C’était un 25 juillet…

1120 : incendie de Vézelay. Lors de la veillée de la Sainte-Madeleine, la charpente de l’abbatiale prend feu et s’effondre, causant la mort de plus de mille personnes ; l’intégralité de la nef carolingienne de l’abbaye bénédictine est détruite.
Il ne faudra que douze années à l’abbé Renaud de Semur, reparator monasterii Vezeliacensis, pour la reconstruire…

1139 : Alphonse Enriques, comte du Portugal, vainc une coalition de rois maures à Ourique, dans l’actuelle province d’Alentejo, au sud du Tage.
C’est le « miracle d’Ourique », fondateur du Portugal indépendant.
Alphonse Enrique était d’origine française. Il était fils d’Henri de Bourgogne.
Les cinq écus bleus au centre du drapeau national rappellent les cinq rois maures vaincus à Ourique. Le drapeau va-t-il être modifié pour ne plus rappeler cet épisode « xénophobe » ?

1593: à Saint-Denis, le roi Henri IV abjure le protestantisme et se convertit officiellement au catholicisme : « Je proteste et je jure à la face du Dieu tout-puissant, de vivre et de mourir dans l’Eglise catholique, apostolique et romaine, de la protéger et de la défendre envers tous, au péril de mon sang et de ma vie, renonçant à toutes hérésies contraires à la doctrine de ladite Eglise. »

1789: l’Assemblée constituante institue un comité de recherches pour déjouer les « complots aristocratiques »…

1794 : le journaliste et poète André Chénier est guillotiné. Partisan de la monarchie constitutionnelle et admirateur de 1789, il avait essayé de sauver Louis XVI puis avait critiqué la Terreur.
Comme pour Antoine Lavoisier à qui le juge révolutionnaire avait déclaré lors de son procès : « La République n’a pas besoin de savants, ni de chimistes », Fouquier-Tinville adresse à Chénier : « La République n’a pas besoin de poètes ».
Chénier, avant de monter sur l’échafaud, dit : « Je n’ai rien fait pour la postérité », ajoutant en désignant sa tête : « Pourtant, j’avais quelque chose là ! »

1873: l’assemblée (conservatrice) vote une loi déclarant d’utilité publique la construction d’une église à Montmartre, conformément à la demande de l’archevêque de Paris, en expiation des fautes de la patrie (notamment lors de la Commune) et pour obtenir la fin des épreuves.
Isaac Crémieux vote contre, tout comme Sadi Carnot, Gambetta, Jules Ferry, Edgar Quinet, et autres antichrétiens dont les axes parisiens portent aujourd’hui les noms…

1909 : l’aviateur français Louis Blériot traverse la Manche. A 37 ans, il rallie Douvre – venant de Calais – en 38 minutes, à la vitesse de 75 km/h.
À son arrivée sur l’aérodrome, son hélice et son train d’atterrissage se brisent.

1920: publication du règlement de la Fédération nationale des Scouts de France. Cette date est retenue comme celle de la fondation du scoutisme en France.

1926 : au Mont des Alouettes, haut lieu des guerres de Vendée, rassemblement de près de 60 000 royalistes, autour de Léon Daudet (Action française).
Ce dernier raconte :

[…] On ne raconte pas la journée du Mont des Alouettes. Il faut l’avoir vécue, avoir assisté à ce déferlement de tout un peuple paysan sur le lieu sacré de la guerre de géants, de tout un peuple rassemblé par la faim du Roi, la soif de justice et de Restauration. Car c’est à ces deux ardeurs concrètes et pathétiques qu’aboutit, en fin de compte, la colère nationale, mise en mouvement par la trahison (Caillaux et Malvy), l’assassinat politique et policier (Plateau, Philippe, Berger) et la banqueroute. « Assez, nous en avons assez », puis « en avant », « à l’assaut, Daudet, à l’assaut », telles étaient les clameurs qui hachaient chacune de mes phrases ou, plutôt, chacun de mes appels à ces hommes héroïques et fiers, et à leurs aïeux. Leurs fantômes, comme ceux des nôtres, étaient au-dessus de nous et nous encourageaient. À l’horizon, dans la plaine immense de la Vendée militaire, étincelaient sous le ciel ensoleillé de l’ouest, – mais que modifie à chaque instant le vent venu de la mer – brasillaient les clochers et les villages. Là-bas, c’était le bois de la Chabotterie, que traversa Charette blessé, et prisonnier, Charette, personnification de cette race sublime dont la résistance étonna le monde et continue à étonner l’histoire…

1934: assassinat, à Vienne, du chancelier dictateur Engelbert Dollfuss, par des nationaux-socialistes (il s’opposait à une fusion avec l’Allemagne).
Le fondateur du Vaterländische Front (Front patriotique) avait maté l’opposition armée socialiste quelques mois plus tôt et instauré un État catholique, nationaliste, autoritaire et corporatif. Il fut soutenu jusqu’à la fin par Mussolini, au grand mécontentement de Hitler. Une petite biographie est disponible ici.

1936: dans Le Flambeau, journal du Parti social français, le célèbre aviateur Jean Mermoz écrit : « pour être saine et efficace, l’action sociale doit se libérer des entraves d’une politique de métier au service d’intérêts particuliers. Cette politique devra faire face une fois pour toutes à une politique purement française au service de ceux qui travaillent, sans distinction de classe, pour leur pays. »

1937: assassinat du militant du Parti social français Fernand Lafrance.
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C’était un 24 juillet…

Description de cette image, également commentée ci-après1534: Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du Roi de France. Parti le 20 avril 1534 de Saint Malo (où il a une statue tournée vers l’Ouest), Jacques Cartier atteint le golfe du Saint-Laurent et débarque à Gaspé après s’être arrêté à Terre-Neuve. Accueilli par des Indiens avec qui il échange des cadeaux, il plante une immense croix portant les armes du Roi de France, le 24 juillet.

1712: victoire inespérée des Français dirigés par le maréchal de Villars sur les Austro-Hollandais, commandés par le prince Eugène de Carignan-Savoie, l’un des plus grands chefs militaires de son temps.
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23 juillet 1951 : mort du maréchal Pétain

Philippe Pétain, vainqueur de Verdun, Maréchal de France, Chef de l’Etat français, né le 26 avril 1856, meurt en détention le 23 juillet 1951, à l’âge de 95 ans.
C’est le « plus vieux prisonnier du monde ».

On peut lire ici un bel éditorial de Jérôme Bourbon : « Qu’ont-ils fait de la France du Maréchal » ?

Ci-dessous une émission sur maréchal Pétain qui remet un peu les pendules à l’heure, loin de l’« historiquement correct », suivie d’une autre s’attardant plutôt sur l’antagonisme Pétain / De Gaulle, auteur du livre du colonel Le Pargneux, Pétain – De Gaulle, une autre vision de l’histoire, que nous recommandons vivement (commandable ici).

Sur Pétain / De Gaulle :


Ci-dessous des images d’archives d’un déplacement triomphal du maréchal Pétain à Paris fin avril 1944 (donc très tard, les Français étaient derrière lui contrairement à ce que disent certains manuels) :

« Souffrance et mort du Maréchal Pétain », par son avocat Jacques Isorni :

C’était un 21 juillet…

1306: excédé par leur comportement, le roi Philippe le Bel décide l’expulsion de tous les juifs vivant en France et la confiscation de leurs biens. On parle de 100 000 exilés.

1861: première grande bataille de la guerre de Sécession, à Bull Run (Virginie), où les Confédérés battent les troupes de l’Union. Chacun comprend que la guerre sera longue et sanglante.

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1934: mort du maréchal Louis Hubert Lyautey.
Ce monarchiste légitimiste a été élu à l’Académie française (1912) et promu maréchal de France en 1921.
Sa carrière, commencée  à Madagascar, connaîtra son apogée au Maroc où il mènera une politique particulièrement intelligente, en associant l’élite marocaine au développement du pays.

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C’était un… 20 juillet :

1031 : mort du roi de France Robert II, successeur et fils d’Hugues Capet. D’une grande piété, c’est lui qui commença l’édification de Notre-Dame de Paris. Il fut le premier à manifester le don de guérir les écrouelles.

1789 : début de la « Grand Peur » (qui durera deux semaines), durant laquelle de nombreux châteaux et manoirs seront pillés par les « patriotes » qui suivent l’exemple de la prise de la Bastille.

1870 : au tout début de la guerre franco-prussienne, Karl Marx ecrit : « les Français ont besoin d’être rossés ». Et d’expliquer : « en cas de défaite française, la prépondérance allemande transportera le centre de gravité du mouvement ouvrier européen de France en Allemagne. Ce sera en même temps la prépondérance de notre théorie sur celle de Proudhon. »

► sur ce thème, lire par exemple : le communisme dans l’histoire de l’abbé Onclair, Connaître le communisme de Jean Daujet (excellente petite synthèse doctrinale),  le communisme dans la révolution antichrétienne de l’abbé Meinvielle, et d’autres.

1933 : à Rome, le pape Pie XI signe un concordat avec le IIIe Reich.

1936 : accident d’avion, au Portugal, provoquant la mort du général Sanjurjo, chef de la rébellion anticommuniste espagnole. Il sera remplacé par le général Franco.

1944 : attentat manqué contre Adolf Hitler à son quartier général de Rastenburg (« la Tanière du loup »), en Prusse orientale, organisé par une faction conservatrice et nationaliste de la Wehrmacht. Le comte Claus von Stauffenberg, âme du complot, sera exécuté quelques heures plus tard.
Hitler, ayant échappé de très peu à la mort (son pantalon est complètement déchiré), verra là un signe et un encouragement de la Providence.

1974 : à la suite de la prise du pouvoir par les nationalistes pro-grecs, la Turquie envahit Chypre et créé sa propre enclave.

► pour mieux connaître cette île, lire par exemple : Chypre, de Jean-Claude Rolinat.

 

6e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

La multiplication des pains.

« « Le Seigneur est une force pour son peuple » : chant magnifique d’allégresse et de mâle assurance, où le peuple chrétien exprime aujourd’hui devant Dieu sa confiance et sa sécurité. Le graduel, l’alleluia, l’Offertoire, font écho à ce beau chant d’entrée. C’est cette providence de Dieu, enveloppante et pénétrante, qui donne aux chrétiens de pouvoir se maintenir et progresser dans le bien (coll.).
L’épître redit l’exigence de sainteté de notre vie de baptisés, mais l’evangile de la multiplication des pains nous rappelle comme le Christ s’est fait la nourriture surabondante de notre vie, pour nous donner la force de le suivre sans « défaillir en chemin ». »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

« L’Office du sixième Dimanche après la Pentecôte s’ouvrait hier soir par l’exclamation poignante d’un immense repentir. David, le roi-prophète, le vainqueur de Goliath, vaincu à son tour par l’entraînement des sens, et d’adultère devenu homicide, s’écriait sous le poids de son double crime : « Je vous en prie, mon Dieu, pardonnez l’iniquité de votre serviteur, car j’ai agi en insensé ! »

Le péché, quels que soient le coupable et la faute, est toujours faiblesse et folie.
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C’était un… 19 juillet :

711 : bataille du Guadalete, désastre au cours duquel les Wisigoths d’Espagne sont défaits par les envahisseurs arabo-musulmans. Le roi Rodéric et de nombreux nobles périssent dans les combats. Le flot des Maures déferle ensuite sur l’Espagne, profitant de la désunion des indigènes et de l’accueil favorable des  Juifs locaux. C’est la fin du royaume wisigoth.

1374 : mort de François Pétrarque, érudit, poète et humaniste italien, pionnier de la prétendue « Renaissance ».

1870 : la France de Napoléon III déclare la guerre à la Prusse, qui l’a en réalité provoquée. Le maréchal Lebœuf se flatte qu’« il ne manque pas un bouton de guêtre » à l’armée. Six semaines plus tard, c’est le désastre de Sedan.

1896 : obsèques, à Paris, du marquis de Morès, en présence d’un représentant du président de la République Félix Faure, du duc d’Orléans, de nombreux militaires et députés, et de deux mille personnes. Des éloges funèbres sont prononcés par Maurice Barrès, Édouard Drumont, un représentant de l’armée et un autre des bouchers de la Villette.

1976 : mort, à Beyrouth, de Stéphane Zanetacci, militant français du Groupe Action Jeunesse, alors qu’il attaquait, avec les milices phalangistes, le camp palestinien de Tall el Zatar. En face, aux côtés des Palestiniens, se trouvent d’autres militants nationalistes français antisionistes.

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La désastreuse Najat Vallaud-Belkacem nommée à la Cour des comptes sans aucune compétence : corruption ?

L’étrangère à papiers français Najat Vallaud-Belkacem a été nommée à la Cour des comptes, « sur proposition du Premier ministre ».
Elle est nommée directement « conseillère maître » (le plus haut grade) à la Cour des comptes ! Pas de diplôme, pas de concours, pas de compétence comptable particulière justifiant une telle promotion.

Selon Le Canard enchaîné, François Bayrou aurait négocié ce poste pour éviter une censure de son budget par les députés PS, dirigés par Boris Vallaud… mari de Najat. Si c’est exact, c’est non seulement une grave infraction morale, mais aussi légale.

Mais on ne voit pas à quel autre titre, à part son appartenance à la franc-maçonnerie, peut légitimement obtenir ce poste cette femme dont l’obsession est la destruction totale de l’identité française, alors que ce pays l’a pourtant si généreusement accueillie, nourrie, promue.
Elle était auparavant présidente de l’association invasioniste France Terre d’Asile (qui a touché près d’un million d’euros de la mairie de Paris en 2024 : décidemment les Français payent et financent abondamment ceux qui veulent génocider  leur peuple par remplacement).

Et elle est censée maintenant contrôler le bon usage des fonds publics à la cour des comptes ?! Quelle odieuse plaisanterie !

Voir aussi :
Najat Vallaud-Belkacem tente de refaire parler d’elle en écrivant une chanson pour les migrants
Najat Vallaud-Belkacem veut enseigner l’arabe dès le CP !
Pour le ministre Najat Vallaud-Belkacem, un plat avec du porc est un plat « confessionnel » !
Najat Vallaud-Belkacem s’en prend à ceux qui veulent que les enfants aient des diplômes

Les subventions délirantes ou scandaleuses accordées par la ville de Paris en 2024

La qualité de vie se dégrade toujours plus dans la capitale, qui s’enlaidit chaque mois davantage, et on pourrait croire que la ville n’a pas les moyens d’entretenir ne serait-ce que ses rues, quand on voit leur état souvent lamentable et parfois dangereux.
Mais en réalité, il y a de l’argent pour certains !

On peut accéder ici au fichier public présentant les subventions aux associations votées par la municipalité parisienne.

Alors que la veille de Paris est maintenant endettée à hauteur d’environ 10 milliards d’euros (!!) –Hidalgo ayant fait doubler le montant de la dette que son prédécesseur socialiste Delanoé avait déjà fortement aggravé –, la gauche distribue l’argent public à des centaines d’associations et de projets délirants, qui n’ont rien à voir avec l’intérêt des Parisiens, mais correspondent à ses lubies idéologiques (immigrationisme, dépravation des moeurs, art dégénéré…).
Sans oublier bien sûr le clientélisme : c’est comme ça que ces gens se maintiennent au pouvoir malgré des résultats désastreux, que tout le monde constate.

Quelques exemples pour 2024 seulement :

– Institut des cultures d’islam : 1,5 million d’€
– France terre d’asile : 920 000
– Assemblée citoyenne des originaires de Turquie : 64 000
– Migrations Santé France () : 32 000
– Kabubu (lien social entre « personnes exilées ») : 30 000
– UNEF, association d’étudiants d’extrême-gauche : 20 000
– UGOP (« Lutte contre discriminations sexistes et LGBTphobes dans le sport
») : 14 000
– SOS Racisme : 10 000
– Collectif intersexe activiste (« droits intersexes ») : 10 000
– Tous bénévoles (accueil des migrants) : 10 000
– « Aide à l’intégration des migrants suédophones afghan.e.s » : 6 000
– CHINOIS DE FRANCE FRANÇAIS DE CHINE (« Accès aux droits et au numérique pour les migrants chinois ») : 5 000

Gaza : une église attaquée par Israël (3 morts)

L’église de la Sainte-Famille de Gaza, attaquée le 17 juillet 2025 • L’ŒUVRE D’ORIENT

Dans la matinée du jeudi 17 juillet, l’armée israélienne a frappé l’église de la Sainte-Famille, la seule paroisse catholique latine de la bande de Gaza.

Le père Gabriel Romanelli, curé de la paroisse, est blessé, annonce le Patriarcat latin de Jérusalem. Dans l’après-midi, le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa, a confirmé la mort de trois personnes. […]

Les murs de l’église ont été endommagés. Selon le patriarche latin de Jérusalem, «un tank a directement frappé l’église». De nombreux médias parlent d’une attaque aérienne. «Les informations sont encore partielles, la communication avec Gaza n’est pas facile, surtout aujourd’hui», ajoute le cardinal Pizzaballa.  (source Vaticannews)

Le Patriarcat latin de Jérusalem précise ce que vous n’entendrez pas sur Cnews :

«Les personnes qui vivent dans le complexe de la Sainte-Famille ont trouvé refuge dans l’église, espérant que les horreurs de la guerre épargneraient au moins leur vie, après avoir déjà perdu leurs maisons, leurs biens et leur dignité», note le communiqué du Patriarcat latin de Jérusalem, partagé dans l’après-midi du jeudi 17 juillet, avant d’ajouter […] : [qu’il] « condamne fermement cette tragédie et ces attaques visant des civils innocents et un lieu sacré». Cependant, ajoute la note, «cette tragédie n’est pas plus grave ni plus terrible que les nombreuses autres qui ont frappé Gaza. De nombreux autres civils innocents ont également été blessés, déplacés et tués. La mort, la souffrance et la destruction sont omniprésentes.» «Le moment est venu pour les dirigeants d’élever la voix et de faire tout ce qui est nécessaire pour mettre fin à cette tragédie qui est injustifiable sur le plan humain et moral», peut-on également lire dans le communiqué. (idem)

Ca change du fanatisme pro-israélien qu’on entend chez presque tous les médias et influenceurs de « droite » en France, fussent-ils chrétiens !

C’était un 18 juillet…

– 390 : les Gaulois, sous le commandement de Brennus, s’emparent de Rome après un long siège face au mont Capitolin, où l’armée romaine s’était réfugiée.
Au moment de la pesée de la rançon (1 000 livres d’or), devant les protestations romaines, Brennus jette son épée dans la balance en proclamant « Vae victis ! » (« Malheur aux vaincus ! »)

64 : début de l’incendie de Rome, qui dure 9 jours et détruit la ville. Le fou et sanglant Néron, qui en est à l’origine, en accuse les chrétiens.

1100 : mort du duc de Basse-Lorraine Godefroi de Bouillon. Ce chevalier franc avait répondu avec enthousiasme à l’appel à la croisade de Pierre L’hermite et du pape Urbain II, pour secourir les chrétiens d’Orient et délivrer les lieux saints, et était devenu le premier roi chrétien de Jérusalem (dont il avait dirigé la prise en 1099).

1936 : début de la guerre d’Espagne, 5 jours après l’assassinat du chef de l’opposition monarchiste au parlement. Les généraux nationalistes appellent au soulèvement et tentent un coup d’Etat pour renverser la gauche radicale au pouvoir. La guerre durera 3 ans et fera un million de morts. Robert Brasillach et Maurice Bardèche ont écrit à ce sujet un livre assez complet.

1941 : le Vel d’Hiv est rempli et l’ambiance est chaude.
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C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français (pillé par Einstein)

Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste : Dean Mamas, docteur en physique nucléaire américain.
On peut aussi signaler le livre de Jean Hladik, spécialiste de physique théorique et historien de la science : « Comment le jeune et ambitieux Einstein s’est approprié la relativité restreinte de Poincaré » (Ed. Ellipses, 2004).

C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution – et il en annonçait bien d’autres…

« Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

C’était un 15 juillet : la libération de Jérusalem par les Croisés

Les croisades constituent l’une des plus belles manifestations de la générosité de la race française.

Le vendredi 15 juillet 1099, les croisés libèrent la ville de Jérusalem des mains des musulmans. Ils ont quitté l’Europe occidentale trois ans plus tôt et effectué une interminable et périlleuse marche pour répondre à l’appel du pape Urbain II, reprendre aux Infidèles le tombeau du Christ et y permettre à nouveau les pèlerinages.

Pendant le siège, plusieurs tentatives avaient été faites, mais furent toutes repoussées. Trois machines de siège furent terminées et amenées près des murs dans la nuit du 14 juillet. Elles permirent la conquête de la ville sainte.
Godefroy de Bouillon devient Advocatus Sancti Sepuchri (Avoué du Saint Sépulcre) le 22 juillet, refusant d’être « roi » dans la ville où mourut le Christ.
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Sénégal : le projet de ville du rappeur américain Akon abandonné après 5 ans

« Ça sera un grand centre économique mondial » assurait en 2020 le riche rappeur noir-américain « Akon », d’origine sénégalaise.

La ville devait s’appeler – modestie oblige – « Akon City », et était inspirée du fantasmagorique Wakanda (pays noir florissant fictif de l’univers Marvel).
Budget : 6 milliards de dollars.

Cinq ans plus tard, le constat est sans appel : sur les 800 hectares annoncés, seul un bâtiment d’accueil inachevé sort de terre. Aucune route, aucune centrale solaire, aucun logement. À Mbodiène, les promesses de développement ont laissé place à l’amertume et à l’incompréhension.

Officiellement, les retards sont d’abord imputés à la pandémie de Covid-19. Les promoteurs évoquaient également des études de faisabilité et des lenteurs administratives. Mais ces explications ne suffisent plus à convaincre. L’État sénégalais, via la Société d’aménagement et de promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal (SAPCO), a récemment décidé de reprendre la main. […] (source)

En haut, le projet, en bas, le résultat final

Wakanda !