« Les Rroms, un casse-tête millénaire »

Article paru sur Polémia :

« Que faire des Roms, ou plutôt Rroms (1), et pour les Rroms ? A peine le gouvernement avait-il annoncé le 23 août un assouplissement des règles en matière d’emploi pour les 15.000 Tziganes officiellement recensés en France afin de hâter leur insertion que l’on apprenait le lendemain par des statistiques policières – confirmées par le ministère de l’Intérieur – que cette communauté faisait preuve d’autant d’inventivité que de productivité, mais dans un domaine fort embarrassant : celui des crimes et délits en tout genre.
C.L.

Les belles âmes qui, avant l’élection présidentielle, manifestaient aux côtés de Tziganes menacés d’expulsion sous le slogan – passablement ésotérique pour le citoyen lambda – de « Nous sommes tous un terrain vague » ignoraient sans doute que le problème ne se poserait pas en Europe sans… l’intolérance islamiste !

A l’origine, la fatwa du sultan Mahmoud

C’est en effet le sultan Mahmoud de Ghaznî (971-1030), Turc dont le clan était de fraîche date converti au sunnisme, qui les expulsa manu militari du Sind, province de l’actuel Pakistan (2).
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L’escroc Einstein, qui a pillé Poincaré

Nous évoquions récemment le centenaire de la mort d’Henri Poincaré, savant universel et l’un des derniers génies français, et le fait qu’Albert Einstein l’ait pillé.
Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch consacrée à cette question en 1991, avec un spécialiste.

Il y a soixante ans : mort d’Evita Peron

à l’âge de 33 ans.

D’origine modeste, elle était devenue l’idole des descamisados argentins, c’est-à-dire des pauvres.
Sa dernière apparition en public, en fauteuil roulant, devant une foule immense et chavirée, provoqua un raz-de-marée péroniste (66% des suffrages le 11 novembre 1951). Plus de 3 millions d’Argentins passèrent devant son corps embaumé (défilé de 3 jours entiers) et plus de 2 millions de personnes assistèrent à ses funérailles.

Jean-Claude Rolinat lui a récemment consacré un ouvrage biographique, disponible ici.

Pieter Kierstens nous communique en cette occasion :

« Le 26 juillet 1952, disparaissait la madone de los descamisados (les sans- chemises), victime de la leucémie, après de longs mois de souffrances et plusieurs interventions chirurgicales. Et pour nombre d’Argentins, même après des décennies, Eva DUARTE-PERON reste une icône.

Celle qui deviendra la seconde femme du Général Juan Domingo PERON est née le 7 mai 1919 à Los Toldos en Argentine.
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« Inquisitio » : France 2 diffuse une nouvelle m[…] antichrétienne et pro-juive

payée avec les sous du contribuable bien sûr et basée sur la falsification de l’histoire.
Pourtant, « la Révolution française a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe »…

Yves Darchicourt nous rapporte :

« Fidèle à ses engagements idéologiques, France 2 va projeter les huit épisodes de sa « série de l’été » qui, sous couvert des péripéties d’un « thriller moyenâgeux », semble surtout destinée à enfoncer le clou de la cathophobie dans les esprits : une finalité qui transparait dès les deux premiers épisodes avec l’arrivée des personnages principaux. Sur fond de grand schisme d’Occident et de peste noire, en Pays d’oc, vers la fin du XIVe siècle apparaissent ainsi :

● un méchant : le grand inquisiteur qui enfant regarde vicieusement sa mère se laver, veut par jalousie laisser se noyer son jeune frère et qui pour expier sa faute se crève un oeil; il apparaîta désormais avec un bandeau de borgne (comme il va sévir à Carpentras contre des juifs, suivez mon regard) ; quand même intelligent et cultivé, c’est un religieux chrétien fanatique, hanté par le Démon, tortionnaire et haineux ;

● un gentil : le jeune, beau et sémillant médecin juif de Carpentras, féru de son art, à la pointe des connaissances de l’époque, humaniste, bravant les interdits pour s’adonner à la recherche pour le bien commun, dévoué à ses malades et à sa malheureuse communauté qui vit dans la hantise de la spolitation, du bannissement et du bûcher ;

● une belle : la rousse flamboyante à la réputation de sorcière mais dont le nom chrétien cache en fait celui d’une juive aux connaissances de guérisseuse irremplaçables ;

● des faire-valoir : le pape d’Avignon (ambitieux, guerrier, cynique, spoliateur des juifs et que l’on voit surtout se baigner entouré de beautés dénudées), quelques cardinaux (surtout attachés à leur prébende), l’évèque de Carpentras (veule et concupiscent), le seigneur de Carpentras (brutal, injuste, blasphémateur, cruel), une nonne mystique attachée au pape de Rome (fausse miraculée, prétendue sainte femme acoquinée avec des brutes chargées de faire régner le chaos en Avignon en tuant des religieux et en répandant la peste).
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Un règlement d’école de 1851

En cliquant sur l’image ci-contre, vous découvrirez le règlement d’une école publique pour garçons des Hautes-Alpes en 1851.

Le moins que l’on puisse dire est que cela dénote avec notre époque, même si l’on peut déjà y déceler une touche étatiste.

L’instruction et l’éducation sont au cœur du combat de civilisation qui se déroule.

Les mystères de la cathédrale de Chartres

Cathédrale la plus célèbre de France, Chartres possède-t-elle encore des mystères, ou bien dévoile-t-elle sous nos yeux des secrets que nous ne savons plus lire?
Gilles Fresson, professeur d’histoire détaché de l’éducation nationale, est coordinateur laïc à la cathédrale. Il nous conduit de la crypte aux clochers, parmi les 7500 statues de pierre et de verre, racontant avec ferveur l’histoire de l’édifice et en désigne des détails remarquables.

Gilles Fresson débute sa visite sous terre, pour une rencontre.

C’est dans la crypte de cette cathédrale insigne qu’est honorée Notre-Dame-de-sous-terre, dont l’histoire merveilleuse remonterait au temps des Druides, et dont l’image était dédiée à la Vierge qui devait enfanter : Virgini pariturae.
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Le « Jésus » de Jean-Christian Petitfils : attention, une saleté!

[27/06/12 : étant donné que ce livre et son auteur jouissent encore d’une certaine publicité (vente chez Chiré, dédicace à la fête du livre de Radio Courtoisie dimanche dernier), nous remettons à l’honneur l’article ci-dessous, paru il y a quelques mois.]

En ce dimanche, évoquons un livre qui fait pas mal parler de lui : Jésus (honteusement sous-titré le Jésus de l’Histoire) de l’historien (de droite) Jean-Christian Petitfils.

L’abbé Puga (de saint Nicolas du Chardonnet) en fait une intéressante critique :

« Spécialiste de l’histoire française des XVIIe et XVIIIe siècles, auteur de nombreux ouvrages appréciés à juste titre sur cette période, il tente dans son nouveau travail une aventure d’historien à la recherche des données historiques sur la vie du Christ. Avant lecture on aurait pu s’attendre à une étude fouillée (le livre comporte plus de 650 pages !) de l’historicité des documents évangéliques, de leur crédibilité et à partir de là découvrir l’élaboration d’une vie de Jésus fondée sur des faits indubitables en montrant par exemple leur corrélation et leur conformité avec les données de l’histoire de l’Antiquité.

Un postulat regrettable
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C’est comme ça que ça marche

Après la trahison de De Gaulle, 20 000 familles de Harkis (musulmans pro-français) sont mises à l’abri des massacres du FLN par des officiers français, contre la volonté de leur hiérarchie.
Ces familles sont parquées dans des camps, dans des conditions indignes.

« En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des Arbres, dans le département du Gard.
Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. »

L’un d’entre eux se confie aujourd’hui à visage découvert, et nous a fait savoir l’existence de ce documentaire :

« J’ai l’impression de regarder toute une nation dresser son propre bûcher funéraire »

Voici l’extrait d’un reportage diffusé par la BBC et relayé par Fdesouche sur Enoch Powell. Ce conservateur britannique fut le premier homme politique anglais à se dresser contre la politique d’immigration massive. Il prononça un discours poignant qui mis fin à sa carrière.

Voir la suite du reportage…

Mort de Robert Galley : un héros au passé douteux

Ci-dessous l’article que nous fait parvenir un lecteur, sur des événements liés à la 2e DB. Nous le passons, toujours dans un souci de recherche de la vérité, entre autre historique.

« On vient d’apprendre ce week-end la mort de Robert GALLEY, compagnon de la Libération et ancien ministre gaulliste. La presse de ces derniers jours se répand en éloges sur « ce grand homme ».

Mais elle omet de se poser une question cruciale : Robert GALLEY fut-il un criminel de guerre ? La question doit absolument être posée.
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Rwanda : réflexions sur l’attentat du 6 avril 1994 qui coûta la vie au président Habyarimana

Mise au point de Bernard Lugan sur un sujet qui est toujours d’actualité :

« Dimanche 27 mai, Madame Laure de Vulpian a produit sur France Inter une émission consacrée à l’attentat du 6 avril 1994 qui coûta la vie au président Habyarimana du Rwanda. Dans « Sur la piste de la vérité », elle donna la parole à des partisans déclarés ou camouflés de l’actuel régime rwandais qui cherchèrent à faire passer deux idées principales :
1) La France est coupable et l’enquête du juge Bruguière n’est pas sérieuse.
2) L’attentat fut commis par un groupe non identifié au sein de l’armée hutu.
Face à ces affirmations, quel est l’état scientifique de la question ? Depuis l’assassinat du président Habyarimana, deux thèses s’opposent :
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Exposition « Reims capitale mérovingienne »

« A l’occasion du 1500e anniversaire de l’implantation à Reims d’une dynastie mérovingienne (512-2012), le Musée Saint Remi propose un voyage au VIe siècle. Evocation de la vie quotidienne dans la région Champagne-Ardenne, cette exposition s’articule autour de trois tombes et de leurs trésors, découverts en 2002 à Saint-Dizier. »

Détails ici.