de Lougansk et Donetsk, Poutine entend probablement annexer l’est de l’Ukraine, après avoir pris la Crimée. Il affirmait aussi officiellement, à l’aube :
« Nous nous efforcerons d’arriver à une démilitarisation et une dénazification de l’Ukraine »
Evidemment, les politiciens ukrainiens au pouvoir n’ont rien de « nazis », ni d’extrême-droite.
Il est vrai que de nombreux jeunes patriotes ukrainiens, de droite nationaliste (donc la jeune élite de cette nation), ont formé des bataillons de volontaires pour défendre l’intégrité de leur territoire, avec parfois une efficacité remarquée, alors que l’armée ukrainienne était peu opérationnelle après 2014.
Mais en les diabolisant (et même, au-delà, le gouvernement ukrainien que contestent ces mêmes nationalistes) Poutine enfile à nouveau son costume de premier « antifa » d’Europe, et se place dans une rhétorique et une méthode qui évoqueront Staline auprès de certains.
Il faut bien dire qu’il porte une lourde responsabilité dans l’effusion du sang d’Européens, dans une guerre inutile.
Certains en France le présentent comme un fin stratège, mais même s’il atteignait ses objectifs en Ukraine, il risque de payer très cher cette guerre : économiquement, géopolitiquement, politiquement…
Et il va pousser davantage vers les structures politiques et militaires occidentales les pays limitrophes, qui, redoutant la Russie, s’étaient déjà tournées vers elles, en quête d’une protection. La possibilité d’une grande zone géopolitique amicale autour de la Russie semble avoir pris du plomb dans l’aile, alors que ce pays au vaste potentiel est lui-même menacé (avec en particulier l’extinction démographique rapide de sa population ethniquement russe, et sa fragilité économique qui en fait une proie pour la Chine).

Au Canada, les banques appelées à geler les comptes de ceux qui aident aux blocages anti-ségrégation

Le Canada est dans une situation légèrement plus avancée que celle de la France. Bien sûr, nous utilisons le mot avancée comme on parle du degré de pourrissement d’un fruit ou d’aggravation d’une maladie.

Aussi, on peut supposer que, si la France ne renoue pas avec un Etat digne de ce nom, elle suivra la voie ignominieuse qu’augure outre-Atlantique le sinistre Trudeau, le Macron local.

« Le gouvernement canadien veut en finir avec le « Convoi des libertés ». Après avoir dégagé de force les manifestants hostiles aux mesures sanitaires qui bloquaient le pont Ambassador , un des principaux axes de circulation entre le Canada et les Etats-Unis, le Premier ministre Justin Trudeau annonce ce lundi le recours à la « loi sur les mesures d’urgences » (Emergencies Act). Celle-ci autorise à titre temporaire le gouvernement fédéral à passer outre les provinces pour prendre des mesures extraordinaires de sécurité en situation de crise nationale, partout dans le pays. » (source)

« Après deux semaines de blocages au Canada, l’Etat fédéral menace les propriétaires de camions d’un gel de leurs comptes bancaires, et d’une suspension de l’assurance de leurs véhicules. En vertu d’une loi d’urgence de 1988, les banques devront revoir leurs relations avec les clients impliqués dans le financement de ces blocages. Les plateformes de crowdfunding sont elles aussi dans le viseur, avec un élargissement des règles anti-blanchiment. » (source)

Jeux Olympiques : les athlètes savourent le bien-vivre du paradis communiste

Voilà où le régime communiste qui asservit la Chine depuis des décennies a placé cette piste de ski pour les Jeux olympiques en cours :

Vue plus loin :

Le Régime n’a rien de beau à proposer.

Pour la nourriture, les athlètes étrangers ne sont pas moins surpris :

Une athlète russe explique qu’elle a le même repas (sans légume), matin, midi et soir depuis déjà cinq jours.