« Je propose d’inscrire dans notre Constitution un principe de non-régression sociétale.
Pour qu’aucune loi ne puisse revenir sur des droits, des progrès [sic], des conquêtes obtenues de haute lutte. »
Gabriel Nissim Attal, éphémère Premier ministre apprécié des éternels cocus de la droite du portefeuille, notoirement inverti, actuellement dirigeant du parti macroniste mal-nommé « Renaissance », donne dans la surenchère de gauche (pour ne pas dire l’hystérie).
Il veut triturer encore cette pauvre Constitution pour verrouiller les dernières lois de décadence et de perversion. Entre nous, elles ne sont pour l’instant guère menacées, la quasi-totalité du spectre politicien leur étant acquis ou étant trop peureux pour s’en prendre à la pseudo-morale de gauche.
Cette démarche de l’étranger Attal est toutefois caractéristique du totalitarisme de la gauche (gauche au sens large).
Ces gens n’ont depuis longtemps que le mot « tolérance » à la bouche, mais ils ne supportent pas qu’on pense autrement qu’eux, qu’on s’exprime autrement qu’eux, qu’on vote démocratiquement des lois différentes des leurs…
Quelle hypocrisie!
Je propose d’inscrire dans notre Constitution un principe de non-régression sociétale.
Pour qu’aucune loi ne puisse revenir sur des droits, des progrès, des conquêtes obtenues de haute lutte. pic.twitter.com/Ex73dDsSlO
— Gabriel Attal (@GabrielAttal) September 21, 2025