C’était un 3 mars…

1962 : trois militants de l’OAS-Métro, résistants de l’Algérie française, tombent au combat, à Toulon, dans l’explosion accidentelle de leur voiture. Ils préparaient une action explosive symbolique, comme c’était fréquent à ce moment dans cette ville.
Jean Feigna, le jeune Michel Hendericksen et Henri Lapisardi étaient membre du commando « Claude Barrès ».

source

1962 :

Le 3 mars 1962, décédait à Ciboure (64) l’écrivain et académicien Pierre Benoît.
Il fut l’auteur d’une Å“uvre abondante, dont les romans d’aventures – souvent portés au cinéma -, au premier rang desquels L’Atlantide, ont connu un succès considérable dans la première moitié du XXe siècle.

Homme de droite, nationaliste, Pierre Benoit reflète un aspect du monde intellectuel de l’entre-deux-guerres, qu’il a marqué par son Å“uvre romanesque.

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Rappel à Dieu d’Olivier Grimaldi

Olivier GrimaldiMise-à-jour : les obsèques d’Olivier Grimaldi seront célébrés en l’église Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins à Paris (Ve arrt), jeudi 13 mars à 10 h 30.

Olivier Grimaldi est décédé ce dimanche 9 mars.
Ce militant nationaliste français était né en 1953 à Alger.

Il présidait, dans une optique unitaire, le Cercle franco-hispanique depuis la création de celui-ci en 1982.
Il avait auparavant milité notamment à Ordre Nouveau et au Parti des forces nouvelles.

Le Cercle franco-hispanique diffusait au sein de la droite nationale et nationaliste française les idées de José Antonio Primo de Rivera ainsi que des informations sur la droite franquiste en Espagne, notamment via un bulletin d’informations trimestriel, La Lettre des amitiés franco espagnoles.

Catholique traditionaliste, Olivier Grimaldi a rendu son âme à Dieu entouré des siens, après deux ans d’une âpre lutte contre la maladie.

Requiescat in pace !

Olivier Grimaldi lors d’un banquet en Espagne (à sa droite, Léon Degrelle)

Décès de Jean Madiran

Jean Madiran s’est éteint  ce mercredi 31 juillet, à l’âge de 93 ans.

C’est une figure importante de la droite nationale et catholique de ces 60 dernières années qui disparaît. Un intellectuel véritable et une fine plume.

Jean Madiran (de son vrai nom Arfel) avait commencé jeune, et fort, étant secrétaire de Charles Maurras durant la Seconde guerre, durant laquelle il fut décoré de la Francisque.
Il collaborait alors à L’Action française et à la Revue universelle (fondée par Jacques Bainville et Henri Massis).

Réfugié dans un monastère situé sur la colline de Madiran, d’où son pseudonyme, après 1945, il devint ensuite journaliste et essayiste. Il publia son premier livre, La Philosophie politique de saint Thomas (Les Éditions Nouvelles, 1948), sous le pseudonyme de Jean-Louis Lagor et lanca une publication d’inspiration maurassienne, l’Indépendance française, rachetée en 1950 par Aspects de la France.

Il marqua son époque avec la publication de qualité Itinéraires, fondée en 1956 et qu’il dirigea durant 40 ans, réunissant des intellectuels réputés et menant un inlassable combat face au modernisme.

Madiran cofonda (en 1982) et dirigea aussi (pendant 25 ans) le quotidien Présent.

Les obsèques de Jean Madiran seront célébrées, ce lundi 5 août à 10 h en la chapelle Notre-Dame des Armées (Impasse des Gendarmes) à Versailles, par Dom Louis-Marie, Père Abbé du Barroux.

Un grand historien nous a quitté : Jacques Heers

Les gros médias n’ont quasiment pas parlé de son décès, en dépit de sa renommée. C’est selon nous un hommage appréciable.

Décédé il y a quelques semaines, à l’âge de 88 ans, Jacques Heers fut un historien français de grand talent et de grand renom.
Spécialiste de l’histoire du Moyen Âge, professeur à la faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris-Nanterre, puis directeur des études médiévales à Paris IV, ce catholique de conviction n’était pas soumis à l’historiquement correct.

Vous pouvez retrouver ici ses ouvrages les plus connus (dont certains en poche), et en particulier son fameux et bienvenu Le Moyen-Âge, une imposture.

Jacques Heers avait participé au Manuel d’histoire scolaire que nous avions évoqué à diverses reprises.

François Brigneau est décédé.

François Brigneau

« François Brigneau, de son vrai nom Emmanuel Allot, est né le 30 avril 1919 à Concarneau. Il est décédé dimanche près de Paris.
C’est sous les pseudonymes de Julien Guernec et surtout François Brigneau qu’il participa, toute sa vie durant, au combat nationaliste. Né dans une famille plutôt de gauche et anticléricale, la rumeur disait qu’il fut baptisé clandestinement contre la volonté de son père. Il n’hésita pas, en juin 1944 à s’engager pour défendre l’Etat français.
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