Le géant français du jeu video (19 000 employés) a misé gros pour produire le nouvel opus de son jeu d’action phare : Assassin’s creed.
Ce dernier se déroule dans le Japon du XVIe siècle, et le joueur choisit d’incarner deux personnages : un ninja et un samouraï.
Les gauchistes à la tête d’Ubisoft ont décidé, contre toute vraisemblance évidemment, que le ninja serait une femme et le samouraï un Noir-africain.
De quoi déplaire à une grande partie du public, qu’il soit amateur d’un peu de réalisme historique ou exaspéré par cette attitude typiquement woke.
Résultat : les ventes sont loin des espérances et l’entreprise, déjà très fragilisée, est maintenant en péril.
Elle a fait passer son militantisme idéologique avant sa survie.
La chute en bourse d’Ubisoft continue : -20 % depuis ce matin et -85 % depuis ses plus hauts.
Son chiffre d’affaires a reculé de 20 % sur l’année passée, et Assassin’s Creed Shadows serait un échec commercial, avec une estimation de seulement 2,4 millions d’exemplaires vendus.… pic.twitter.com/9Xy9w64IK4
— Aurea (@AureaLibe) May 15, 2025