Marine Le Pen tacle Bardella à propos de Nouvelle-Calédonie (ainsi que les loyalistes)

Il y a quelques jours, Marine Le Pen, en visite en Nouvelle-Calédonie, a dit vouloir « participer » aux futures consultations sur l’avenir institutionnel de l’archipel, convoquées mi-juin par le président Emmanuel Macron après l’échec de récentes négociations.

Un journaliste demanda à la présidente officieuse du RN : « Qu’espérez-vous apporter ? »
Réponse étonnante : « Qu’est-ce que j’espère apporter ? Je ne sais pas, de la modération ».
Et Marine Le Pen de s’en prendre aux indépendantistes mais aussi aux loyalistes (les pro-français), déclarant très « courageusement » : « On voit bien qu’on est un peu aux prises entre deux radicalités, d’une partie des indépendantistes, mais aussi d’une partie des loyalistes, je n’hésite pas à le dire ».
On est, dans ce domaine aussi, loin des positions du défunt Front national, qui défendait fermement la Nouvelle-Calédonie française…

D’autre part, probablement agacée par les récents sondages qui donnaient Jordan Bardella en très bonne position en cas d’élection présidentielle s’il se présentait à sa place (pour des raisons judiciaires), Marine Le Pen lui a adressé un petit tacle : « Je ne suis pas sûre que Jordan pour le coup connaisse très bien les problèmes de la Nouvelle-Calédonie. On partage nos talents ».

Réponse du président officiel du parti : Marine Le Pen « est investie sur ce sujet depuis très longtemps, elle est aujourd’hui la mieux placée pour représenter notre mouvement dans ces consultations. Mais, je vous rassure, je connais très bien les dossiers ultramarins et notamment le dossier de la Calédonie française » ; et encore : « je pense que vous sortez la phrase de son contexte ».

Comment les choses vont-elles évoluer entre les deux ?

Procès d’émeutiers de la finale PSG – Milan : des peines peu dissuasives…

Le journaliste Paul Sugy assistait lundi aux jugements en comparution immédiate du tribunal judiciaire de Paris, concernant 4 émeutiers.
Les accusés ont le même « profil », les avocats sont de mauvaise foi, les juges attendris, les peines ridicules.

Un exemple avec celui-ci, qui a tiré des feux d’artifice sur les policiers :

 […]Enfin Brahim peine à expliquer la présence dans sa poche de la cagoule avec laquelle on l’a interpellé. C’était parce qu’il conduit parfois un scooter. Par 35 degrés un samedi soir, la cagoule… Casier vierge, «seulement» connu pour des dégradations commises dans l’espace public en 2017 mais il était mineur. Le tribunal n’en tient pas compte. Brahim a reconnu des tirs au mortier d’artifice contre les forces de l’ordre, dit qu’il a «été con»«regrette tellement» ce qu’il a fait. Jure qu’il ne visait pas vraiment les policiers, mais s’emmêle dans un lapsus pénible : il voulait tirer «à leur hauteur», confesse-t-il, voulant dire en réalité «en hauteur», en l’air quoi, précise l’avocate. Dans l’assistance, ses amis, ses cousins, même la responsable d’une association de quartier dans laquelle il fait du bénévolat, sont là pour le soutenir ; sa mère, coiffée d’un hijab, lui adresse un sourire. Brahim étudie et fait actuellement un stage en milieu hospitalier, les juges sont priés de considérer quel préjudice lui causerait un passage par la case prison. L’avocate plaide la relaxe : après tout, le mortier n’était peut-être pas à lui. Et puis, «au quartier il est bien vu, parce qu’il aide les gens». 2 mois avec sursis, 500€ d’amende. […] (source)

Détente : un fou imite la gauchiste Clémentine Autain pendant sa harangue

Le député du NFP Clémentine Autain fait un discours pour soutenir les intermittents du spectacle (qui bénéficient du régime social le plus privilégié de France) alors qu’un fou immigré l’imite sans que personne n’ose l’arrêter.

A moins qu’il ne s’agisse d’une « performance artistique »?

Vague de suicides à la DGSI : un troisième cas depuis janvier

Curieux.

le siège de la DGSI [DR NemesisIII (license CC‑BY‑SA‑3.0 )]
La DGSI (fusion des RG et de la DST) est le principal service de renseignement (espionnage et contre-espionnage) intérieur de l’Etat français.

Un policier affecté à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été retrouvé mort dans le parking de son service ce lundi après-midi, a appris Actu17 de sources policières. Il s’est suicidé en utilisant une arme de service.

Le drame s’est déroulé au siège de la DGSI, rue de Villiers à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Le policier a été retrouvé sans vie dans un véhicule de service, dans le parking situé en sous-sol. « Il était déjà décédé et il n’y avait malheureusement plus rien à faire », précise l’une des sources. « La compagne du fonctionnaire a indiqué avoir découvert une lettre à leur domicile, où il évoque son intention de mettre fin à ses jours ». […] (source)

En janvier dernier, deux policiers de la DGSI s’étaient déjà donnés la mort, à deux jours d’écart.

Secrètement Israël va s’approvisionner d’armement en France, pour la troisième fois en 2025

Alors que Macron a officiellement dénoncé l’attitude du gouvernement israélien, qui poursuit son nettoyage ethnique dans la bande de Gaza (environ 50 000 tués, principalement des femmes et des enfants), non seulement il ne s’y oppose pas mais il autorise en fait la poursuite du massacre avec de l’aide française.

Le média d’investigation Disclose rapporte :

« Les livraisons de matériel militaire français vers Israël se poursuivent en secret. D’après les informations de Disclose et du média irlandais The Ditch, un cargo de la compagnie israélienne Zim s’apprête à faire escale à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) pour embarquer 19 palettes contenant 14 tonnes de pièces pour cartouches de fusils mitrailleurs. L’arrivée du Contship Era est annoncée ce jeudi 5 juin à 6 heures. Il doit repartir le même jour aux alentours de 23 heures, direction les villes italiennes de Gênes et Salerne. Destination finale : le port d’Haïfa, dans le nord d’Israël.
Ces pièces détachées, appelées maillons, sont fabriquées à Marseille par la société française Eurolinks. […]

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C’était un… 4 juin :

la mort du Dauphin (scène de film)

1789 : pendant que les Etats généraux sont réunis, le Dauphin de France, fils aîné de Louis XVI, âgé de sept ans, meurt à Meudon des suites de la tuberculose, après des années de souffrance et de négligence par les médecins. « Si mon fils était celui d’un particulier, il se porterait bien », déclare la reine.
Louis XVI, accablé tout comme le reste de la famille, demanda qu’on reculât la demande d’audience de la délégation du Tiers état de quelques jours, le temps de faire son deuil. Les députés refusèrent.
« N’y a-t-il donc pas de pères, parmi ces gens-là ? » demanda-t-il alors.
« À la mort de mon cher petit Dauphin, la Nation n’a pas seulement eu l’air de s’en apercevoir. À partir de ce jour-là, le peuple est en délire et je ne cesse de dévorer mes larmes », écrit le 17 décembre 1790 Marie-Antoinette à son frère Léopold.

1794 : prêtre jureur et révolutionnaire ardent, l’abbé Grégoire, conventionnel qui a déjà plaidé la cause des israélites et des gens de couleur, dénonce les langues régionales comme des « patois contre-révolutionnaires » et réclame l’ « anéantissement » des diversités linguistiques.

1815 : mort de Louis de La Rochejaquelein (frère d’Henri, le fameux généralissime vendéen tué en 1794), face aux soldats de l’Empire napoléonien, pendant les Cents jours, à la bataille des Mathes, sur la côte vendéenne.
Une partie de la Vendée s’était rebellée à nouveau, face au retour de Napoléon qui avait quitté l’île d’Elbe où il était exilé et repris le pouvoir à Louis XVIII. Mais ce soulèvement, pourtant fort de plusieurs dizaines de milliers d’hommes, fut compromis par des mésententes entre les chefs.

1859 : victoire française à Magenta sur les Autrichiens, suivie de la prise de Milan. A la tête de l’armée : Napoléon III, Canrobert et Mac Mahon.

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1920 : traité de Trianon, qui modifia grandement la carte de l’Europe centrale et orientale. De vifs et durables ressentiments en résulteront, en Hongrie particulièrement, qui perd les deux tiers de son territoire et compte désormais d’importantes minorités hongroises hors frontières.

Tiszavasvari, «capitale» de l'extrême droite hongroise

1958 : à Alger, devant des centaines de milliers de personnes, le général De Gaulle, appelé par les révoltés qui prirent le pouvoir le 13 Mai pour garder l’Algérie française, leur tient un discours célèbre :
« Je vous ai compris ! Je sais ce qui s’est passé ici. Je vois ce que vous avez voulu faire. […] ». Deux jours plus tard, il criera « Vive l’Algérie française ! », à Mostaganem. On saura ensuite, et comme l’attitude de De Gaulle le prouvera, qu’il avait à ce moment délibérément trompé l’auditoire, afin de pouvoir s’installer au pouvoir, avant de se parjurer et de trahir – au profit de l’organisation terroriste FLN – tous les Algériens, français, juifs et musulmans, qui lui avaient fait confiance.

Lisieux : l’immeuble où Louis Martin (père de Ste Thérèse) avait sa boutique brûlé

Ce petit immeuble n’aura pas survécu à la soirée suivant le match PSG-Inter de Milan, lors de laquelle la racaille immigrée s’est déchaînée à travers la France.

« Le patrimoine thérésien, qui est un vecteur économique d’Alençon, perd un site. » Cette phrase est signée Jean-David Desforges, historien bien connu sur la place alençonnaise. L’immeuble percuté par une voiture puis dévoré par les flammes dans la nuit de samedi à dimanche à Alençon, après la victoire du PSG, n’a pas toujours abrité un cabinet d’assurance au rez-de-chaussée et des logements à l’étage. Car avant d’être divisée en plusieurs espaces, cette maison, située 17, rue du Pont-Neuf, à Alençon (Orne), était celle de la famille Martin.

[…] C’est là que Louis Martin, le père de Sainte-Thérèse de Lisieux, avait installé sa bijouterie et son horlogerie. C’est aussi dans cette maison que tous les enfants sont nés, à l’exception de Thérèse. (source)

Images des émeutes raciales de samedi soir

A l’issue de la finale de football entre le Paris-Saint-Germain et l’Inter de Milan, des milliers de racailles, presqu’uniquement africaines, se sont livrés au saccage et aux violences à Paris et dans diverses villes de province : des centaines de voitures brûlées, magasins pillés, mobilier urbain détruit, policiers attaqués et passants agressés (on décompte 2 morts, dont un jeune Français de 17 ans, Benoît, poignardé à Dax), des dizaines de blessés, des millions d’euros de dégâts, que paieront les Français.

Le ministère de l’Intérieur du droitard Retailleau et les préfectures (en particulier le totalitaire franc-maçon Nunez à Paris) étaient au courant de ce qui allait se passer (les vidéos d’annonce d’émeutes venant de Maghrébins ont été largement diffusées auparavant), mais n’ont pas pu, ou voulu, empêcher les citoyens et les pompiers d’être victime de la racaille étrangère importée par les politiciens. Ce n’est pas « notre société qui fabrique des barbares », comme l’affirme Retailleau, ce sont les partis politiques dont le sien.
Les Français sont livrés à eux-mêmes.

Des occupants souillent la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides à Paris :

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La préfecture a laissé faire.

Et pendant ce chaos, Macron postait « Champion mon frère », en essayant de reprendre, ridiculement, le langage des Arabes de banlieue.

Bonus : des Arabes s’amusent à nuire en bloquant le périphérique parisien

C’était un… 3 juillet :

987 : Hugues Capet est sacré roi de France, à Reims. Il inaugure une nouvelle dynastie royale.

Fondation de la ville de Québec par Samuel de Champlain – tableau d’Ambroise Louis Garneray (1848)

1608 : Sur le fleuve Saint-Laurent, fondation de la ville de Québec (qui signifie « rétrécissement de rivière » en dialecte indien), par le Français Samuel de Champlain, envoyé par Louis XIII.

1763 : les armées confédérées, commandées par le général Robert Lee, sont écrasées à Gettysburg (Pennsylvanie) par l’armée nordiste. Cette bataille, la plus importante et la plus meurtrière de la Guerre de Sécession, fait passer la victoire dans le camp de l’Union. Le champ de bataille sera déclaré cimetière national.

► A lire, pour aller plus loin : Gettysburg ainsi que le blanc Soleil des vaincus, de D. Venner.

1904 : mort de Theodor Herzl. Ecrivain juif né à Budapest, ne croyant pas en la possibilité d’une assimilation des siens, il affirma l’existence d’une nation juive et la nécessité pour elle de trouver une patrie. Ces idées n’étaient pas nouvelles mais celle du sionisme – installation des Juifs en Palestine – l’était bien plus. Herzl fut à l’origine de l’Organisation sioniste mondiale et, sa vie durant, multiplia les démarches nécessaires à un appui officiel pour sa demande d’établissement d’un foyer national juif en Palestine. En mars de cette année, il avait été reçu par le pape Pie X, qui lui opposa un refus ferme : « Nous ne pourrons pas empêcher les juifs d’aller à Jérusalem, mais nous ne pouvons en aucun cas soutenir cela », ajoutant « Les juifs n’ont pas reconnu Notre Seigneur, par conséquent nous ne pouvons pas reconnaître le peuple juif ».
Ayant échoué dans ses négociations avec le kaiser Guillaume II, Herzl pensa un moment à implanter l’État juif en Ouganda, ce qui fut rejeté par le VIe congrès sioniste en 1903.

1905 : à l’instigation du président du Conseil Emile Combes, radical et franc-maçon, l’Assemblée nationale vote la séparation de l’Eglise et de l’Etat, mettant fun à un siècle de Concordat, par 341 voix contre 233. Pour Combes, « l’anticléricalisme est l’œuvre la plus considérable pour l’émancipation de l’esprit humain ». Promulguée le 9 décembre suivant, la loi reconnait la liberté de culte mais ne subventionne ni ne reconnaît plus aucun culte. Il est également décidé un « inventaire » des biens de l’Eglise, qui suscitera une opposition des catholiques face à une spoliation et une profanation (en janvier 1906, une circulaire destinée aux fonctionnaires des Domaines contiendra une phrase qui mettra le feu aux poudres : « les agents chargés de l’inventaire demanderont l’ouverture des tabernacles ».)

1940 : attaque surprise de l’escadre française bloquée dans la rade de Toulon par les Britanniques, qui craignent que la flotte ne tombe aux mains des Allemands alors que le Maréchal Pétain avait donné des ordres pour qu’il n’en soit rien. 1297 marins tués et 350 blessés. Trois jours après, cinq avions anglais feront à nouveau feu sur les navires français déjà en piteux état. Article plus complet ici.

1962 : De Gaulle reconnaît officiellement l’indépendance de l’Algérie, contrairement à ses engagements et ce pour quoi il avait été appelé au pouvoir en 1958 par les Algériens. Il abandonne le pays à l’organisation terroriste FLN, qui avait été vaincue militairement par l’armée française, au prix de nombreux sacrifices. De Gaulle abandonne là-bas les Français et indigènes pro-français : plusieurs centaines de milliers seront tués, souvent torturés avant leur meurtre.

1972 : dans le sillage de l’égalitarisme révolutionnaire, une loi française établit que les enfants naturels disposent des mêmes droits que les enfants légitimes.

1984 : mort, au Val de Grâce, du général Raoul Salan. Officier le plus décoré de France, il avait pris la tête de l’OAS en 1961 pour s’opposer à la politique gaulliste en Algérie.

C’était un 3 juin…

sainte Clotilde (détail d’un vitrail)

545 : mort de Sainte Clotilde (et donc sa fête, dans le calendrier traditionnel). Fille orpheline de Chilpéric II, roi catholique de Lyon (Bourgogne), elle accepta d’épouser le païen Clovis – qui avait entendu parler de sa beauté et de ses vertus – à condition que ses enfants soient baptisés dans la foi catholique, qu’elle avait gardée contre vents et marées.
Elle obtint la conversion de son mari à l’occasion de la bataille de Tolbiac contre les Alamans (496). Après la mort de celui-ci en 511, elle se retira bientôt du monde, éprouvée et probablement dégoûtée par les cruelles tragédies familiales, et alla finir sa vie dans les larmes, les prières et les aumônes, au fond d’un couvent à Tours, auprès du tombeau de saint Martin.

1098 : les Croisés libèrent la cité d’Antioche des infidèles.

1315 : le roi Louis X le Hutin, qui n’a régné que deux ans, interdit par édit l’esclavage sur le sol du Domaine royal de France, en rappelant que « chacun naît franc » (libre).  Pour un rappel de vérités sur l’esclavage, voir ici.

1425 : le pape Martin V impose par la bulle Sedes apostolica aux juifs de porter un insigne distinctif et leur interdit les emplois publics.

1785 : après les remontrances du clergé au roi, le Conseil d’État interdit la réédition des œuvres de Voltaire. Le duc d’Orléans (franc-maçon et futur Philippe-Egalité), accoutumé à braver l’opinion religieuse, rend cet arrêt illusoire en permettant, dans l’enceinte de son palais, la vente des ouvrages proscrits.

Perte des deux provinces : Le Souvenir, statue à Nancy.

1871 : l’Alsace et une partie de la Lorraine sont annexées par le Reich allemand.

1937 : mort dans un accident d’avion du général Mola, chef de l’armée nationaliste du nord de l’Espagne.

1940 : la Luftwaffe bombarde Paris : 254 morts et 650 blessés.

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Pologne : le candidat national-conservateur remporte l’élection présidentielle

Face au candidat libéral-européiste, Karol Nawrocki, présenté souvent comme « historien nationaliste », a été élu ce dimanche, avec 50,89% des voix, à l’issue d’un entre-deux tours disputé et indécis.

Le vainqueur, soutenu par le parti Droit et Justice (PiS, fausse droite, un peu comme l’ancien RPR en France, mais en plus à droite tout de même…), a bénéficié d’après les sondages d’un bon report des voix de la droite nationaliste (qui cumulait 21% au premier tour).

C’est une période de cohabitation qui s’ouvre, le Premier ministre polonais Donald Tusk étant de gauche « libérale » européiste. Le président dispose pour sa part d’un puissant droit de veto, qui pourrait bloquer les réformes les plus tordues des pseudo-progressistes.

Un policier s’en prend à un citoyen honnête : « Et alors, on fait justice soi-même ?! » (video)

Un restaurateur a été filmé se faisant réprimander par un policier alors qu’il expulsait lui-même manu militari un pickpocket.
Il aurait probablement dû laisser le voleur en paix en attendant que la police arrive (ou pas) ?
Absurde.

C’était un… 2 juillet

936 : mort d’Henri Ier de Germanie, dit « l’Oiseleur », premier souverain germanique de la maison de Saxe, prétendant à l’empire à la fin de son règne. Il fut le vainqueur des Hongrois en 933, à Merseburg, et repoussa les Slaves jusqu’à l’Elbe. Il fut très admiré de Himmler qui, dit-on parfois, se croyait sa réincarnation.

1035 : mort de Robert Ier, dit le Diable ou le Magnifique, duc de Normandie, père de Guillaume le Conquérant.

1461 : Louis XI devient roi de France. Il va régner 22 ans.

1566 : mort de Nostradamus, astrologue français célèbre pour ses Centuries dont lesquelles beaucoup ont voulu voir des prophéties.

1717 : un arrêt du Conseil de Régence interdit aux princes légitimés, c’est-à-dire aux enfants naturels de Louis XIV, de succéder à la Couronne de France.

1751 : interdiction de la franc-maçonnerie espagnole par le décret d’Aranjuez. En France, elle était déjà bien installée dans les hautes sphères et ne suscita pas de réaction : elle ne fut pas combattue par le pouvoir politique et sa condamnation par le Pape (voir ici les rapports entre Eglise et F-M) ne se traduisit pas (gallicanisme ?).

1778 : mort, à Ermenonville (Oise), de l’essayiste suisse Jean-Jacques Rousseau, mauvais père (il abandonna ses cinq enfants aux « Enfants assistés » se piquant pourtant de donner des leçons en matière d’éducation dans l’Emile. Il fit, avec Voltaire, un mal terrible, dans le domaine des idées, préparant la Révolution française. On peut lire à ce sujet Le Contrat social de J.J. Rousseau de Léon de Montesquiou et, sous un angle plus large, Le Siècle des Ténèbres d’Alain Pascal.

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Dimanche après l’Ascension – (textes et commentaire de la messe)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec leur commentaire. « Avant de monter au Ciel, Jésus avait promis à ses apôtres, à la dernière cène, qu’il ne les laisserait pas orphelins, mais qu’il leur enverrait l’Esprit-Saint, comme un autre lui-même. L’Esprit rendrait témoignage de lui et le remplacerait auprès d’eux jusqu’à ce qu’il revienne.
Depuis plusieurs dimanches déjà l’Église nous rappelle ces promesses. Elle nous prépare à la Pentecôte en ravivant notre foi dans ce qu’est l’Esprit-Saint dans la vie de l’Église et de nos âmes chrétiennes. »

Dom G. Lefèbvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

« Jésus est monté aux cieux. Sa divinité n’en avait jamais été absente, mais aujourd’hui son humanité y est intronisée, elle y est couronnée d’un diadème de splendeur ; et c’est là encore une nouvelle face du glorieux mystère de l’Ascension. A cette humanité sainte le triomphe ne suffisait pas ;
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