Liturgie de sainte Jeanne d’Arc (et litanies)

Sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France, est née au Ciel le 30 mai 1431 (à l’âge de 19 ans), mais la solennité de sa fête tombe ce deuxième dimanche de mai.
Que nous en dit la liturgie (traditionnelle) de ce dimanche ?

« Jeanne, épouse du Christ, patronne et gardienne de la France » (Magnificat), « fut suscitée miraculeusement par Dieu pour défendre la foi et la patrie. » (Oraison). Instruite par des voix célestes et remplie de la lumière de Jésus (Hymne), elle sut, par sa sagesse, s’imposer à l’admiration des princes et des grands, soumettre des nations étrangères, et laisser à la postérité un souvenir éternel (Epître). Aussi la liturgie la proclame « l’honneur de notre peuple » (Offertoire).

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Socialisme fou et ruineux : Elisabeth Bornstein veut instaurer des quotas de filles dans les prépas scientifiques

Aveuglée par son idéologie égalitariste, la bureaucrate socialiste Elisabeth Bornstein s’apprête à détruire un peu plus le système éducatif français au nom de ses lubies.

« Encourager les filles à faire des maths, c’est le nouveau cheval de bataille d’Élisabeth Borne. La ministre de l’Éducation nationale a dévoilé mardi, dans un entretien donné aux Échos, un plan d’ampleur pour rééquilibrer la part de filles dans les filières scientifiques, du collège aux classes préparatoires, sous-représentées dans ces voies.

Il faut reconnaître que les études récentes ne sont guère encourageantes. Si, à l’entrée en CP, les filles ont un niveau en maths égal à celui des garçons, dès le CE1, leurs résultats baissent : seules 53 % des filles savent additionner contre 68 % des garçons, selon une étude du ministère de l’Éducation nationale de 2024. La dernière enquête TIMSS (Trends in International Mathematics and Science Study), publiée en décembre 2024, alerte sur un fossé grandissant entre filles et garçons en mathématiques dès la fin du primaire, l’un des écarts les plus élevés de l’Union européenne.

Rien ne s’arrange en terminale, où elles sont moins nombreuses à choisir le combo gagnant maths-physique (37 %), qui ouvre pourtant le plus de portes sur Parcoursup. Et même en prépa scientifique, elles choisissent plus volontiers des prépas axées sur la biologie que sur les mathématiques. Une fois dans la vie active, elles sont encore moins à s’orienter dans les domaines de l’ingénierie et de l’industrie, auxquels elles préfèrent les secteurs de la santé et du social.

C’est donc dès le collège que la ministre entend agir. Dans un entretien accordé à France Inter ce mercredi, elle a dévoilé un plan global. Il prévoit notamment des aménagements de classe en 4e et 3e, l’instauration d’une parité en spécialité mathématiques au lycée (où les filles représentent actuellement 42 % des effectifs), un encouragement accru à choisir l’option mathématiques expertes (aujourd’hui suivie par 33 % des lycéennes seulement), et surtout, des objectifs clairs pour féminiser les classes préparatoires.

Élisabeth Borne ne parle pas précisément de quotas mais d’objectifs cibles. Ce qui revient un peu au même dans la novlangue de l’Éducation nationale. Elle déclare : « Chaque classe préparatoire scientifique devra compter 20 % de filles en 2026, puis 30 % en 2030. »  […] » (source Le Figaro Etudiant)

Incohérente comme tous les partisans de la Subversion – qui vantent le respect des « différences » (la diversité) quand il s’agit de faire submerger la France par l’immigration (et donc d’effacer la différence française) –, la compère de Bayrou et Retailleau ne supporte pas les différences naturelles entre hommes et femmes.

Si les filles ont – en général – moins d’appétit pour les mathématiques que les garçons, c’est notamment pour des raisons biologiques (chose insupportable à concevoir pour les gens de gauche). Et si cette différence de goût s’accentue au fil du collège, c’est simplement, et justement, parce que sous l’action grandissante des hormones à la puberté, les garçons et les filles se distinguent davantage dans leurs goûts et leurs capacités.
Il s’agit évidemment de tendances générales, il y aura toujours un nombre non négligeable de filles qui seront intéressées par les mathématiques par exemple, et y seront douées.

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Esclavage : 12 choses que vous n’entendrez pas sur Radio France !

En cette journée de commémoration de l’esclavage, alors que les médias et les profs essaient de culpabiliser les Français avec une présentation tronquée et biaisée de l’histoire, nous repassons cet explosif article de l’excellente revue  L’Héritage.

On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même de ceux qui parlent le plus d’esclavage.
Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs, dans la mesure où, en cas de conflit, il sauvait la vie des hommes vaincus, qui, sinon, étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

3) Aux Etats-Unis, au moment de la Guerre de Sécession, seuls 2% des Blancs possédaient des esclaves (4,8% dans les Etats esclavagistes).

4) Le général Lee, commandant des armées sudistes, était hostile à l’esclavage.

5) De nombreux Blancs furent esclaves aux Etats-Unis et dans les îles. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade, 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des Blancs arrivent en Amérique comme esclaves.
Au XVIIe siècle, il y eut davantage de Blancs déportés aux Amériques que de Noirs.

6) Des Afro-américains possédaient eux aussi des esclaves. L’un des premiers propriétaires d’esclaves aux Etats-Unis fut un Noir (Anthony Johnson), qui avait d’ailleurs des serviteurs blancs.

7) Le mot « esclave » vient du nom « Slave », car les peuples slaves (d’Europe centrale et de l’Est) ont été victimes de la traite à très grande échelle (plusieurs millions) pendant des siècles, notamment par l’Empire ottoman.

8) Du IXe au XIXe siècles, environ 2 millions d’Européens de l’Ouest – hommes, femmes et enfants – sont capturés par les musulmans et réduits en esclavage.
Pendant des siècles, de nombreux hommes capturés sont – comme dans le cas des Slaves – castrés, opération qui entraîne la mort d’une grande partie d’entre eux. Quant aux femmes, elles sont souvent destinées à l’esclavage sexuel et livrées à la perversité de leurs « propriétaires », ce qui est parfois aussi le cas des enfants.
Pour donner une idée de l’ampleur de ces razzias, une lettre du 3 février 1442 adressée par un religieux qui résidait à Constantinople au prieur de Saint-Jean-de-Jérusalem (de l’ordre des hospitaliers) mentionne l’enlèvement par les Turcs de 400 000 chrétiens en seulement 6 ans.

9) Pendant des siècles, les Barbaresques (occupant le Maghreb) terroriseront la Méditerranée et ses rivages où ils capturent des Européens, mais ils séviront aussi en Atlantique, jusqu’aux côtes anglaises. La France a conquis Alger, en 1830, pour mettre fin à ce fléau.

10) • La traite arabo-musulmane a concerné environ 17 millions de personnes.
• La traite interne à l’Afrique (entre Noirs) a concerné environ 14 millions de personnes.
• Enfin, en dernière position, la traite vers l’Amérique et les îles a concerné de 9 à 11 millions de personnes (noires et blanches).
• La plupart des Noirs déportés vers les Amériques avaient été réduits en esclavage par d’autres Noirs puis revendus.

11) Pour la traite transatlantique, une très grande partie des navires négriers appartenaient à des familles juives, et des historiens juifs écriront même que « ce commerce était principalement une entreprise juive » I. Au milieu du XIXe siècle, aux Etats-Unis, 40% des Juifs possédaient des esclaves (contre 2% des Blancs).
Dès le IXe siècle, en France, les Juifs étaient communément montrés comme les maîtres de ce « malheureux trafic ».

12) L’esclavage existe encore dans certaines parties du monde arabo-musulman (des images de marchés aux esclaves ont été prises en Libye en 2017) ainsi qu’en Afrique : on estime que près de 40 millions de personnes dans le monde vivent encore en esclavage…
Mais il existe aussi en Europe : aux Pays-bas, chaque année, plus d’un millier de jeunes filles sont victimes d’exploitation sexuelle par des jeunes proxénètes issus de l’immigration ; en Angleterre, dans la seule ville de Rotherham, entre 1997 et 2013, 1400 mineures ont été victimes de viols par des gangs pakistanais, des centaines de jeunes filles réduites à l’esclavage sexuel et à la prostitution.

Henri Ménestrel

Bonus :
Christiane Taubira, montrant que les élites savent certaines choses mais veulent les cacher par idéologie, explique qu’il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabe-musulmane pour que les « jeunes Arabes » « ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006).

Sources :
La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne, Atelier Fol’Fer.
Le Génocide voilé, Tidiane N’Diaye, Gallimard.
La désinformation autour de la Guerre de Sécession, Alain Sanders, Atelier Fol’Fer.
Traites négrières, Olivier Pétré-Grenouilleau, Folio.
(I) New world Jewry, Seymour B. Liebman (American jewish historical society), 1982.
(II) Les Négriers en terre d’islam, Jacques Heers, Perrin.
Jews and judaism in the United States, Marc Lee Raphael (American jewish historical society).
They Were White and They were Slaves, Michael A. Hoffman

Video : l’attaque préméditée d’antifas contre deux étudiants de droite à Rennes

Voici, cette fois indubitablement documentée en vidéo, une agression typique de la mouvance antifa (extrême-gauche violente et ultra-intolérante).
Ils y lynchent deux étudiants réputés de droite, à Rennes, ville gangrenée par le gauchisme le plus haineux et le plus crasseux.
On voit bien qu’ils sont organisés, en particulier pour garder leur anonymat de fourbes : visages masqués, parapluies déployés pour parer aux caméras…
Mais ils ont tout de même été filmés par des drones.

Breizh-info, qui a divulgué la vidéo, relate que ces racailles gauchistes, les petits protégés du Nouveau front Populaire, ont été « relaxés, en Première instance, par la Justice, pour des questions d’ordre administratif. »
En dépit de cette video accablante, la « justice » française épargne donc ces criminels en puissance. Evidemment, si cela avait été l’inverse (des jeunes nationalistes qui s’en prennent à deux gauchistes), l’affaire aurait eu les unes de la presse et les honneurs des journaux télévisés.

AJOUT (le 09/05 au soir) :
Le député rennais Marie Mesmeur (LFI), véritable extrémiste, s’est rendue au commissariat en soutien aux antifas interpellés, lorsqu’ils étaient en garde-à-vue !

C’était un 9 mai : mort de Sébastien Deyzieu

Le 9 mai 1994, le jeune militant nationaliste Sébastien Deyzieu rendait l’âme, victime de la répression, lors d’une manifestation organisée par le GUD et d’autres associations.

Il était âgé de 22 ans.

Le traitement médiatique n’eut évidemment rien à voir avec l’affaire Malik Oussekine, qui en son temps entraîna d’ailleurs la démission d’un ministre.
Là le gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur était le gaullo-mafieux Charles Pasqua, ne fit montre d’aucune émotion.

Chansons des groupes de « rock identitaire français » In Memoriam et Vae Victis dédiées à Sébastien Deyzieu :

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Mercredi soir à Paris, « la diversité » a fêté à sa façon la victoire du PSG

A l’issue d’une partie de football entre le Paris Saint Germain et Arsenal, des milliers de Noirs et Arabes se sont retrouvés sur les Champs-Elysées pour saccager.
« Faites venir le tiers-monde : devenez le tiers-monde » comme le rappelle un compte X américain. « il y avait encore une atmosphère très romantique la nuit dernière à Paris ».

C’était un 8 mai : le maréchal Leclerc, criminel de guerre ?

Leclerc tançant les prisonniers français avant de les faire tuer
Leclerc tançant les prisonniers français avant de les faire tuer

La mort de douze hommes peut paraître anecdotique à côté des millions de victimes de la Deuxième guerre mondiale. Mais l’épisode de « Bad Reichenhall » dérange, car il porte une ombre sérieuse sur l’image du maréchal Leclerc.

Début mai 1945, une douzaine de Français de la Division Charlemagne (Waffen SS français), rescapés de la « lutte contre le bolchevisme » sur le front de l’Est, se rendent à l’armée américaine et sont internés dans une caserne de Bad Reichenhall (Haute Bavière).
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Bruno Retailleau : « Nous ne sommes pas une nation ethnique mais une nation civique; et ça, ça change tout. »

Pour l’éveil des naïfs, il est bien que Retailleau – succédané de Philippe de Villiers qui séduit la droite bourgeoise/catho – exprime aussi clairement, lors d’une conférence de presse, sa vision de la France : une entité abstraite, sans identité réelle, une sorte d’association d’individus reliés par des « valeurs » (républicaines en l’occurrence).
Ici à 2min56 :

Une vision issue de la Révolution partagée d’ailleurs par la plupart des associations (même monarchistes) et « influenceurs » qui se réclament du souverainisme, et bien sûr partagée par tout le personnel politique (à l’exception de Zemmour), de Mélenchon à Marion Maréchal en passant par Marine Le Pen.

Retailleau se trompe, ou ment. C’est un parfait traître à son peuple.
Il confond France et République, c’est clair dans son discours, et pour lui être français se réduit « à un sentiment d’appartenance ». D’appartenance à quoi ? A la République, vraisemblablement, puisque la France n’a pas d’identité propre pour ces gens.

Or la France est une réalité historique : un peuple qui n’a sur le plan racial quasiment pas changé depuis l’époque gauloise. Les Français descendent tous de cette population originelle, il y a bien évidemment une identité ethnique de la France.

Evidemment la conception de Retailleau et de la caste politico-médiatique, « ça change tout » :

Image

C’était un 7 mai… 1954 : chute de Diên Biên Phu

Une guerre perdue à Paris…

Après six mois de lutte héroïque – illustrée notamment par les nombreux blessés et amputés qui ne voulaient pas quitter le front, ou par les paras volontaires qui sautaient pour rejoindre leurs camarades alors que la bataille était perdue – et une résistance acharnée, parfois à l’arme blanche, face à des troupes supérieures en nombre (dix fois plus, à un moment), en matériel et envoyant des jeunes kamikazes, étant à court de munitions et bombardée sans cesse dans l’enfer de la cuvette, l’armée française (comprenant des légionnaires, des paras, des troupes coloniales, des combattants indigènes), fautes de renforts suffisants, dut décréter le cessez-le-feu.

A l’issue de cette bataille, 12 000 combattants de l’Union française furent faits prisonniers. Seuls 3 290 seront rendus aux autorités françaises…
En quelques mois, les deux tiers des 12 000 captifs du Viêt-Minh moururent des mauvais traitements

Prisonnier
prisonnier français du Viet Minh

C’est toute une chevalerie massacrée vainement, et les coupables (secrétaires d’État, président du Conseil…) se lavaient déjà les mains du désastre dont ils étaient responsables.
Trahissant le pays qui l’hébergeait, le politicien socialiste, apatride et franc-maçon Pierre Mendès France a joué un rôle important dans l’abandon de l’Indochine et de ses habitants.
Militant de la destruction de l’Empire français et des départements français d’Algérie, il « négociera » avec le Viet-Minh à Genève, de concert avec l’URSS,  les accords qui chasseront définitivement la France de la péninsule asiatique, où il faisait si bon vivre, la livrant à la barbarie communiste.
Pierre Mendès « France » ne se préoccupa ensuite nullement, bien que président du Conseil, des milliers de Français prisonniers du Viet-Minh dans des conditions atroces.

Pierre Mendès France, négociant à Genève,  pendant que les soldats – français, coloniaux et indigènes – meurent dans l’enfer de Dien Bien Phu en résistant aux communistes

Près d’un million de Viet-Namiens du Tonkin fuirent en désordre vers le Sud pour échapper au marxisme dont ils avaient déjà pu faire l’expérience.

La guerre d’Indochine fut aussi une lutte idéologique contre l’ennemi intérieur qu’est le communisme, qui, représenté à l’époque par le PC«F», collaborait ardemment avec le Viêt-Minh et s’est rendu responsable de la mort de nombreux soldats français :
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Le Ministère de l’Intérieur illustre une campagne contre les « rodéos urbains » avec un Blanc lambda

Le Ministère de l’Intérieur (et ce n’est pas le seul :  RATP, SNCF, ministères en tous genres sont coutumiers du fait) s’acharne à désigner les Français moyens dans des campagnes qui dénoncent des comportements dont ils ne sont quasiment jamais responsables, mais qu’ils subissent de la part d’étrangers…

Cette fois, c’est à l’occasion d’une communication contre les « rodéos urbains » :

en vrai :

extrait d’un clip de rap

Election présidentielle roumaine : succès du candidat patriote au premier tour

George Simion lors d’une manifestation

En décembre dernier, la justice roumaine avait « annulé » la toute récente élection présidentielle, dont le premier tour avait été remporté par un candidat antisystème, Calin Georgescu. Près de six mois plus tard, les reproches qui lui ont été faits par les magistrats restent un peu fumeux

Ce dimanche avait donc lieu une nouvelle élection présidentielle, lors de laquelle a triomphé au premier tour un nouveau candidat de droite nationale, George Simion, qui était soutenu par Georgescu à qui on interdisait de se re-présenter.

« Le candidat a changé mais l’extrême droite reste en tête: cinq mois après l’annulation choc du premier tour de la présidentielle, la Roumanie a confirmé dans un nouveau vote dimanche son virage nationaliste. George Simion, un eurosceptique fan de Donald Trump qui se rêve en «président MAGA» (Make America Great Again), a recueilli 40,5% des suffrages, selon des résultats quasi finaux.
Il affrontera au second tour prévu le 18 mai le maire centriste de Bucarest Nicusor Dan (20,9%), qui a dépassé de peu le candidat unique des partis au pouvoir, Crin Antonescu (20,3%). «Ensemble, nous avons écrit une page d’histoire aujourd’hui», a réagi M. Simion dans un message vidéo diffusé au siège de son parti devant des partisans ravis, chantant «Dehors les voleurs, vive les patriotes».
Il lui reste à transformer l’essai lors du second tour le 18 mai, une tâche compliquée car il dispose sur le papier de moins de réserves de voix que son rival, commente pour l’AFP le professeur de sciences politiques Sergiu Miscoiu, prédisant une course serrée. […] » (source)

Les gros médias français utilisent le terme d’« extrême-droite » avec la malhonnêteté habituelle, mais c’est plutôt bon signe évidemment (signe de liberté et de bon sens face à un système pervers et malfaisant).
George Simion est un patriote modéré et guère un nationaliste (même s’il milite pour le rattachement des provinces perdues de la Grande Roumanie) ; par exemple, il critique beaucoup la bureaucratie européenne mais ne veut pas quitter l’Union européenne.

Son résultat – concomitant au triomphe du parti de droite nationale modérée de Nigel Farage en Grande-Bretagne ces jours-ci (lors d’élections locales) – ne fait que manifester la tendance que l’on voit depuis quelques années en Europe et en Occident : le populisme, le conservatisme, la défiance vis-à-vis des systèmes en place, le patriotisme – voire le nationalisme –, ont le vent en poupe et les partis qui portent ces discours progressent fortement, de façon générale quoique inégale.
La France fait figure de parent pauvre; car elle ne compte pas (après la marinisation du Front national) de grand parti de droite nationale…

Albi, sa riche histoire, ses monuments millénaires et… ses meurtres à la machette

Albi, cité épiscopale des rives du Tarn où art roman et art gothique se mêlent dans un festival de tons ocre, tandis que dans les quartiers médiévaux, on admire les influences de l’époque cathare (XIIIe siècle).

Mais c’est aussi par la grâce de décennies de gouvernements de gauche et de « droite », son envahissement par des populations exotiques et aux mœurs assez éloignées de la civilisation française…

« Un homme est décédé tôt dimanche matin après avoir été frappé à l’arme blanche lors d’une altercation dans la boîte de nuit d’Albi, a-t-on appris de source judiciaire et policière. Le différend a éclaté vers 3h30 et s’est poursuivi à l’extérieur de cet établissement nocturne, où la victime a reçu un coup de machette, selon la source policière. » (source)
«La victime présente au moins deux plaies par arme blanche», précise encore le parquet. L’enquête, ouverte du chef d’homicide, a permis de placer en garde à vue quatre personnes âgées de 18 à 38 ans et «ayant participé à la rixe mortelle», indique le communiqué.
«Une autopsie sera réalisée dans les prochains jours», ajoute le parquet. (source)

On n’a pas de détails sur le profil des suspects (est-ce nécessaire?), ni sur celui de la victime ? Est-ce un énième francocide ?
En tout cas, la multiplication des blessures et meurtres à la machette témoigne d’un indiscutable enrichissement culturel.

C’était un 5 mai…

1789 : ouverture des États-généraux à Versailles. C’est la dernière fois qu’est respecté le cérémonial de la France d’Ancien Régime (hiérarchie visible dans l’organisation de la salle).
La bourgeoisie libérale va se substituer à la royauté féodale.
Sur 1336 députés ayant participé aux travaux de l’Assemblée nationale constituante (il y a ceux d’origine et les remplaçants), on compte 319 franc-maçons certains et au moins 13 possibles, soit environ 24% (dans un pays de 26 millions d’habitants, comptant seulement 40 000 franc-maçons).

Par la suite, sur 749 Conventionnels, il y aura au moins 247 franc-maçons.
On peut lire à ce sujet le livre d’Alain Pascal, la Révolution des Illuminés.

1945 : Radio-Prague proclame : « Tuez les femmes et les enfants allemands. »
Refoulés vers Prague, d’où ils cherchent à partir pour se rendre aux Américains, 60 000 Allemands sont massacrés dans la capitale tchécoslovaque par les Soviétiques.
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