IVe dimanche après la Pentecôte (textes et commentaire de la messe)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec leur commentaire.

La Pêche miraculeuse d’après Raphaël (1515).

La confiance en Dieu au milieu des luttes et des souffrances de cette vie, est la pensée qui domine toute la liturgie de ce jour. Elle ressort de la lecture de l’histoire de David dans le Bréviaire ainsi que d’un épisode de la vie de saint Pierre dont la fête est proche, car ce sont ces deux éléments très divers qui ont inspiré le choix des différentes pièces de la messe. […]
Dans la barque de Pierre que secouent les flots agités et les tempêtes de ce monde, mettons toute notre confiance en Jésus. Il nous sauvera par son Eglise des attaques du « fort armé », le démon, comme il sauva par David l’armée d’Israël que défiait le géant Goliath.

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres)

L’Église a commencé au lendemain de la Sainte-Trinité, dans l’Office de la nuit, la lecture des livres des Rois ; elle est entrée cette nuit même dans l’admirable récit du triomphe de David sur Goliath, le géant Philistin. Or quel est pour l’Église le vrai David, sinon le chef divin qui mène depuis dix-huit cents ans l’armée des saints à la victoire ? N’est-elle pas elle-même en toute vérité la fille du roi promise au vainqueur de ce combat singulier du Christ et de Satan qui, au Calvaire, sauva le véritable Israël et vengea l’injure faite au Dieu des armées ? Toute pénétrée encore des sentiments que cet épisode de l’histoire sacrée a ranimés en son cœur d’Épouse, elle emprunte dans l’Introït les paroles de David pour chanter les hauts faits de l’Époux, et proclamer la confiance dans laquelle son triomphe l’a établie pour jamais.

Introït :
(Ps. 26, 1 et 2.) Le Seigneur est ma lumière et mon salut, qui craindrai-je ? Le Seigneur est le défenseur de ma vie, de quoi tremblerai-je ? Mes ennemis qui me suscitent des maux, ce sont eux qui se sont affaiblis et sont tombés.
(Ps. ibid., 3.) Si des armées rangées en bataille s’élèvent contre moi : mon cœur n’aura pas de frayeur.
V/. Glória Patri.

L’Église, malgré sa confiance dans le secours du ciel pour les jours mauvais, demande cependant toujours la paix du monde au Dieu très-haut.
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Près de Boulogne, la police française crève désormais les embarcations de clandestins

La police a crevé les embarcations pour empêcher ces envahisseurs illégaux de FUIR la France !

5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

Européens raflés, avant leur mise à mort
Dans quelques instants, ce gamin au regard éperdu sera assassiné avec de nombreux autres, parce qu’il est français. Fusillé ou égorgé…

Ce 5 juillet à Oran (environ 100 000 Européens y résidaient encore à ce moment), alors que le prétendu « cessez-le-feu » avec le FLN était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroula une terrible chasse aux Blancs.

« On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

Bilan : 3 000 morts et disparus.

Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général

Le général Katz, une belle ordure

Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».
Les accords d’Évian (article V) prévoyaient pourtant que l’armée française puisse intervenir, au cas où la sécurité de ressortissants français serait menacée. Mais les 18 000 soldats français reçurent l’ordre de rester dans les casernes.
Enlèvements et assassinats se poursuivirent jusqu’à la tombée de la nuit.

« C’est le seul exemple dans l’histoire d’un massacre perpétré sur une communauté sans défense, en présence d’une armée qui laisse assassiner ses ressortissants sans intervenir.

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Le directeur de l’Aide sociale à l’enfance du Pas-de-Calais condamné pour détention d’images pédopornographiques

L’Aide sociale à l’enfance (ASE, anciennement DASS), structure française qui s’occupe de plus de 300 000 enfants, dont une bonne partie enlevés à leurs parents (et pour une partie de ces derniers, de façon très discutable ou du moins très contestée) est restée dans l’ombre médiatique pendant très longtemps, mais le mur du silence se fissure semble-t-il.
Il est désormais public que plus de 15 000 mineurs sous sa responsabilité sont prostitués.

On vient d’apprendre que

Patrick Genevaux, 39 ans, responsable du pôle solidarités du conseil départemental du Pas-de-Calais et donc de l’aide sociale à l’enfance, a été condamné vendredi à Douai à 15 mois de prison avec sursis pour téléchargement et détention d’images d’enfants à caractère pornographique. Il a été démis de ses fonctions. […] [source]

Piscines allemandes : entre agressions immigrées et propagande antiblanche

Il y a quelques jours, nous apprenions que huit fillettes avaient été agressées sexuellement par des migrants syriens dans une piscine, en Allemagne, à Gelnhausen. Les coupables ont été interpellés puis relâchés… Tandis que le maire Christian Litzinger imputait les incidents aux “esprits qui s’échauffent parfois par forte chaleur”… (ils sont aussi pourris que nos politiciens français). [source]

Or voici que l’on découvre les affiches de prévention contre les agressions sexuelles dans les piscines allemandes :

De la folie (antiblanche) furieuse !

C’était un… 4 juillet :

1564 : le roi Charles IX signe une ordonnance qui fixe désormais le début de l’année civile au 1er janvier. Selon les diocèses, l’année débutait alors soit à Noël, soit le 25 mars, soit le 1er mars ou encore à Pâques. Mais c’est le pape Grégoire XIII qui, en 1582, généralisa cette mesure à l’ensemble du monde catholique en même temps que la réforme instituant le calendrier grégorien.

1776 : à Philadelphie, Thomas Jefferson proclame l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique, bien que la guerre contre la Grande-Bretagne continue (jusqu’à ce que les Anglais reconnaissent leur défaite six mois plus tard).

1848 : mort, dans un modeste appartement de la rue du Bac, de François-René de Chateaubriand, l’un des plus brillants et des plus ardents défenseurs de la monarchie,  considéré comme le père du romantisme français et l’un des piliers de la littérature française en général.
Il avait renié sa jeunesse : « de chrétien que j’avais été, j’étais devenu un esprit fort, c’est-à-dire un esprit faible. Ce changement s’était opéré à la lecture des ouvrages philosophiques » (comprendre : de la mouvance des prétendues « Lumières »).
Dès 1792, il avait rejoint l’armée des émigrés. Revenu en France, il fut un ennemi irréductible de Napoléon Ier à qui il ne pardonnait pas l’assassinat du duc d’Enghien.  Il devint le chef de file des ultras (royalistes) sous Louis XVIII, dont il fut ministre d’État en charge des Affaires étrangères. Il démissionna de toutes ses charges et pensions à l’avènement de l’usurpateur Louis-Philippe, refusant sa monarchie « bâtarde ».
Il mit son talent au service de la revue Le Conservateur (l’un des premiers journaux de « droite ») et du Journal des débats.
Il écrivit le Génie du christianisme « avec l’ardeur d’un fils qui bâtit un mausolée à sa mère ».
Sa mort passa inaperçue, étant survenue pendant les émeutes de 1848 dont les fracas s’entendaient de sa chambre. « Quel est ce bruit ? » demanda-t-il – « C’est le canon, on se bat dans Paris » – « Je veux y aller ». Ce furent ses derniers mots.
La veille, il avait terminé son testament : « je déclare devant Dieu rétracter tout ce qu’il peut y avoir dans mes écrits de contraire à la foi et aux mœurs et généralement aux principes conservateurs du bien. »

Avis du précieux abbé Bethléem dans son sévère mais incontournable recueil de notices :

Le Génie du christianisme où l’auteur essaie de réconcilier l’esprit français avec la religion, en lui montrant ses beautés sensibles, est plus séduisant que profond, plus esthétique que convaincant : il renferme du reste des erreurs et des futilités, à côté de tableaux magnifiques.
Athala, René, les Nachez, le Dernier Abancérage, les Martyrs, types de romans poétiques, sont trop troublants pour être lus par des jeunes gens. Nous les signalons cependant ici parce qu’il a été publié de quelques-uns de ces ouvrages, des éditions corrigées (Vermot, abbé Mullois, etc.), où la richesse d’imagination, l’éloquence passionnée, l’éclat descriptif de l’auteur restent suffisamment en relief.

► autre livre suggéré, de cet auteur : De Buonaparte et des Bourbons.

 

1848 : publication, à Londres, du Manifeste du parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels. Probablement le livre qui aura causé le plus de morts dans l’histoire de l’humanité.

► sur ce thème, lire par exemple : le communisme dans l’histoire de l’abbé Onclair, Connaître le communisme de Jean Daujet (excellente petite synthèse doctrinale),  le communisme dans la révolution antichrétienne de l’abbé Meinvielle, et d’autres.

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3 juillet 1940… Agression britannique sur Mers El-Kébir : 1297 marins français tués

« Le souvenir de ces morts dérange tout le monde parce que l’évènement échappe à la logique. Il est à part des tragédies de la guerre. Personne n’a intérêt à ce que l’on en parle trop »

Amiral Marcel Gensoul

Mers El-Kébir… le « Grand Port », mot composé arabe, évoque la mer, que ce lieu géographique essaie d’étreindre dans la tenaille, largement ouverte de sa rade, et l’installation portuaire que la France de la seconde moitié du XX° siècle y a créée (1928 – 1945)…

Mieux abrité que Gibraltar, le port possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Le site profite enfin de la proximité de l’agglomération urbaine d’Oran, créée au début du X° siècle.

Le but de la base navale est, non seulement de compléter la défense des côtes algériennes, de maintenir l’intégrité du territoire français, mais aussi d’assurer la liberté des communications et d’organiser notre présence dans la Méditerranée occidentale, en cas de conflit, face à une Italie hostile (en 1939) et à une Espagne d’une neutralité bienveillante envers les pays de l’Axe Berlin-Rome.

L’armistice franco-allemand du 25 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes -qui n’avait pas été vaincue- est libre.
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C’était un 1er juillet…

987 : exaspérés par la faiblesse des derniers héritiers de Charlemagne, les principaux seigneurs de Francie occidentale offrent la couronne royale au meilleur d’entre eux, le comte de Paris Hugues Capet.
Celui-ci devient roi des Francs sous le nom de Hugues Ier.
Il est sacré deux jours plus tard dans la cathédrale de Noyon par l’évêque de Reims, Adalbéron, selon un rituel germanique inauguré par Pépin le Bref en 751.
Hugues Ier est déjà au moment de son élection un homme mûr de 47 ans.
Sa dynastie va finir par se confondre avec le royaume jusqu’en 1792.

1097 : bataille de Dorylée et victoire des croisés.
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C’était un 30 juin : Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN

C’est un épisode peu connu, au cours duquel Franco fit preuve d’une courageuse bienveillance envers les Français, en s’opposant fermement à De Gaulle qui préférait qu’ils fussent livrés à la barbarie du FLN. Quelques jours après, dans la même ville d’Oran, c’était le massacre (voir ici).

Texte de José Castano :

« Les 29 et 30 juin 1962, l’Espagne du général Franco vint au secours des Oranais malmenés par les sbires du général Katz, en affrétant 2 ferrys, le « Victoria »  et le « Virgen de Africa »

Pour accoster le long des quais d’Oran, il fallut longuement parlementer avec les autorités françaises réticentes et même donner à la France un ultimatum, risquant un grave incident diplomatique…

Le 30 juin, à 10 h du matin, malgré l’opposition de De Gaulle, le général Franco donna l’ordre à ses capitaines d’embarquer cette « misère humaine » qui attendait depuis des jours sous un soleil torride, sans la moindre assistance, un hypothétique embarquement vers la France.

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C’était un 29 juin…


1559 : le roi Henri II est blessé mortellement d’un coup de lance par le comte de Montgomery lors d’un tournoi. Ce dernier avait refusé d’affronter le roi car son père avait manqué autrefois de tuer François Ier, mais Henri II avait insisté ; il mourut dans de cruelles souffrances dix jours plus tard.

1610 : obsèques d’Henri IV. Le corps du roi est porté du Louvre à Notre-Dame : « il y eut si grand concours et affluence du peuple à le voir passer que le monde s’y entretuait ».

1683 : à Alger, les prisonniers français esclaves sont libérés. En décembre 1681, les barbaresques avaient capturé un bâtiment de la marine royale et vendu l’équipage et son commandant comme esclaves à Alger. Le 27 juin 1683, la Royale avait bombardé Alger et les négociations aboutirent à leur libération.

1694: victoire du Texel (actuels Pays-Bas).

« La bataille de Texel »,tableau d’Eugene Isabey (vers 1920)

Une flotte de sept navires  corsaires, commandée par Jean Bart, attaque une imposante flotte de guerre hollandaise pour reprendre un convoi de navires chargés de blé détourné par les Provinces-Unies.

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C’était un 28 juin…

1098 : victoire des Croisés lors du second siège d’Antioche. Les croisés sortent de la ville, non pas poussivement, mais en armée en pleine possession de ses moyens malgré la famine et la fatigue. La surprise du chef de l’armée turque est telle qu’il ne réagit pas. En tête des Croisés, est brandie la Sainte Lance, découverte miraculeusement par Pierre Barthélémy affirmant avoir eu une vision de saint André lui révélant qu’elle se trouvait enterrée dans la cathédrale Saint-Pierre d’Antioche. L’attaque franque est si foudroyante que la plupart des Turcs paniquent et bientôt, toute l’armée musulmane bat en retraite. Le siège d’Antioche devient rapidement légendaire, et au XIIe siècle fut le sujet d’une chanson de geste, la chanson d’Antioche.

Tableau serbe de 1919

1389 : bataille cruciale du « Champ des merles », dans la plaine de Kosovo, où les Serbes (menés par le prince Lazare) et leurs alliés croates sont vaincus par les Turcs.
La nouvelle parviendra jusqu’à Saint-Denis, où l’on sonne le glas.

1635 : Charles Liènard de l’Olive et Jean du Plessis d’Ossonville accostent en Guadeloupe, qui devient française, mandatés par la Compagnie des Îles d’Amérique. Quatre dominicains choisis par le cardinal de Richelieu et près de cinq cents colons engagés par contrat pour trois ans les accompagnent.

1629 : suite aux capitulations des villes protestantes de La Rochelle (le 28 octobre 1628), d’Alès (le 17 juin 1629) et de Privas, face à l’armée du roi Louis XIII, Richelieu signe le traité d’Alès qui met fin aux hostilités.

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La dette française explose et devient la troisième plus élevée d’Europe

Voici des chiffres que le Régime actuel ne peut nier ni masquer (contrairement à ceux du Grand Remplacement) et qui manifestent avec éclat l’incurie totale de la clique politicienne qui vit aux crochets de la France depuis des décennies, tout en la menant dans le mur…

« […] Force est de constater que la France vit au-dessus de ses moyens, et que l’ardoise ne cesse de s’allonger. À la fin du premier trimestre 2025, la dette publique de la France, calculée selon les critères de Maastricht, atteint 3.345,8 milliards d’euros, soit une augmentation de 40,5 milliards en trois mois et représente désormais 114 % du PIB. Un chiffre, déjà impressionnant, mais qui est d’autant plus préoccupant lorsque l’on jette un œil à la dette nette. Il s’agit de la dette une fois la trésorerie et certains actifs financiers soustrait. La dette nette grimpe alors à 106,1 % du PIB, soit une hausse de 52,6 milliards. […]

En 2025, la charge de la dette devrait atteindre près de 67 milliards d’euros, soit davantage que le budget de la Défense et presque autant que celui de l’Éducation nationale.  […]

La France est désormais dans le peloton de tête des pays les plus endettés de la zone euro, juste derrière la Grèce (153,6 %) et l’Italie (135,3 %).  […]  (source)

Roussel (PC »F ») s’étrangle sur France Info en évoquant le Christ

Christianophobie ordinaire sur le service public, dans l’indifférence des animateurs.

Fabien Roussel, président du Parti Communiste dit « Français », évoque le fortuné Pierre-Edouard Stérin, qui commet le crime de vouloir « la promotion du Christ » : « cet homme est dangereux » ose ce bas du front de Roussel.

Roussel parle de danger alors qu’il est lui-même le porte-drapeau de l’idéologie ayant le plus massacré !
Il ne supporte pas qu’un catholique défende ses convictions, par contre ça ne l’a jamais gêné (ni peut-être même intrigué) que tous les milliardaires jusqu’à récemment défendent (en achetant des médias notamment) la même vision cosmopolite que lui !
Ce dinosaure communiste, avec son athéisme méprisant et sa haine de la France française, est vraiment pitoyable.

Mohammed, qui a massacré le dr Alban Gervaise devant sa fille, déclaré pénalement irresponsable, ne sera pas jugé

Pour rappel :

« Alban Gervaise, 40 ans, a été tué le 10 mai 2022 à proximité du groupe scolaire catholique Sévigné, à Marseille. Le père de famille venait chercher ses deux fils de 3 et 7 ans à l’école. Installé dans sa voiture, avec sa fille de 20 mois dans un siège auto à l’arrière, le médecin militaire a été attaqué par Mohamed L., 23 ans, subitement monté à bord du véhicule côté passager.
L’agression s’est poursuivie à l’extérieur du véhicule. L’assaillant, sans casier judiciaire mais connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, l’a poursuivi à pied sur une vingtaine de mètres puis l’a poussé dans un laurier où il l’a poignardé à une dizaine de reprises, notamment au niveau du cœur. Un acharnement et une violence tels qu’une lame de couteau cassée avait été retrouvée sur place. Alban Gervaise avait succombé à ses blessures après 17 jours de réanimation.
L’agresseur avait ensuite été maîtrisé par deux passants, qui l’avaient immobilisé. «Laissez-moi le finir, au nom de Dieu. Je vais le finir. C’est le diable. Je lui ai mis trente coups de couteau», avait déclaré mot pour mot Mohamed L. à l’arrivée des policiers. Son état avait alors été jugé compatible avec un placement en garde à vue.
Une heure avant d’agresser Alban Gervaise, le meurtrier s’était rendu devant une autre école, Saint Jérôme Les Lilas, dans le 13e arrondissement de Marseille. Sur le parking de l’établissement, il s’était là aussi introduit de façon soudaine dans la voiture d’une enseignante qui était parvenue à prendre la fuite. Élément troublant, Mohamed L. avait été aperçu devant l’école Sévigné le vendredi précédant le meurtre. L’enquête n’a pas permis de démontrer une motivation «religieuse» ou «terroriste». […] (source)

Comme d’habitude, pas de « motivation » particulière, mais comme d’habitude, ces meurtriers ne s’en prennent qu’à des Français de race (alors qu’à Marseille, il y a le choix)…
Mohammed n’est pas non plus aller rôder près d’établissements islamiques…

Et sinon, ce brave Mohammed, qui paraît-il enrichit la France par sa diversité, que devient-il ?

Mohamed L. a été incarcéré à la prison des Baumettes, à Marseille, de mai à août 2022 puis transféré en hôpital psychiatrique, au sein d’unité pour malades difficiles (UMD), après avoir tenté d’agresser un surveillant de prison. En juin 2024, il a été transféré vers une unité hospitalière spécialement aménagée (UHSA), accueillant des individus considérés comme moins dangereux. (idem)

Hébergé à nos frais, il attend d’être relâché d’ici quelques années, en France bien sûr, où il pourra encore faire parler de lui.

C’était un 25 juin…

1673 : d’Artagnan, capitaine des Mousquetaires, tombe devant Maastricht. Louis XIV exprimera sa profonde tristesse auprès de la reine.

1804 : exécution, en place de Grève, de Georges Cadoudal, trente-trois ans, dernier chef chouan, après un attentat manqué contre le Premier consul.
Ayant participé à toutes les guerres de Vendée, il est le seul chef chouan à avoir continué le combat, contre Bonaparte, l’« usurpateur ».
Ce dernier dit de lui «  Celui-là est bien trempé ; entre mes mains, un pareil homme aurait fait de grandes choses… Je lui ai fait dire que s’il voulait s’attacher à moi, non seulement il aurait sa grâce, mais que je lui aurais donné un régiment. Georges a tout refusé : c’est une barre de fer. Qu’y puis-je ? Il subira son sort, car c’est un homme trop dangereux dans un parti. »

1940 : le maréchal Pétain s’adresse aux Français dans un discours fameux : « c’est vers l’avenir que, désormais nous devons tourner nos efforts. Un ordre nouveau commence […] Votre vie sera dure.

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