Ubisoft a-t-il signé son arrêt de mort en persévérant dans le wokisme ?

Le géant français du jeu video (19 000 employés) a misé gros pour produire le nouvel opus de son jeu d’action phare : Assassin’s creed.
Ce dernier se déroule dans le Japon du XVIe siècle, et le joueur choisit d’incarner deux personnages : un ninja et un samouraï.
Les gauchistes à la tête d’Ubisoft ont décidé, contre toute vraisemblance évidemment, que le ninja serait une femme et le samouraï un Noir-africain.

Que vaut « Assassin's Creed Shadows », le dernier-né de l'increvable saga ?

De quoi déplaire à une grande partie du public, qu’il soit amateur d’un peu de réalisme historique ou exaspéré par cette attitude typiquement woke.
Résultat : les ventes sont loin des espérances et l’entreprise, déjà très fragilisée, est maintenant en péril.
Elle a fait passer son militantisme idéologique avant sa survie.

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Le cours de l’action Ubisoft ces dernières années